Kidal : le gouverneur s'installe, IBK en visite

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CONNAITRE IBKMerci Dabo, Ceux ci sont a etre ecrit en lettre d’or ds les annales du Mali 1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. 2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique. 3 – IBK est cynique. 4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause 5 – IBK se dit bourgeois dans un pays qu’il a maintenu dans la pauvreté 6 – IBK est un revanchard 7 – C’est clair, rien n’arrête IBK devant la conquête du pouvoir 8 – IBK est un manager du mensonge politique à outrage. 9 – IBK n’est pas reconnaissant envers ses serviteurs, en l’occurrence Alpha et ATT. 10 – IBK se dit « Kankélétigui » alors qu’il est le premier à trahir sa parole donnée. Oui, la mystification la plus scandaleuse de IBK, c’est quand il s’est autoproclamé « Kankeletigi » repris en chœur par ses thuriféraires.12 ansRépondreLike (0)
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AyaleMaintenant que le Gouverneur est labas il court pour aller visiter. Le peureux au moment des troubles il ne parlait meme pas. Seul Mariko a eu le courage d'aller a Kidal. Quel fausse impression de ce bourgeois dans un pays pauvre comme le Mali. Mes freres et soeurs ne vous laisse pas aveugler pas un assoiffe comme IBK. Ou etait ce IBK quand ATT etait au pouvoir? Ou etait ce IBK quand on a enleve un president elu democratiquement a un mois de la fin de son mandant. Qui a soutenu les auteurs de ce coup. Wake up and smell the coffee!12 ansRépondreLike (0)
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Mamadou DiabateIBK est l’homme de la situation personne ne peut dire le contraire soyons franc entre nous les maliens et maliennes et jettons un coup d’oeil dans le retroviseur du passé il a fait quoi comme mal depuis 1992 jusqu’a nos jours IBK est le seul homme qui peut faire sortir le Mali dans le trou dont il se trouve aujourd’hui ceci etant j’attire l’intention de tous maliens et maliennes a sortir massivement le 28 juillet pour voter IBK12 ansRépondreLike (0)
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AyaleQuel home de la situation?12 ansLike (0)
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tienimangoibk un sale traitre...12 ansRépondreLike (0)
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Rebelce quidam n'est qu'un démagogue de la première heure qui ne peut même pas assumer son si notoire et franchement pas glorieux passé politique, et nul besoin de loupe pour le décrypter. mais pis, c'est un hypocrite invétéré qui dit, dans Jeune Afrique, être parmi les "moins nantis" des candidats à l’élection présidentielle et fait au contraire une campagne propagandiste à outrance de pacha ploutocrate... une chose est sure cependant, ce serait très intéressant de voir un électorat de paumés lui accorder les rênes de ce qui reste de ce pays (comme ce fut le cas avec un certain islamiste égyptien il y a juste un an), pour qu'on en parle non pas à la fin du quinquennat mais sans aucun doute à mi-mandat... c'est tout le bien qu'on puisse souhaiter à un peuple masochiste, et ceux-la qui roulent pour ça en apporteront toute la responsabilité devant l'histoire.12 ansRépondreLike (0)
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PrésidentPrésidentielle de 2013 : Dix caractères marquants de IBK, le manager du mensonge politique Bamako, contrairement au reste du Mali, vibre au son de la désinformation et de la propagande politique devenue le cheval de bataille de Ibrahim Boubacar Kéïta pour arriver à ses fins. Alors pour éclairer la lanterne des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur sur cette campagne rétrograde, nous vous livrons ici dix raisons suffisantes du machiavélisme de IBK. Attention donc à cet homme dont voici le profil! 