Présidence d’Ibrahim Boubacar Keïta : L’heure n’est pas à la critique !
14 Sep 2013 - 09:41
15 Sep 2013 - 11:53
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Mahamadou TRAORE Mussolini[/caption]
Le Mali sort d’une situation très difficile poussant les Maliennes et les Maliens à l’impatience. C’est normal. Cependant, chacune et chacun doit garder son sang froid pour observer le nouveau gouvernement mis en place. Puisqu’il est trop tôt de tirer sur la sonnette d’alarme.
Ayant massivement voté pour le changement, les Maliennes et les Maliens ont placé leur confiance à El Hadj Ibrahim Boubacar Kéïta pour l’honneur du Mali et le bonheur de chacune et de chacun et de tout le peuple malien. Cette confiance ne doit pas être galvaudée mais plutôt consolidée, soutenue pour qu’il puisse réussir la mission à lui confiée. Ne soyons donc pas des mange-mils mais des bienfaiteurs. Bien que le temps presse, il est bon pour nous d’être des sentinelles mais de bonne foi. Afin que notre pays sorte de l’abîme et retrouve sa place dans le gotha des grandes Nations.
Sachant que c’est en connaissance de cause que nous avions choisi cet homme, alors ce gouvernement d’Oumar Tatam Ly n’est autre que l’apanage de la vérité, de la réussite et du bon sens d’un homme de poigne qu’est IBK.
Descendant des grands guerriers de l’empire Mandingue, saura-t-il faire comme ses aïeux?
Certainement que oui ! Car de 1992 à nos jours, ce natif de Koutiala a montré ses preuves partout où il est passé. De la présidence de la République à la primature et enfin à l’hémicycle de Bagadadji, IBK a triomphé. Malgré les embûches et les trahisons.
Président de la République avec plus de 77% des suffrages, il a une lourde tâche. Il s’agit d’abord de circonscrire au culte de la personnalité dans un pays où chacun est roi. Se battre pour une répartition équitable de la richesse du pays et lutter farouchement contre l’impunité, la corruption qui gangrène le moteur de l’Etat. «Dieu, le Mali, ma conscience» ou El Hadj IBK doit en premier lieu rétablir l’autorité de l’Etat.
Le chantier étant immense, l’heure n’est pas à la critique mais plutôt à la vigilance et à la patience. Car la patience est un chemin d’or. L’homme, IBK, choisi par les Maliens n’est pas un apatride, il est plutôt un patriote convaincu.
Alors, en choisissant un jeune comme Premier ministre Oumar Tatam Ly (OTL) (49 ans), il met la balle dans le camp de la jeunesse, fer de lance de la société. C’est désormais à elle de répondre aux attentes d’un peuple désabusé.
C’est conscient de cette responsabilité qu’OTL a fait ce choix judicieux d’un gouvernement de mission. Il s’agit de la panacée d’hommes et de femmes (âgés de plus de 50 ans) expérimentés et de jeunes loups d’expérience aux yeux ouverts. Un seul objectif est alors visé, faire RENAITRE LE MALI. Et In Challahou, cela se fera !
Source : L’Annonce Mahamadou TRAORE Mussolini pour Maliweb.net

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tignetiguiMonsieur l`auteur dis\t que Monsieur IBK est descendant de grands guerriers de l`empire Mandingue . Peut-il nous de quel village et de quelle famille KEITA vient IBK ? Sait -il que tous les Keita ne sont pas descendants de guerriers et ne sont pas des nobles et ni vrais KEITA ? Sait -il que dans une famille noble d`antan les esclaves , forgerons et même des griots répondent parfois au patronyme de leurs maitres ? Donc , Monsieur l`auteur , ne parlez pas comme un griot non avisé ou comme un enfant né entre 1960 et aujourd`hui. ATTENTION , et encore ATTENTION . NE BOURREZ PAS LES JEUNES. Monsieur l`auteur , pensez-vous qu`un pur descendant des grands guerriers de l`empire du Mandingue à l`image de feu Modibo Keita aurait accepté la nationalité française comme IBK l`a acceptée? IBK a la nationalité française . Son premier Ministre aussi Tam Ly a la nationalité française. Pensez -vous que ces deux bi-nationaux peuvent se sacrifier pour nous12 ansRépondreLike (0)
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Dr ANASSER AG RHISSABonjour, Certains pensent qu’IBK a vraiment donné une prime à l’impunité par rapport au choix de Zahabi Ould Sidi Mohamed comme ministre des affaires étrangères et n’a pas tenu ses promesses ? Ce n’est pas évident, essayons de comprendre la subtilité. CONCERNANT LES PROMESSES, IL EST VRAIMENT TRÈS TÔT POUR VOIR DES RÉSULTATS PROBANTS. MAIS, DES GESTES ET SIGNAUX ANNONCIATEURS ONT ÉTÉ ÉMIS PAR LE PRÉSIDENT IBK ET SON PM. La subtilité des gestes, d’IBK et son PM, peut être facilement comprise en acceptant la séparation des pouvoirs (politique, judiciaire, législatif, …). Malgré leur interaction, je pense qu’il faut séparer les différents pouvoirs, en particulier, le pouvoir politique, le pouvoir judiciaire et le pouvoir législatif. Le politique, à travers IBK et son PM, a désigné, de façon symbolique et stratégique, Zahabi, comme Ministre, et le judiciaire peut à tout moment demander de l’entendre. Bien cordialement Dr ANASSERAG RHISSA EXPERT TIC/GOUVERNANCE Webanassane@yahoo.com12 ansRépondreLike (0)
