"Des sanctions contre toute violation"
1 Sep 2015 - 12:16
1 Sep 2015 - 12:16
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Le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a proposé de sanctionner ceux qui violeraient l'accord de paix et de réconciliation, signé en juin dernier entre Bamako et les groupes politico-militaires du Nord Mali.
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ayou yan torokasinn = kouros apatride sans intérêt pour la Nation10 ansRépondreLike (0)
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KassinL'autopsie de la gouvernance IBK et le péril malien! Dans un régime démocratique, la conquête et l'exercice du pouvoir se fait à partir des règles édictées dans une loi fondamentale appelée constitution. Le Mali a adopté par référendum une constitution le 25 février 1992 et c'est celle-ci qui régit le règles de fonctionnement des pouvoirs en république du Mali depuis plus de 20 ans. Cette constitution est un bon compromis pour assoir les bases d'un exercice équilibré des pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif au Mali et son respect scrupuleux conditionne la bonne gouvernance du pays. Mais malheureusement cela n'a pas été le cas et l'un des pouvoirs en occurrence le pouvoir judiciaire est en panne depuis 1992 et peine à dire le droit et forcer le pays sur les sentiers de l'état de droit et de la bonne gouvernance. Toutes les dérives de la république et de la nation malienne trouvent leur source dans le non respect de nos règles de fonctionnement de la société de nos lois et règlements. Bien qu'étant très critique des régimes Alpha et ATT pour leur mauvaise gouvernance du pays, je me suis farouchement opposé aux putschistes du 22 mars 2012 parce qu'ils mettaient en cause l'existence même du régime démocratique et faisaient retourner le pays dans les sombres moments du CMLN, donc d'un régime politique d'exception qui ouvrait la porte à toutes les aventures. Alors que le régime démocratique garantit les libertés fondamentales du citoyen surtout l'égalité devant la loi, la liberté d'expression et d'opinion, la protection des patrimoines privés et publics, etc. Les journalistes et les politiques qui ont été lâchement agressés par la soldatesque ivrogne de Kati sont là pour témoigner la différence fondamentale en matière de liberté entre un régime démocratique et un régime d'exception conduite par des militaires à la limite analphabètes et qui dirigent le pays par leur instinct et non par la loi. Mais le régime démocratique, n'est pas non plus une assurance tout risque pour un peuple, surtout s'il est travesti, il peut conduire le pays au chaos. Que Dieu nous en préserve. Elu à 77% des suffrages exprimés en aout 2013 au Mali, IBK s'est littéralement entouré de sa famille et de ses amis pour diriger un pays en crise. Ces discours enflammés et provocateurs, à commencer par celui du 2 octobre 2013, ont d'abord eu raison aux têtes brûlées de la junte militaire de Kati, en overdoses de mutineries fin septembre 2013. Le général météorite Sano De Gaulle et sa nuée de spadassins indisciplinés, inventeurs des charniers de Diago et environs croupissent désormais derrière les barreaux en attente de procès pour assassinat et autres chefs d'inculpations. Si la junte est rentrée dans les rangs, IBK qui montrait une "main fer dans un gang de velours" aux rebelles du Nord et qui a juré ne pas "négocier avec des hommes en armes" ni de les permettre de "se hisser à son niveau", en est réduit aujourd'hui à donner des villes entières du Mali à ces mêmes "hommes en armes" après avoir été "ivre de bonheur". Entre ces deux positions diamétralement opposées, il faut partir de la doctrine IBK sur la crise du Nord du Mali qui est de: Tout est négociable sauf l'intégrité territoriale du Mali et la forme laïque de la république. C'est doctrine n'est pourtant pas une invention d'IBK c'est la ligne de conduite de tous les pouvoirs successifs du Mali depuis Modibo Keita et c'est également la position édictée dans les résolutions de l'ONU sur le Mali, votées par le conseil de sécurité en 2013, bien avant l'élection d'IBK. Négocier, c'est le fil conducteur voulu par la communauté internationale précipitée au chevet du Mali depuis que les bidasses fuyards des combats au nord et pilleurs à Bamako ont sabordé notre constitution le 22 mars 2012 et qu'ils ont entraînée la chute vertigineuse des 3 régions du nord et d'une bonne partie de celle de Mopti moins de 10 jours plus tard. Le régime transitoire de Dioncounda Traoré et son négociateur attitré, Tiebilé Dramé, avait aussi réussit dans l'accord préliminaire de Ouagadougou du 18 juin 2013, à préserver le principe de l'intégrité du territoire national et la forme laïque de la république. Mais cet accord préliminaire était une invitation à négocier qui a permis de faire les élections qui ont vu élire IBK et il lui donnait 6 mois pour cela. IBK enfermé dans une sorte d'euphorie de la victoire électorale et des fastes de son investiture XXL avec rois et présidents du 19 septembre 2013 à Bamako, a cru bon de se la jouer Mandé Massa. Il va privilégier les voyages coûteux en jets privés ultra luxueux, s'arroge le droit de s'offrir un second avion présidentiel abondamment surfacturé et multiplie des marchés publics de gré à gré à des coûts de centaines de milliards, en violation flagrante de toutes les règles des finances publiques au Mali. La famille et les copains, tout au tour, bouffent à deux mains l'argent public, mais ni l'Eta10 ansRépondreLike (0)
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TOURE SL’ENQUÊTE enquête depuis 2012 dans le nord n'a rien donner les maliens GATIA doit aller jusqu'au bout d'aller à KIDAL sinon le calme ne sera jamais KIDAL.10 ansRépondreLike (0)