Accord de paix, un an après : Bilan mitigé

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Autant des progrès ont été enregistrés dans le processus de paix, autant les défis restent multiples et immenses. Les populations, elles, ne voient presque toujours pas de retombées significatives sur le terrain. Coup de projecteur sur l’Accord pour la paix et la réconciliation, un an après sa signature !

Le 20 juin 2016, cela faisait un an que le gouvernement malien et les différents groupes armés ont parachevé la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale au Mali issu du processus d’Alger. Si cette date anniversaire arrive dans un contexte où le processus connait une relance avec notamment la signature d’un protocole d’entente sur les modalités de mise en place des autorités intérimaires dans les régions du Nord, il n’en demeure pas moins que les populations maliennes (surtout celles du Nord) ont toujours du mal à apprécier les avancées significatives sur le terrain. En effet, à jeter un regard sur le processus de mise en œuvre de l’Accord douze mois après sa signature, on convient de la multiplicité des défis, quand bien même quelques progrès ont été enregistrés.

Les avancées à noter

Du 20 juin 2015 (date de la signature de l’Accord) à nos jours, le processus de paix a engrangé un certain nombre de points positifs qui s’apprécient d’accord sur le plan sécuritaire. En effet, tous les observateurs s’accordent à reconnaître que depuis la signature du document,  les différentes parties signataires (Gouvernement, Plateforme et CMA) ont respecté de façon scrupuleuse le cessez-le-feu. Même si on a parfois assisté à de vives tensions entre les combattants de la Plateforme et ceux de la CMA, celles-ci n’ont toutefois jamais dégénéré. Ce point constitue d’ailleurs l’avancée la plus significative que le processus ait enregistrée.  A cela, il faut ajouter un certain nombre d’efforts que la partie gouvernementale a effectués sur le plan des réformes politiques et institutionnelles. Au nombre de ces reformes on retient (le chef de l’Etat les a d’ailleurs bien mentionnées dans son discours du 19 juin) la nomination et l’installation des gouverneurs des régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’Administration générale; la promulgation de la loi instituant les autorités intérimaires, puis l’adoption du décret fixant les modalités de mise en place desdites autorités; l’amorce du processus de révision de la Constitution, à travers la mise en place du groupe de relecture et l’élaboration du chronogramme de travail, notamment pour prendre en charge les dispositions de l’Accord relatives à la mise en place de la 2ème chambre du Parlement, le Sénat; la création du cadre institutionnel de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) avec la nomination d’un Commissaire à la RSS ainsi que la relecture en cours du décret créant le Conseil national de la RSS. S’y ajoutent la prise en charge par le Gouvernement des combattants des mouvements signataires, en attendant le démarrage effectif du processus de DDR; l’identification des 24 sites de cantonnement à viabiliser et le début de la construction de 3 sites (Likrakar, Fafa, Inegar) et l’accord pour en construire cinq (5) autres supplémentaires; la réalisation en octobre 2015 de la première patrouille mixte (forces armées maliennes et mouvements signataires) ainsi que la remise des listes partielles des ex-combattants des mouvements signataires de l’Accord, en vue de la constitution des premières unités du Mécanisme opérationnel de coordination (MOC)  et du démarrage des opérations de pré-cantonnement et de  désarmement-démobilisation et réinsertion (DDR). Des efforts ont été aussi faits sur le plan du développement économique, social et culturel. Ils sont porté sur la mise en place et l’installation des Agences de développement régional (ADR) dans toutes les régions et le district de Bamako avec une dotation budgétaire conséquente sur l’exercice 2016; l’organisation de la Conférence de Paris du 22 octobre 2015 pour la mobilisation des fonds nécessaires à la mise en œuvre de l’Accord (avec 3,2 milliards d’euros d’annonces faites); la réalisation de la Mission d’évaluation conjointe sur le Nord du Mali (Miec-Nord/Mali); la rédaction de la Stratégie spécifique de développement des régions du Nord du Mali (SSD/RN), etc. Sur le plan de la justice, la réconciliation et les questions humanitaires, les actions les plus significatives entreprises par le gouvernement au cours des 12 derniers mois restent le démarrage effectif des travaux de la Commission vérité, justice et réconciliation (Cvjr); l’élaboration et la mise en œuvre d’une stratégie et d’un plan d’actions de retour des réfugiés et des personnes déplacées internes. Ajoutez-y l’actualisation du Plan d’urgence et de relèvement pendant la période intérimaire 2016-2017; l’élaboration d’un avant-projet de document de politique sur la justice transitionnelle, assorti d’un Plan d’actions; l’élaboration du Plan national de mise en œuvre de la résolution 1325 de l’ONU, permettant de développer des stratégies de lutte contre les violences basées sur le genre et d’élargir la participation inclusive à la mise en œuvre de l’Accord, entre autres.

Les défis restent cependant immenses

Les points soulignés ci-dessus ne doivent cependant pas occulter les nombreux défis qui du reste plombent le processus de paix en cours. Est-il encore besoin de rappeler que la mise en œuvre de l’accord accuse du retard que les différents acteurs s’accordent à déplorer. Par ailleurs, si on peut espérer que les blocages nés autour de la mise en place des autorités intérimaires sont désormais levés, il reste que la situation sécuritaire sur le terrain s’est considérablement dégradée. Outre les attaques terroristes enregistrées au Nord, au Centre et même au Sud du pays, les forces maliennes et étrangères restent plus que jamais harcelées dans le Nord du pays. Cette situation qui fait de la Minusma l’une des missions les plus meurtrières de l’ONU (101 casques bleus tués en un an) reste tout aussi un vrai piège pour le processus de sortie de crise. De nombreux observateurs s’accordent à dire que la recrudescence de la violence dans les régions Nord est la conséquence logique non seulement de la lenteur accusée dans le processus, notamment la phase de cantonnement, mais aussi de l’inadéquation entre le mandat de la Minusma et la situation qui prévaut sur le terrain. Les raisons de cette situation d’insécurité sont aussi à rechercher dans le fait que des groupes armés, pourtant signataires de l’accord de paix, entretiendraient toujours de bons rapports avec les ennemis de la paix. Conséquence: l’Accord de paix est fréquemment mis à rude épreuve à travers des attaques ciblées, avec son cortège de morts d’hommes. Certaines sources chiffrent à 300 le nombre d’hommes qui ont trouvé la mort depuis la signature de l’Accord.

Nouvelle espérance

Face à ce bilan mitigé enregistré dans la mise en œuvre de l’Accord, des signaux sont là et qui, véritablement, sonnent comme un nouveau départ dans le processus. Le premier fait qui motive cette nouvelle espérance, c’est la signature, ce 20 juin, d’un document intitulé ‘’Entente’’ par l’ensemble des parties signataires de l’Accord. En effet, cette sorte de ‘’sous-accord’’ définit les modalités pratiques de la mise en œuvre des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat ainsi que l’installation des chefs de circonscription administratives et du Mécanisme opérationnel de coordination. Ces points avaient d’autant plus constitué une pomme de discorde entre le Gouvernent et les mouvements armés que ces derniers avaient suspendu leur participation aux travaux du Comité de suivi et ceux de certaines sous-commissions techniques. L’autre signal qu’il convient de noter, c’est la nomination de Mamadou Diagouraga en qualité de Haut représentant du président de la République dans le processus de mise en œuvre de l’Accord. En pourvoyant ce poste resté vacant depuis la nomination de Modibo Keïta à la Primature, les autorités maliennes réaffirment leur volonté de relancer le processus de sortie de crise. Aussi, la présence à Bamako de certains leaders des groupes armés, comme Bilal Ag Achérif du Mnla et bien d’autres, ne devrait-il pas être un élément négligeable pour la suite du processus de paix. Il y a aussi à espérer que dans la perspective de son probable renouvellement à la fin de ce mois, le mandat de la Minusma sera renforcé afin que la mission onusienne puisse s’impliquer véritablement dans la lutte contre le terrorisme. Ce vœu, maintes fois émises par les autorités maliennes, devrait enfin être entendu par le Conseil de sécurité des Nations Unies pour octroyer à la force de la Minusma une posture plus robuste et plus active.

Le temps du réalisme

Ce qu’il convient à présent de rappeler, c’est que, comme IBK l’a d’ailleurs souligné dans son discours, la dégradation de la situation sécuritaire ces derniers temps nous impose d’accélérer la cadence de mise en œuvre de l’Accord. Pour y parvenir, le gouvernement, la Plateforme et la CMA devront désormais faire preuve de réalisme, car ‘’la mise en œuvre de l’Accord sera non pas l’œuvre d’un homme ou d’un groupe d’hommes, mais une œuvre collective de construction d’une paix globale et définitive au Mali’’, a indiqué Ibrahim Boubacar Keïta. Il urge que les différentes parties entendent enfin le cri de détresse de ces Maliens qui fondent d’immenses espoirs sur l’Accord de paix pour voir la fin de leurs souffrances. Assez de temps perdu souvent sur des questions qui ne relève même pas du fond.

Bakary SOGODOGO

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101 COMMENTAIRES

  1. **********100 Commentaires sur “Accord de paix, un an après : Bilan mitigé”*******
    CERTES ….
    Mais …comme en priorité , il FAUDRAIT savoir discerner le HARAM du HALAL ….. 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 …TOUT DEVIENT DIFFICILE…. !
    …………..N’est ce pas ?
    🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂

  2. On ne sort pas d’une guerre comme si on sortait d’un bal.
    C’est pourquoi j’appelle tous les maliens à soutenir les autorités dans la mise en oeuvre progressive de l’accord de paix car ce n’est pas facile…

  3. l’application de l’accord doit se faire étape par étape,c’est mieux de connaitre les limites de l’ennemis que de précipités comme l’ a faire nos anciens chefs d’etats

  4. le bilan ne peut pas etre mitigé car cet accord va au delà du mali,aujourd huit toute la communauté internationale observe le mali,nous n’avons pas le choix que de passer par la voie diplomatie qui est sur la bonne voie.

  5. La route vers la paix est une route très longue parsemée d’embûches et d'épines.Comme on le dit il est plus facile de faire la guerre que la paix.L'accord de paix rencontre des difficultés dans sa mise en oeuvre mais le gouvernement a consenti beaucoup d'efforts pour que cet accord aboutisse.C'est dans cette perspective qu'une entente a été trouvé pour la mise en place des autorités intérimaires.Nous sommes donc très confiants pour la suite du processus.

  6. La route vers la paix est une route très longue parsemée d’embûches et d'épines.Comme on le dit il est plus facile de faire la guerre que la paix.L'accord de paix rencontre des difficultés dans sa mise en oeuvre mais le gouvernement a consenti beaucoup d'efforts pour que cet accord aboutisse.C'est dans cette perspective qu'une entente a été trouvé pour la mise en place des autorités intérimaires.Nous sommes donc très confiants pour la suite du processus.

  7. L’accord prévoit un calendrier de mise en œuvre et du retour de l’administration dans les cinq régions du nord du Mali. Ainsi, dès le 30 septembre, on assistera au retour effectif de certains services de l’État à Kidal, actuellement hors de son contrôle. Il s’agit notamment des services techniques de l’éducation, la santé, l’énergie et l’eau et la justice.C’est cette avancée qui gène l’opposition malienne et qui paye ces journalistes pour dire du n’importe quoi.

  8. Prévue par l’accord de paix, la mise en place des autorités constituait un blocage dans le processus de paix. Les groupes armés l’avaient posée comme condition pour poursuivre leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord.Un accord a été trouvé pour avancer.C’est le plus important.L’opposition malienne peut dire ce qu’elle veut le pays avance sur le chemin de la paix.

  9. L’accord entre le gouvernent malien et la CMA indique que les préfets, sous-préfets et gouverneurs seront secondés de représentants de la CMA et de la Plateforme. Les trois parties se sont aussi engagées à assurer la sécurité et le redéploiement des services sociaux de base.C’est le retour de l’administration à Kidal.Les ennemis de notre pays peuvent dire ce qu’ils veulent.Cela ne nous empêche pas d’avancer sur la route de la paix.

  10. L’autorité intérimaire est composée des représentants du gouvernement et de la plateforme et ses membres seront désignés de façon consensuelle. Une fois en place, elle choisira un président et deux vice-présidents en son sein. Le président sera provisoirement le chef de l’exécutif local.Qu’est ce que les idiots ne comprennent pas en cela et dise du n’importe quoi.

  11. Les ennemis de la paix se réveillent de leur sommeil.Ils ont entendu qu’il y a eu un terrain d’entente entre le gouvernement malien et la CMA.Faut il leur rappeler que nous sommes en train de négocier une paix dont l’absence empoisonne notre vie de tous les jours?Le président IBK et le gouvernement malien savent ce qu’ils font.L’essentiel est que les points de désaccords ont été levés et le processus de paix va avancer.
    Les ennemis de notre pays ne veulent pas de cela.Mais le président IBK et le peuple malien vont en finir avec cette guerre de façon définitive.

  12. Cette entente constitue d’autant plus une avancée majeure dans le processus de sortie de crise que le fossé s’était creusé, depuis quelque temps, entre le Gouvernement et les mouvements armés, partagés sur la voie à suivre pour l’ouverture de la période intérimaire, prévue à l’annexe I de l’Accord.Je pense qu’il faut saluer tous les acteurs pour cette avancée notable.Pour ce qui est des interprétations faites par les journalistes de l’opposition,on s’en fout.Tout ce qui importe c’est la paix.

  13. Cet article est vraiment doté d’une objectivité rare dans ce pays. C’est ce qu’on appelle un article de presse en bonne et du forme. Un article qui fait un constat claire de la situation sans parti pris et qui dit ce qui est.
    Pour une fois je salue vraiment le professionnalisme de ce journaliste.

  14. Dans un document officiel dénommé ‘’Entente’’, le Gouvernement et les mouvements armés, en l’occurrence la Plateforme et la CMA, ont consigné les modalités pratiques de la mise en place des autorités intérimaires, du redéploiement des services déconcentrés de l’Etat.Nous sommes très contents de cette de cet accord qui constitue un coup d’accélérateur pour le processus de paix.Les ennemis du Mali peuvent dire ce qu’ils veulent.Le pays avance malgré leur aversion pour notre pays.

  15. Les blocages ainsi levés, il faut donc espérer que les parties auront le sens du compromis pour la suite d’un processus qui accuse du retard. Ce, pour le bonheur des populations du Nord, des milliers de réfugiés, des Maliens tout court.
    Ce sont les ennemis de notre pays qui trouvent des choses à dire à ce sujet.

  16. L’accord d’Alger connait des problèmes de part et d’autres mais il y a eu quelques acquis même si ceux-ci ne sont pas à hauteur de souhait.
    Ce n’est pas la désillusion comme on veut vraiment nous le faire croire car mieux vaut aller lentement et surement que de brûler les étapes et se casser la figure aux premières difficultés. Malgré les problèmes les acteurs ont su toujours se retrouver et garder le cap et cela en plus des actions de ces derniers jours doivent pouvoir constituer des sources d’espoir et d’espoir de mise en œuvre des accords de paix qui nous conduirons à la paix.

  17. En trouvant un consensus sur La mise en place des autorités intérimaires et d’autres points saillants de l’Accord de paix, les parties signataires posent ainsi un pas important dans la mise en œuvre du document issu du processus d’Alger.Les maliens,les vrais en sont satisfaits.Les autres pseudos maliens peuvent dire ce qu’ils veulent mais le pays avance.

  18. Je pense que de la signature de l’accord de paix à aujourd’hui, les choses s’améliorent de jour en jour. Le bilan d’un an après signature de l’accord peut diviser les citoyens car chacun à sa manière d’analyser mais ne doit pas nous inculquer une notion pessimiste. Vive l’accord de paix d’Alger.

  19. La lenteur dans la mise en œuvre de l’accord de paix réside à plusieurs niveaux. Il faut reconnaître qu’en dehors de la mauvaise foi de certaines parties signataires, le gouvernement malien manque de moyens pour tout mettre en place pour cette mise en œuvre, et la communauté internationale ne veut pas la fin de la crise aussi tôt.

  20. Finalement il faut reconnaître que du travail a été fait et continu d’être fait par le gouvernement pour le retour de la paix. Cette entente permet de mettre fin aux blocages qu’a connu le processus de mise en place des accords de paix.

    Je pense qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Il ne faudrait pas voir la mise en place comme un échec de la part du gouvernement. Que ceux qui pensent que la mise en place des autorités intérimaires est une mauvaise chose ils se trompent car cela permettra à l’état malien d’avoir la main mise sur la totalité du nord

  21. Soyons optimistes pour le bien de toute la nation. Depuis que l’accord de paix a été signé, les affrontements ont diminués et le bilan de victimes n’est plus celui d’avant signature. Donc que les sceptiques fassent preuve de bonne foi en reconnaissant le bien fondé des travaux effectués par le gouvernement.

  22. L’accord de paix connait des obstacles comme tout accord d’ailleurs mais il y a des avancées.
    Je pense donc qu’il est temps qu’on se donne la main, soutenir le président, nos forces armées, le gouvernement, leurs montrer à quel point l’accord de paix compte pour nous, c’est sure que le Mali retrouvera le bonheur car avec l’accord de paix Plateforme,Gatia, Cma, Fama: c’est une famille maintenant! VIVE LA PAIX AU MALI

  23. Tout ce que je sais dans cette situation est que la responsabilité de la lenteur de la résolution de la crise malienne qui doit passer par la mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger, après une longue période de négociation à laquelle elle a pris part, incombe à la Communauté Internationale. Car c’est cette communauté qui est censée protéger les populations maliennes aux côtés des forces maliennes. 😈 😈 😳

  24. Un accord est juste un document. Pour qu’il soit la solution à la crise, il faut qu’il soit mise en œuvre intégralement. Chaque partie doit s’acquitter de ses obligations vis-à-vis des autres parties. Malgré certaines difficultés d’applications, il y a eu des progrès dans le cadre du processus de paix. Donc le bilan est passable. 😈 😈 😈 😈

  25. je pense qu’avec le récent entente entre le gouvernement et les groupes armés, nous pouvons croire que cette paix c’est pour bientôt car un calendrier a été fixé pour la mise en place des accords de paix. avec l’installation des autorités intérimaires et le redéploiement des services techniques nous pouvons maintenant dire que le nord est récupéré.

  26. Le Mali, depuis qu’un accord de paix a été signé par les parties au conflit, a connu une situation d’après crise. Les assassinats et autres crimes ont cessé et le pays commence à s’imposer sur la scène internationale après des moments difficiles dans les relations diplomatiques.

  27. L’accord de paix d’Alger de 2015 est une réussite pour le régime d’IBK. Mais cet accord a du mal à s’appliquer. Car le comité de suivi avait lui aussi du mal à se mettre en place. Les opposants et autres classes politiques et certains journalistes ne veulent pas toujours reconnaitre les actes posés par le gouvernement. Je trouve le bilan du processus acceptable.

  28. Il faut dire qu’après une année de la signature des accords de paix et de réconciliation, presque rien n’a été fait sur le terrain car les acteurs du processus ne sont pas parvenus à un accord afin de permettre la mise en place des accords de paix qu’ils ont eux-même signés. Mais il faut dire qu’aujourd’hui ils sont parvenus à une entente qui permettra de booster le processus de paix.

  29. Le Mali est un pays plongé dans la crise, depuis plus de trois ans maintenant. Le retour de paix dans cette nation n’est pas le rôle du seul gouvernement mais celui de toute la nation malienne qui est la première bénéficiaire.

  30. La volonté de parvenir coûte que coûte à la paix du gouvernement malien est connue de tous. Les groupes armés ont toujours été, sont et resteront les plus grands obstacles au retour de la paix dans notre pays.

  31. Certes, des difficultés jalonnent le processus de paix, après plus d’un an de signature mais nous devons comprendre que le retour de la paix à travers la mise en œuvre d’un accord de paix n’est pas du tout une chose facile. Donc j’invite tout un chacun à rester optimiste pour le retour de la paix dans notre pays. 😈 👿 👿 😈 😈 😈

  32. L’accord d’Alger connaissait vraiment beaucoup de difficultés dans sa mise en application. Mais le gouvernement et la CMA ont récemment démontré à travers “l’entente” leur volonté à le mettre en application à travers différentes actions.
    Qu’on arrête de mettre de l’huile sur le feu et accompagnons les acteurs dans la mise en œuvre des accords.

  33. je pense que tous sont unanimes que les résultats ne sont pas à hauteur des ententes du peule qui avaient cru à la signature des accords de paix. le plus dure reste à venir donc nous regardons toujours en direction de Kidal car il faut le dire que c’est la mauvaise foi des groupes armés qui a fait que nous sommes toujours à ce stade. tout compte faire cette paix nous l’aurons et bientôt.

  34. Le discours du président de la république résume vraiment tout. Le Mali a assez souffert de cette crise qui a trop duré. Donnons nous la main pour que ce pays puisse avoir la paix car sans paix il n’y a pas de développement; il n’y a pas de vie en vérité…
    Alors mettons nous ensemble et évitons pour mettre le feu au poudre pendant que nous sommes sur la route de la paix.

  35. Comme la maxime le dit lors que tu te laves avant de demander de l’aide pour qu’on te lave le dos il faut en premier lieu laver ton ventre qui est à ta portée. Juste pour dire que nous devons prendre en main l’accord de paix et nous engager pour la réconciliation. Que ce soit la société civile comme les acteurs politiques. La paix nous est profitable à tous et ne passera que par nous mêmes maliens d’abord.
    Mettons-nous ensemble pour avoir la paix durable et définitive. 223love 223love 223love 223love 223love

  36. Il faut saluer ce travail des acteurs de la crise malienne en particulier le gouvernement qui ne ménage aucun effort pour que des solutions puissent être trouvées aux problèmes qui plombent les accords de paix.
    Cette “entente” entre le gouvernement et les ex-rebelles est vraiment salutaire et ne porte vraiment en rien les germes d’un quelconque fédéralisme ou de partition du pays.
    Vivement la traduction sur le terrain de ces accords pour aller de plus en plus vers la paix.

  37. la nomination et l’installation des Gouverneurs des nouvelles régions de Taoudéni et Ménaka dont une enveloppe de 1,8 milliard a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’administration générale permettra le bon fonctionnement de ces deux régions ainsi nous pouvons passer au développement.

  38. Le souhait des autorités de ce pays est d’apporter la paix, la réconciliation et la cohésion sociale à leur population donc il ne faudrait pas douter de leur bonne foi et être un peu patient.
    Les autorités ont marqué leur engagement pour ces accords et je suis sûr qu’elles le tiendront.
    Mais ceux qui entravent le processus de paix de façon voilée et qui viennent dire que le pays est divisé doivent se revoir car ce sont eux les premiers ennemis de la paix.

  39. En effet, tous les observateurs s’accordent à reconnaître que depuis la signature du document, les différentes parties signataires (Gouvernement, Plateforme et CMA) ont respecté de façon scrupuleuse le cessez-le-feu. Même si on a parfois assisté à de vives tensions entre les combattants de la Plateforme et ceux de la CMA, celles-ci n’ont toutefois jamais dégénéré. Ce point constitue d’ailleurs l’avancée la plus significative que le processus ait enregistrée.

  40. Ça se voit que les Maliens ont décidé de prendre leur destin en main. Restons un et indivisible, ensemble nous allons combattre tous les ennemis du Mali.
    Il est temps de voler de nos propres ailes, personne ne pourra venir sauver notre pays a part nous-même. Et si les acteurs prennent leur responsabilité; c’est une bonne chose pour la suite des évènements.

  41. De plus en plus, les évènements montrent que le chemin vers la paix est en train d’être dessiné peu à peu. Les acteurs parlent tous de la même voix et c’est déjà un bon départ.
    Même si la paix n’est pas encore effective sur toute l’étendue du territoire, on doit pouvoir saluer cette prise de responsabilité de part et d’autres en vue de la mise en œuvre effective de l’accord de paix. Le bout du tunnel n’est certes pas loin et il faut oser y croire ➡ ➡ ➡ ➡ ➡

  42. La signature d'un accord de paix est plus que différent de sa mise en œuvre. La mise en œuvre d'un accord demande plus de temps, plus d'entretien, d’attention, plus de financement et tant d’autres divergences de toute sorte. Malgré la lenteur, le gouvernement est en train d'accomplir un travail salutaire dans la mise en œuvre de cet accord de paix et de réconciliation.