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DiakmahaCe qui n'est pas compréhensible de la part de certains journalistes maliens, c'est ce griotisme et ce langage d'éloges qu'ils ont, non pas pour commenter un geste ou un acte, mais les gens pour la famille ou la descendance dont ils sont issus: "descendant de grands guerriers mandingues"!..... Et attention au mot "triomphe". D'autres ont déjà "triomphé" sur lui avant. Remporter des élections ou prendre la tête de l'état peut signifier un tas d'emmerdes. De l'indépendance à nos jours, seuls 2 chefs d'état sur 5 s'en sont tirés à bon compte avec pleins d'insultes. Modibo était aussi un descendant de guerriers mandingues... Si vous voyez ce que je veux dire. Les critiques doivent attendre? Non. Vous l'ignorer, mais ce qui fait avancer un pays, ce sont les critiques si les gouvernants ont des oreilles et ce qui abruti un chef de pouvoir ce sont ses "fans". Ces faux amis qui applaudissent à tout au départ, laissant le prince faire n'importe quoi et finissent par lui lancer des pierres.12 ansLike (0)
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KassinOn ne critique pas? Mais quelle connerie! Ce cancre individu ne sait pas que les sorties de pistes sont fréquentes au démarrage? Mais bon la nullité crasse est une denrée non périssable au Mali. ************************** Diplomatie et politique extérieure: comment elles influent sur les relations internationales? Je fais suite à la requête d'un internaute "Maliverite" pour vous faire part ici de mon analyse sur la diplomatie et du choix du ministre des affaires étrangères d'IBK ******************* "Les nations n'ont pas d'amis mais des intérêts". Cette affirmation d'un grand homme politique dit long sur les relations tumultueuses qu'entretiennent les nations entre elles. Il appartient à chaque pays de définir et de mettre en œuvre la meilleure politique extérieure lui permettant d'optimiser ses intérêts avec ses partenaires extérieurs. Pour cela il faut au préalable connaître ses intérêts qu'ils soient économiques, financiers, géostratégiques, politiques, culturels, ou sociaux. Cette reconnaissance n'est pas toujours aisée dans la mesure où nous vivons dans un monde mouvant et de plus en plus complexe, ce qui représente un intérêt vital aujourd'hui pour un pays, peut facilement ne pas l'être demain et le meilleur partenaire d'aujourd'hui l'est bien moins demain. Donc que ce soit dans l'espace ou dans le temps il faut qu'un pays sache suivre ses intérêts et surtout les défendre à travers une politique extérieure adaptée. Mais compte tenu des forces et des faiblesses du pays en matière de capacité diplomatique, politique, économique ou militaire, la définition et la conduite d'une politique étrangère adaptée aux intérêts du pays n'est pas chose aisée. Celle-ci se bute constamment aux contraintes extérieures que représentent les positions respectives des principaux partenaires extérieurs du pays qui définit sa politique extérieure. Par exemple il est plus difficile pour les pays occidentaux de faire la guerre à la Syrie qu'à la Libye de Khadafi alors que Bassar a fait plus de victimes civiles que Khadafi. Cela tient à la personnalité des deux dirigeants, de l'ampleur de leurs soutiens internationaux, de la détermination de leurs adversaires respectifs, et des conséquences des conflits sur les intérêts vitaux des différentes parties prenantes. De la complexité des enjeux d'une relation dont font face les dirigeants d'un pays découle le choix de la politique extérieure du pays: relation conflictuelle armée ou relation diplomatique apaisée. Du coup la diplomatie n'est qu'une composante de la politique extérieure. Mais si elle est utilisée à bon échéant, elle peut conduire à de meilleurs résultats au moindre coût dans l'affirmation des intérêts vitaux d'un pays. Pour les pays pauvres comme le Mali, avec des armées faibles et désorganisées, la diplomatie apparait dans la quasi totalité des relations internationales comme le seul recourt possible. Mais est-il possible d'user de la diplomatie pour résoudre un problème interne d'un pays? Dans le cas d'espèce du conflit avec la rebelle du Mnla, très actifs sur internet et les réseaux sociaux, avec une politique agressive de communication, la diplomatie employée de manière efficace peut bien constituer un vrai rempart. En effet l'enjeux étant de décrédibiliser les revendications indépendantistes intempestives à caractères raciales et ethniques sur fond de victimisation non prouvée. En plaçant un ex rebelle arabe repenti des années 90 à la tête de la diplomatie malienne, IBK joue plutôt bien cette carte de décrédibilisation des mouvements indépendantistes, à condition que son nouveau ministre des affaires étrangères travaille sincèrement et réellement à faire valoir les efforts du Mali à intégrer dans la nation et de manière équitable tous les fils du pays. Donc c'est d'abord un pari sur la sincérité d'un homme, Zahabi Ould Sidi Mohamed ministre des affaires étrangères du Mali, et de son implication personnelle à porter plus haut, dans le concert des nations, la voix du Mali. La solidarité gouvernementale et surtout le contrôle des actions gouvernementales doivent pouvoir l'aider à aller vers cette sincérité et cette implication pour le Mali. A court terme le risque est donc limité de voir un dérapage diplomatique de la part de M. Ould Sidy Mohamed. Mais à moyen et long terme ce risque est paradoxalement beaucoup plus grand, car ce poste agrandit de facto le carnet de visites de M. Ould Sidy Mohamed, comme le poste de Conseiller diplomatique l'avait fait pour Iyad Ag Ghali à Djeda en Arabie Saoudite qui lui a permis de nouer des relations au Qatar et de déclencher la guerre en 2012. Et nul ne peut prévoir les intentions futures de M. Ould Sidy Mohamed dans les 5 à 10 ans à venir. Donc dans le cas d'espèce du Mali, et pour le conflit au nord il faut à court terme jouer sur la diplomatie. Mais l'affirmation à long terme de la souveraineté intérieure et extérieure du pays et12 ansRépondreLike (0)
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DOUDOUBA:lol: :lol: :lol: :lol: De toutes les facons BROU BROU ,i bi ichi toni ke fanci ye :lol: :lol: :lol: :lol: Bamako pas question :lol: :lol: :lol: :lol:12 ansRépondreLike (0)
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Broulayi:-D :-D :-D Soldat de 1ère classe Ag Dudube... Broulayi vit la moitié de l'année au Mali... :-D :-D :-D Am ba critiké pian ! :-D :-D :-D12 ansLike (0)
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Observateur100Cet article veut simplement dire que son auteur n'a rien compris du vote massif des maliens en faveur d'IBK. Ce vote au contraire veut dire que le peuple malien a voulu prendre son destin en main à travers un homme auquel il a placé sa confiance pour le changement dans ce pays. Dès lors, le Président IBK devait savoir qu'aucune erreur ne lui serait permise d'abord dans le choix des hommes pour animer la vie gouvernementale, ensuite les actions à entreprendre pour répondre aux attentes des maliens et enfin les résultats par lesquels le peuple doit le juger. A cet égard, les critiques sont plus que utiles car elles contribuent de façon positive à alerter le gouvernement.12 ansRépondreLike (0)
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DiakmahaCe qui n’est pas compréhensible de la part de certains journalistes maliens, c’est ce griotisme et ce langage d’éloges qu’ils ont, non pas pour commenter un geste ou un acte, mais les gens pour la famille ou la descendance dont ils sont issus: « descendant de grands guerriers mandingues »!….. Et attention au mot « triomphe ». D’autres ont déjà « triomphé » sur lui avant. Remporter des élections ou prendre la tête de l’état peut signifier un tas d’emmerdes. De l’indépendance à nos jours, seuls 2 chefs d’état sur 5 s’en sont tirés à bon compte avec pleins d’insultes. Modibo était aussi un descendant de guerriers mandingues… Si vous voyez ce que je veux dire. Les critiques doivent attendre? Non. Vous l’ignorer, mais ce qui fait avancer un pays, ce sont les critiques si les gouvernants ont des oreilles et ce qui abruti un chef de pouvoir ce sont ses « fans ». Ces faux amis qui applaudissent à tout au départ, laissant le prince faire n’importe quoi et finissent par lui lancer des pierres.12 ansLike (0)
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DISALC'est très surprenant de constater qu'un malien peut accepter une seule seconde de s'appeler MUSSOLINI. Ou il n'a aucune connaissance de l'histoire, celle de l'Italie et du fascisme,ou alors c'est un complexé. Mais alors cela tombe très mal, car même les italiens dans leur grande majorité ont honte de cet homme qui est verue de leur histoire. Rien que la façon dont les joueurs de football africain sont traités pendant les matchs en Italie Mahamadou TRAORE devrait réflechir au surnom qu'il veut se voir collé. Au moins que Mohamadou Traoré s'informe sur la façon dont actuellement la ministre italienne d'origine congolaise est traitée chaque jour : les insultes racistes que même des députés profèrent en son encontre. Faut-il être malien pour être inconscient à se point?12 ansRépondreLike (0)
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BroulayiJ'ai honte... et je n'ose pas regarder la photo... Vous le jugez bien : ce pauvre monsieur est un complexé, qui n'a aucune connaissance de l'histoire, de l'Italie et du fascisme... Vite... on sa sauve en l'oubliant... :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:12 ansLike (0)
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