Centrafrique : les rebelles prennent le palais présidentiel à Bangui
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"Nous lançons un appel à nos frères des FACA : ils n'ont qu'à déposer les armes et suivre ce qui va se passer", déclare le colonel Djouma Narkoyo, un des chefs militaires de la Séléka sur le terrain. | AFP[/caption]
Les rebelles de la coalition centrafricaine du Séléka ont pris, dimanche 24 mars, le palais présidentiel de Bangui, a annoncé un de leurs chefs militaires, le colonel Djouma Narkoyo, précisant que le président François Bozizé ne s'y trouvait pas."Nous avons pris le Palais présidentiel. Bozizé n'y était pas. Maintenant, nous allons nous rendre à la radio [nationale] pour que le président du Séléka [Michel Djotodia] prenne la parole", a-t-il déclaré. "Nous savions que Bozizé n'était pas là", a-t-il précisé. Le président centrafricain s'est enfui au Congo alors que les rebelles s'emparaient de Bangui, a affirmé un de ses conseillers.
Une source militaire sous couvert de l'anonymat a confirmé la prise de la présidence par le Séléka, soulignant qu'il y avait encore "des poches de résistance dans la ville" mais que le "rapport de force était clairement en faveur des rebelles".
Dimanche matin, le colonel Narkoyo avait averti que "la journée d'aujourd'hui sera décisive. Nos hommes sont dans Bangui, on prend nos emplacements". L'assaut de la rébellion a commencé vers 7h30. "Nos éléments ont lancé l'offensive en début de matinée passant le "bouchon" du PK10 [point kilométrique 10] près de la base sud-africaine pour aller vers le centre-ville", a expliqué Eric Massi, un porte-parole de la rébellion depuis Paris. Les échanges ont été très intenses vers 8 heures mais sont devenus plus sporadiques.
Le Monde.fr avec Reuters | 24.03.2013 à 08h21
"Nous lançons un appel à nos frères des FACA : ils n'ont qu'à déposer les armes et suivre ce qui va se passer", déclare le colonel Djouma Narkoyo, un des chefs militaires de la Séléka sur le terrain. | AFP[/caption]
Les rebelles de la coalition centrafricaine du Séléka ont pris, dimanche 24 mars, le palais présidentiel de Bangui, a annoncé un de leurs chefs militaires, le colonel Djouma Narkoyo, précisant que le président François Bozizé ne s'y trouvait pas."Nous avons pris le Palais présidentiel. Bozizé n'y était pas. Maintenant, nous allons nous rendre à la radio [nationale] pour que le président du Séléka [Michel Djotodia] prenne la parole", a-t-il déclaré. "Nous savions que Bozizé n'était pas là", a-t-il précisé. Le président centrafricain s'est enfui au Congo alors que les rebelles s'emparaient de Bangui, a affirmé un de ses conseillers.
Une source militaire sous couvert de l'anonymat a confirmé la prise de la présidence par le Séléka, soulignant qu'il y avait encore "des poches de résistance dans la ville" mais que le "rapport de force était clairement en faveur des rebelles".
Dimanche matin, le colonel Narkoyo avait averti que "la journée d'aujourd'hui sera décisive. Nos hommes sont dans Bangui, on prend nos emplacements". L'assaut de la rébellion a commencé vers 7h30. "Nos éléments ont lancé l'offensive en début de matinée passant le "bouchon" du PK10 [point kilométrique 10] près de la base sud-africaine pour aller vers le centre-ville", a expliqué Eric Massi, un porte-parole de la rébellion depuis Paris. Les échanges ont été très intenses vers 8 heures mais sont devenus plus sporadiques.
Le Monde.fr avec Reuters | 24.03.2013 à 08h21
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tienimangoboizize arrive par les armes et emporter par les armes il n,est pas a pleindre ce monsieurs.....la france a encore la main basse sur l,afrique ...... -
dibiAprès le taré Bokassa, une merde criminelle puante, la France, pour la défense de ses intérêts en Afrique centrale, a imposé aux Centrafricains, depuis 2003, ce bozizé, un débilité qui n’était rien d’autre qu’un appendice sexuel, un ventre mou et un indigène galonné qui fait la honte de l’Afrique. Comme tous les fantoches de nos contrées, l’ordure était doublée d’un agent de la DGSE française missionné à broyer le patriotisme centrafricain. Ils l’ont utilisé pour assassiner Patassé ; et après tous les services rendus (si cela peut édifier, les Compaoré, Ouattara, Yadémé, Biya, Sassou N’guesso, Bongo, Déby…) ils le lâchent et lui font désormais la chasse aux moyens de rebelles tout autant débilités et soutenus en sous main par eux. Des rebelles Séléka sans projet d’émancipation de société et sans consistance idéologique de rupture avec l’impérialisme et le néocolonialisme. Rien qu’une continuation de la débilité et de l’ivrognerie au pouvoir. C’est pathétique et honteux.
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Rodriguez Soarres:wink: merci DIBI=eclairage :!:
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l'ivoiriennecoco,va liberé ton maliba avant de parlé d'autre chose,ton maudit pays est encore aux mains des islamistes n'est ce pas? :mrgreen:,aujourd'huit c'est la centre afrique qui est a la mode rebelle :lol:,on ne parlera plus de ton maliba pendant un certain temps
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Le ridicule ne tue pas le soldat malienQue Dieu bénisse la France sans qui Iyad serait depuis longtemps à Koulouba :lol:
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alkerouil étais comme att et il na pas écoute :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
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BougobaliniQu'est-ce que celui la aussi n'a pas ecoute? Ohh pauvre ATT! Meme alkerou-la-plonge veut trouver quelque chose a te reprocher :lol: :lol: :lol:
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l'ivoiriennea part s'entre tué que sait le negre d'afrique? les autre negres d'amerique et antilles sont plus respecté que ceux d'afrique,et dieu est ce les negres d'afrique qui on tué jesus?
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cocoToi , avec tes conneries ......Tu ne risques pas de faire augmenter les charges attribuées à GBAGBO ?
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