1 – IBK se veut un saint parmi les saints contrairement à la réalité. Cet homme a juré qu’il s’est séparé de l’alcool. Il ne rate aucune occasion pour utiliser le nom de Dieu (Soub’hana watallah !) à des fins politiques. Mais allez savoir combien de bouteilles jonchent dans sa poubelle chaque matin. Au moment où il fait tout, même l’achat de conscience, pour se faire passer comme le candidat des musulmans, allez savoir s’il a construit une seule mosquée (Att en avait construit 14 avant d’être candidat en 2002). Quel est le geste qui le singularise parmi les candidats dont on sait le combat de certains en faveur de l’Islam, notamment Me Mountaga Tall contre lequel IBK a lancé une vraie offensive de destruction à Ségou. Sans compter ces musulmans qu’il a fait tabasser par les forces de l’ordre et de sécurité. 2 – IBK ne connaît que la violence comme système de gouvernance politique. L’on se rappelle que tout au long de son séjour à la Primature, IBK est apparu certes comme un homme de fermeté, ce qui est à saluer à certaines occasions, mais surtout comme un violent serviteur. Une violence qui a conduit sa gouvernance à l’échec. L’école a connu ainsi la régression la plus terrible sous IBK par le fait de la répression aveugle qui s’abattait sur nos enfants. La recette de IBK pour une école de l’excellence fut la double vacation, la création de bureau parallèle à celui légitime des étudiants d’où la violence grandissante au sein d’une AEEM (Association des Elèves et Etudiants du Mali) bicéphale rompue aux exactions de toutes sortes dont les fusillades. A cela s’ajoute la création des fameux groupes de ninjas au service de missions politiques hautement criminels. Avec IBK, la classe politique n’est pas restée en marge de la déconfiture. Tous les opposants crédibles ont été emprisonnés : le doyen Almamy Sylla (que la terre lui soit légère), le combattant du 26 mars Me Mountaga Tall et autres… Oumar Mariko qui sentait l’assassinat sur ses trousses a préféré s’enfuir. C’était suite à un meeting, du reste légal en démocratie, où un policier par ses actes indélicats dans la salle a été observé et passé à tabac par des militants surexcités mais en dehors de la salle où se trouvaient les responsables politiques. La presse non plus n’a pas été en marge de la chasse aux sorcières, des confrères ont reçu la visite des ninjas, et l’un d’eux a même fini par abandonner à l’époque la profession. En effet, notre démocratie doit à l’AEEM, à la classe politique et à la presse avant tout. Et ce sont ces piliers qui étaient dans le collimateur de IBK qui a voulu porter la peau du lion pour effrayer ceux qui ont abattu le lion debout. Incroyable mais vrai ! 3 – IBK est cynique. Lors de sa gestion chaotique de l’école malienne, le bureau conduit par Zarawana a commis l’imprudence d’observer une grève de la faim. Empêtrés comme un troupeau dans la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako, aucune intervention, aucune prière, aucune action d’envergure n’a aboutit à faire reculer IBK. Les enfants ont fini par observer la grève de la faim. Et tous l’ont observé avec la dernière rigueur. Ce qui a conduit un enfant à l’hôpital, mais qui a refusé de se faire administrer le sérum, car déterminé plutôt à mourir que d’être la risée de ses camarades. C’est alors que Alpha a refusé de suivre IBK et a ordonné la libération des étudiants. 4 – Pour IBK, ce sont les autres qui sont toujours en cause. Oui, quand il vote une loi qui finalement n’emporte pas l’adhésion populaire, IBK trouve l’astuce de dire que c’est parce que les autres l’ont voulu ainsi, sinon lui était contre. Quand au nom de l’Etat malien un accord est signé pour la paix en vue d’un développement harmonieux du pays, IBK brode dessus à la première insuffisance constatée qu’il n’était pas d’accord. Il oublie que sans ces accords, les pertes seraient énormes en vies humaines, en matériels et en infrastructures. Mieux vaut un mauvais arrangement qu’une bonne guerre (il n’y en a même pas entre les fils d’un même pays et c’est toujours regrettable d’un côté comme de l’autre). Après une marche organisée par ses partisans, il dit ne pas être d’avis avec eux, malgré la particpation des autres leaders de son parti, ainsi mis en cause. Pis, IBK, on se le rappelle, n’a trouvé autre chose à dire aux enfants des pauvres que s’ils ne partent pas à l’école, ce sont leurs enfants (des riches) qui viendront les commander. Comme si la faute incombat aux enfants de pauvres. Est-ce ce qu’il ch12 ansRépondreLike (0)