  43. Du 20 juin 2015 (date de la signature de l’Accord) à nos jours, le processus de paix a engrangé un certain nombre de points positifs qui s’apprécient d’accord sur le plan sécuritaire.

  44. La mise en place des autorités intérimaires ne doit pas être vu comme une mauvaise chose mais ce que cela nous apportera. Une fois les autorités intérimaires installées, nous aurons le redéploiement de l’administration, des services techniques dans ces cinq régions afin de pouvoir organiser les élections et ainsi le mali redeviendra comme avant.

  45. Nous faisons vraiment confiance à nos différents responsables de ce pays IBK et son gouvernement n a d’autre soucie que la bonne gouvernance de ce pays.Malgré cette gestion n est aussi facile.ils ont des soutiens de tous les maliens.

  46. Je pense que c’est à l’issu de cet accord que le Mali pourra enfin sortie de cette crise au septentrion. La mise en n’œuvre de l’accord est certes difficile mais pas impossible. IBK est engagé dans une lutte sans merci pour la quête de la paix et de la réconciliation sur le sol maliens.

  47. Ibrahim Boubacar Keïta a tout mis en n’œuvre pour que cet accord puisse aboutir. Les différents belligérants doivent faire preuve de bonne foi et de responsabilité et respecter leurs engagements. Tous les acteurs sont appelés à donner le meilleur d’eux même pour que cette quête de la paix puisse aboutir.

  48. Le gouvernement malien a fait preuve de bonne foi depuis la signature de l’accord de paix issu du processus d’Alger, les différentes parties signataires en particulier la CMA doivent faire de bonne foi et respecter leurs engagements vis-à-vis du gouvernement malien et de la communauté internationale.

  49. Nous sommes tous maliens c’est pourquoi cet accord a été signé. Donc nous devons tous faire notre part de sacrifice pour notre pays. Je ne comprends pas l’agissement de la CMA qui fait que mettre en retard l’accord par des jeux d’intérêts. Le président vient de le signifier dans son discours qu’il fera tout pour appliquer l’accord dans son intégralité et mettre fin aux souffrances de la population.

  50. Bientôt l’administration et l’armée maliennes seront tous à Kidal. Le gouvernement se doit de ne pas brulé les étapes de la mise en pratique l’accord de paix et de réconciliation. Malgré la lenteur dans la mise œuvre du processus de paix et de réconciliation, le gouvernement malien avance lentement mais surement.

  51. je ne vois aucun immobilisme dans le gouvernement comme vous le dites mais je vous assure que c est pas vos différentes manifestations qui sera une solution pour ce pays.C est mieux de travailler ensemble pour aider notre pauvre pays.

  52. nous devons savoir qu’un pas très important vient d’être effectué pour booster le processus de mise en place des accords de paix. cette rencontre entre le président IBK, les leaders de la Coordination des Mouvements de l’Azawad, de la Plateforme et le médiateur Ramtane Lamamra prouve qu’ils sont tous prêts à faire des sacrifices afin que le Mali regagne son intégrité, sa stabilité pour permettre son développement.

  53. Quel que soit la lenteur de mise en œuvre de l’accord de paix, il faut reconnaitre que le gouvernement est en train d’accomplir des travaux salutaires dans sa mise en œuvre. Lentement mais surement et de plus en plus, le régime au pouvoir est en train de mettre en œuvre l’accord issu du processus de paix.

  54. Je félicite le gouvernement pour sa détermination et sa responsabilité dans la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation. Le président IBK arrive à établir sa bonne gouvernance et la bonne volonté du gouvernement dans la mise en œuvre de l’Accord d’Alger. Toute la population malienne remercie et soutien le gouvernement.

  55. Le président IBK est un sage, un patriote et un homme de parole car ce qu’il dit, il le fait. Nous devons lui faire entièrement confiance pour la récupéra du nord. Depuis son arrivée au pouvoir il n’œuvre que pour le retour définitif de la paix et de réconciliation afin de maintenir la cohésion sociale.

