Appui militaire de la CEDEAO: Le capitaine Amadou Aya Sanogo s'explique sur les rumeurs qui circulent

Tous les Maliens connaissent parfaitement l'efficacité de nos forces de sécurité. Elles ont parfaitement protègé le président par interim, il y a quelques semaines. Mais leur réelle compétence, une véritable expertise: c'est le racket des automobilistes, des taxis et des sotrama. Dans ce domaine, ils sont vraiment efficaces. Quant à nos soldats, pourquoi se battraient-ils avec plus d'ardeur demain qu'ils ne l'ont fait hier. Ce sont les mêmes soldats recrutés généralement par piston. Du matériel, ils y en avaient beaucoup (des chars, des véhicules blindés de transport de troupes, de l'artillerie, des avions, des hélicoptères) et ils ont tout abandonné au nord. Tous les Bamakois ont encore en tête le défilé du cinquanteraire de l'indépendance : une démonstration de force. Le problème : c'est l'envie, c'est la volonté, c'est le courage de se battre. Le capitaine Sanogo et sa junte en sont un exemple. Il est bien plus tranquille de s'enrichir à Bamako que d'aller combattre au Nord.

Merci capitaine que cest genial Tout ce que tu fait pr ce pay

Faire sécuriser les institutions de la transition par les forces de la CEDEAO, devient plus qu’indispensable. Si on ne le faisait pas, c’est toujours les mêmes signes de la mal gouvernance auxquels nous ont habitués les régimes passés. C’est parce que la junte militaire veut défendre ses intérêts que le gouvernement cède pour livrer les institutions de la transition à l’insécurité. On comprend bien que pour la junte, être fondu dans les forces de la CEDEAO, fait perdre les postions qu’elle occupe dans Bamako : prendre en otage l’ORTM, encercler le camp1, maintenir le siège sur la ville de Kati et sur le palais présidentiel de Koulouba. C’est aussi la recherche du prestige : éviter qu’on entente dire que les militaires maliens sont incapables. Mais pourquoi ne pas céder à cette réalité qui a éclaté quand le président Diocounda a été agressé. Bamako aujourd’hui est en insécurité, avec ces armes disparues qu’on ne pourra jamais récupérer, ces militaires qui se sont fondus dans la population, les grandes divisions au sein de l’armée selon des tendances prêtes à s’affronter. C’est justement cette situation qui fait que les armes sont bloquées par la CEDEAO car l’institution craint le dérapage pouvant en résulter avec une armée marquée par de graves dissensions internes qui risqueraient de cause une mauvaise gestion de cet armement. Les conséquences sécuritaires sont à redouter non seulement pour le Mali, mais pour les pays voisins. Encore une fois si nous considérons ce conflit comme simplement malien, les autres pays voient que cette menace islamiste ne se limitera pas au Mali seul et c’est aussi le point de vue de la CEDEAO. Nous ne pouvons pas faire avancer le Mali dans la légèreté. Nous devons chercher à sauver notre pays

Va voir ailleurs. Le Mali a assez souffert de ta poisse. Et a-ton reelement un Chef d'Etat Major General des Armees? Un ministre de la Defense? C'est un piteux Capitaine, auteur d'un coup d'Etat le plus stupide de l'histoire du monde qui repond des questions militaires a la place des Colonels et CM. Decidement demain n'est pas la veille.

CHERS SŒURS ET FRÈRES MALIENS, AVOUER SON IMPUISSANCE DEVANT UN FLÉAU MONDIAL, LE TERRORISME, ET SE FAIRE AIDER POUR LAVER UN AFFRONT COLLECTIF ET NATIONAL (LE PAYS OCCUPÉ ET MORCELÉ) N’EST PAS UN DÉSHONNEUR NI UNE PERTE DE SOUVERAINETÉ, C’EST AU CONTRAIRE L’EXPRESSION D’UN RÉEL PATRIOTISME Bonjour, Numériquement, puis faute de moyens (logistiques et humains) suffisants et, en plus, divisées, les forces de défense et sécurité Maliennes sont vulnérables et ne peuvent être au front en train de se battre pour la restauration de l’intégrité territoriale et assurer la sécurité des villes conquises et celle des populations (pour la réception des vivres et médicaments). Contrairement à ce que prétendent certains, faire assurer cette sécurisation par la CEDEAO/UA/ONU, n’est pas un moyen de préparer le terrain au retour du MNLA ou à quiconque (Ansar Dine, …) car ça sera aux Maliens de décider, dans l’unité, du devenir du pays et non à la force de sécurisation de la CEDEAO et/ou de l’UA et/ou de l’ONU, qui doit être exclusivement orientée vers la tâche pour laquelle elle sera engagée : assurer la sécurisation des villes conquises et garantir aux populations de recevoir des vivres et médicaments. Comme le propose la lettre du Président, c’est aux Maliens de SE METTRE DEVANT ET D’ORGANISER LA RECONQUÊTE du territoire et sa sécurisation, ÉPAULÉS par la CEDEAO et/ou l’UA et/ou l’ONU ET les partenaires régionaux et internationaux. Compte-tenu du terrorisme qui a envahi le Mali, croire que les Maliens le feront seuls est un leurre. La participation et l’engagement de tous est nécessaire pour ce faire. Tous les Maliens et l’armée doivent faire front autour de la lettre du Président, solliciter et vouloir l’aide de la CEDEAO et de la communauté internationale pour assumer la souveraineté du Mali, laver l’affront collectif et national (le Mali occupé et morcelé) et reconstruire dans l’unité le Mali. Les Maliens doivent avoir le courage de laver cet affront collectif en se faisant aider par la communauté régionale et internationale. La participation et l’engagement de tous est nécessaire pour ce faire. Y A-T-IL ENCORE DES MALIENS QUI N’ACCEPTENT PAS CET AFFRONT COLLECTIF ? Si oui, pourquoi refuser l’aide bienveillante des autres (CEDEAO, UA, ONU, Communautés régionales et internationales) sachant que les Maliens pourront contrôler, s’ils le veulent, l’usage qu’ils en font ? Avouer son impuissance devant un fléau mondial, le terrorisme, et se faire aider pour laver cet affront collectif n’est pas un déshonneur ni une perte de souveraineté. Au contraire, c’est l’expression d’un RÉEL PATRIOTISME. Bien cordialement Dr ANASSER AG RHISSA EXPERT TIC ET GOUVERNANCE E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

Quinze millions d'habitants et pas un seul de la trempe de TOUMBA DIAKITE.Quelle honte! Devons nous supporter encore longtemps ce poltron? :twisted: :twisted: :twisted: