Elections communales du 20 novembre : L’URD mise sur 30% des maires et conseillers

C’est au cours d’une conférence de presse que les membres du parti de la poignée de mains ont exprimé leur volonté d’avoir les 30% des maires et élus communaux lors du scrutin du 20 novembre prochain.

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C’est au cours d’une conférence de presse que les membres du parti de la  poignée de mains ont exprimé leur volonté d’avoir les 30% des maires et élus communaux lors du scrutin du 20 novembre prochain. C’était le jeudi 10 novembre 2016 à leur siège. La conférencière était animée par Mme Coulibaly Kadiatou Samaké, vice-présidente chargée des questions électorales.

Comme à l’accoutumée le parti URD rencontre les hommes de médias à la veille de chaque processus électoral afin de discuter avec eux sur les préparatifs des échéances, les défis et enjeux mais aussi et surtout de leur ambition. Cette tradition a été respectée. En effet,  le parti du chef de file de l’opposition a décrié les difficultés auxquelles le scrutin du 20 novembre peut être confronté. Selon la conférencière, les élections communales du 20 novembre se tiennent dans un contexte d’insécurité grandissante qui ne dit pas son nom. Les autorités du Mali n’arrivent pas à sécuriser les populations en cette période, les attaques se multiplient du jour en jour.  S’il faut faire les campagnes dans cette condition, les candidats ne sont pas à l’abri ainsi que les électeurs.  A l’heure où cette conférence se tenait le véhicule du député Amadou Maiga du parti a été attaqué à Douatzan. Des pertes financières et matérielles  considérables ont été enregistrées.   Ce qui prouve à suffisance l’insécurité totale à laquelle les candidats seront confrontés lors des campagnes.  Néanmoins, le parti a déposé ses listes. Il s’agit de 664 candidatures dont 270 du parti et 394 alliances sur lesquelles 14 ont été invalidés pour des raisons qui n’étaient pas valables du point de vue de la loi. Le parti de la poignée de main a déposé 70 recours contre les partis pour le non-respect de  la loi du genre qui a été promulgué en 2015 qui stipule le respect des 30% des femmes aux postes électifs et nominatifs. Ces recours ont été invalidés par les instances juridiques par ce que le parti majoritaire notamment le RPM et ses alliés ne l’ont pas appliqué. A l’URD, cette loi a été respectée à la lettre.  La question des deux lois électorales ont fait l’objet de discussions lors de la rencontre de la classe politique et le ministère de l’administration territoriale. Ce dernier  est en train de créer une confusion sur cette question. La nouvelle loi a été promulguée  le 17 octobre passé à la veille des préparatifs de ce scrutin. Une loi promulguée abroge l’ancienne. Le Ministre n’a pas pris le courage d’affirmer à la classe politique sur laquelle des deux lois qui couvrent les élections des communales. Dès la promulgation d’une loi, elle rentre en vigueur. Cette confusion est établie pour que les autres partis se découragent afin que le parti majoritaire remporte le maximum de sièges. Malgré ces difficultés le chef de file de l’opposition a fait appel à ses militants et candidats à faire preuve de rétention et de vigilance lors de cette élection. Une déclaration a été lue par Me Demba Traoré chargé du contentieux.

Bissidi Simpara

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Elections communales 2016 en commune I : Tous les quartiers derrière Mamadou B Kéita

Ils sont nombreux les comités et sous commissions à vouloir accompagner la candidature de Mamadou B Kéita de la commune I. Ils l’ont fait savoir lors des réunions, des meetings et des manifestations qui se passent aujourd’hui dans les différents quartiers de Bamako.

Tous ont témoigné de leur reconnaissance en faveur de l’homme Mamadou B Kéita  Lors des différentes manifestations dans les communes, on ne peut entendre que des mots doux à l’endroit de l’homme. Humble, courtois et gentille, Mamadou B Kéita  pour beaucoup qui l’ont côtoyé pensent qu’il est l’homme à relever les défis de la commune I. déjà il a commencé avant même qu’il ne soit sollicité par des groupements pour se présenter aux municipales. Déjà au niveau de son université privée, une des prestigieuses du Mali, M Kéita a commencé depuis des années à venir au chevet des familles qui n’ont pas les moyens de payer la scolarité des enfants, le lycée pour soulager les enfants qui après plusieurs tentatives de faire le baccalauréat ont échoué et  la société de nettoyage des ordures Mandé Sanuya où les ordures des familles sont prises en compte par la société. Il fait partie des initiateurs du Laboratoire des langues en commune I dans lequel on apprend l’anglais, le chinois, l’arabe, l’allemand, l’espagnol, le bambara et le français.

Sa vision est d’améliorer l’existant et non de profiter. ‘’J’ai soixante-dix ans révolus. Je dis Alhamdoulila, mon futur est derrière moi. Je ne vous mentirai jamais. J’ai été à la Mecque. Et, si ma commune me choisit comme maire, je jurerai sur le coran avant de prendre fonction’’, a –il l’habitude de dire. Pour lui, un maire doit incarner l’exemple. En ce qui concerne les ressources de la mairie, M Kéita pense être suffisant pour en prendre. Soutenu par plus de 55 associations, toutes basées dans la commune I, M Kéita a toutes les chances aujourd’hui de briguer cette municipalité qui par sa gestion était chaotique. D’ailleurs les populations de la commune ont assisté avec amertume les différents scandales qui ont émaillé la mairie.  C’est pourquoi, il envisage de créer une police municipale pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Cette police municipale viendra en appui aux forces de l’ordre pour lutter contre le banditisme, le vol à main armée dans sa commune. Aujourd’hui, M Kéita argue à qui veut l’entendre que les préoccupations de sa commune lui tiennent à cœur et il faut que les choses en l’état changent.

Rappelons que Mamadou B Kéita est né le 10 janvier 1944. Il est le PDG de l’université Ecosup sise à Djélibougou avec plus de 50 ans de carrière dans l’enseignement, à la retraite depuis 10 ans, il a décidé d’aider les démunis pendant le restant de sa vie. Au RPM depuis 2002, Il a dirigé le premier comité en 2006 et il est aujourd’hui le porte-drapeau du Rassemblement Pour le Mali lors de ses  municipales qui auront lieu le 20 novembre 2016.

Avec une vie associative  et professionnelle très active, il jouit d’un leadership avéré dans toute la commune I pour pouvoir gérer confortablement la mairie de la commune I. Une seule chose est sure, les différents clubs au niveau de la commune sont déjà à pied d’œuvre pour élire avec brio M kéita. La cellule de communication dirigée par un jeune de renom  Abdoul Aziz Diallo et de Badara Sidibé, un autre jeune très influent dans les quartiers comme Babiyabougou, le combat risque de ne pas être difficile pour la tête de liste du parti RPM.

Siaka Doumbia

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Communales en commune de Kalaban Coro : La candidature d’Abdourahmane Sissoko pour sauver la jeunesse

Il est très jeune et il a ses preuves par le passé dans les associations estudiantines. Abdourahmane Sissoko, ancien secrétaire général de l’Ecole normale Supérieure est aujourd’hui candidat aux municipales de novembre dans la commune de Kalaban Coro sur la liste de APR de Oumar Ibrahim Touré. Avec les différentes expériences acquises

Né il y’a une trentaine d’année dans la première région du Mali, Abdourahmane Sissoko a connu un parcours scolaire mouvementé par  les associations scolaires. Du lycée Biya où il a  intégré le comité AEEM  pour défendre la cause des élèves, Abdourahmane Sissoko, alias Ken continua ce noble combat pour  devenir respectivement responsable des classes au niveau de la faculté  de l’histoire archéologie. Un  des pères  fondateur de l’Association des Etudiants en Hist-Archéo, M Sissoko finira par rejoindre l’Ecole Normale Supérieure sur concours avant de devenir le sécretaire général de la prestigieuse école et en devenir le président de la formation. A kalaban Adeken, un quartier où il habite depuis plusieurs années, Abdourahmane Sissoko avec certains jeunes du quartier ont créé de l’Association des jeunes pour le Développent et le progrès de Kalaban-coro. Il est d’ailleurs le président de cette association qui a mené pas mal d’activités dans le quartier comme l’organisation de l’émission Top Etoiles et des journées de salubrité.

Avec le soutien des femmes et des jeunes de sa commune, Abdourahmane Sissoko entend donner un nouvel élan à sa commune qui est beaucoup en retard par rapport aux autres communes. Le parti APR que Sissoko représente compte faire des créations de périmètre de maraichages et rizicoles pour les femmes à Diatoula, Gouana, Kabala berge, Missala, Missalabougou, Nogolobougou, NTabaccoro ; la création des petites unités de transformation de la mangue de l’anacarde,  du sésame. La commune étant une zone de spéculation foncière par excellence, le parti exigera à ce qu’un audit soit fait  pendant le passage du maire sortant.

Aujourd’hui avec la volonté de faire de sa commune un havre de paix où règne une atmosphère bonne à vivre, la candidature d’Abdourahmane Sissoko de l’APR mérite un accompagnement de sa commune soucieuse du développement de leur secteur.

Djibril Samaké

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