  56. Depuis la signature de l’accord de paix et de réconciliation, le président IBK par sa bonne gouvernance est petit à petit de mettre en vigueur les principes de l’accord. Le gouvernement malien malgré les nombreux problèmes dont rencontre la mise en œuvre de l’accord arrive lentement mais surement à la mettre en place.

  57. je pense qu’il est temps de se mettre ensemble pour l’intérêt de la nation malienne. si les ex-rebelles jouent un franc jeu dans la mise en place des accords de paix le mali connaîtra des progrès. il faut remercier le ministre algérien des affaires étrangères monsieur Ramtane Lamamra pour sa médiation et je pense qu’il doit faire en sorte que ce calendrier soit respecté par tous.

  58. Le gouvernement ne gérerait pas l’état d’âme de quiconque dans la mise en application des accords de paix. Ils voient le mal partout et oublie l’essentiel. Leur agissement met à nu leur mauvaise foi face au processus de paix.
    Le cantonnement doit se faire comme l’a signifié le gouvernement et les partenaires qui nous accompagnent.

  59. Le président IBK et son régime au pouvoir sont à la quête de la paix et réconciliation sur toute l’étendue du territoire national. La paix et la réconciliation n’ont pas de prix, le Mali actuellement a besoin de paix pour afin avancer. Le président IBK en n’est plus que conscient, raison pour laquelle lui et son gouvernement sont déterminé pour la mise en œuvre de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.

  60. Le président a promis au peuple et il ne cédera jamais une seule partition du Mali à personne. Il a compris que les enfants d’un même pays ne peuvent pas passer toute la vie se faire la guerre.
    L’obtention de la paix n’est pas facile donc soutenons le président dans sa quête de paix, socle de développement 😀 😀 😀

  61. Je conviendrai avec tous ce qui dise que l’accord est plus ou moins lent, mais il faut aussi admettre que la mise en œuvre d’un accord est différente de sa signature. La mise en œuvre d’un accord demande plus de temps et plus de soutien sous plusieurs formes.

  62. les groupes armés qui refusent le cantonnement que diriez vous à ces groupes et qui va oser installer les autorités intérimaires avant le cantonnement des groupes armés pour qu’ils les tuent tous et ensuite rejeter la faute aux terroristes.Si le président et son gouvernement ont autre agenda comme le prétend ce soi-disant journaliste le gouvernement n’allait pas ériger Taoudéni et Ménaka comme région car cela est dis dans l’accord, il n’allait pas soumettre à l’Assemblée Nationale la mise en place des autorité intérimaires.

  63. des progrès ont été enregistrés dans le processus de paix et reste encore à être mis en place. mais avec cette entente nous pouvons dire que ce progrès portera fruit et que les acteurs de la signature des accords jouent franc jeu afin de permettre sa mise en place.

  64. La plupart de ces critiques sont sans fondement. Aujourd’hui on combat la corruption. À l’unanimité, les députés ont approuvé la loi portant sur la prévention et la répression de l’enrichissement illicite le 15 mai dernier. Autrefois, il y avait mille façons de gagner de l’argent de manière détournée. Cela change peu à peu, ce qui explique d’ailleurs peut-être l’agacement d’une partie de la population, je pense à certains fonctionnaires qui avaient pris la mauvaise habitude d’améliorer leurs fins de mois en détournant de l’argent public.

  65. Au nombre des resultats obténue après la signature de l’accord on retient (le chef de l’Etat les a d’ailleurs bien mentionnées dans son discours du 19 juin) la nomination et l’installation des gouverneurs des régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’Administration générale

  66. Le gouvernement malien est conscient de la lenteur ou même pour certain du blocage de l’accord issu du processus d’Alger. Le gouvernement ne reste point indifférent et ne fait pas aussi preuve d’incapacité au contraire, grâce à la détermination du gouvernement nous remarquons de plus en plus l’avancement lentement mais surement de l’accord.

  67. Nous savons tout cela mais nous n’avons pas le choix c est nous qui sommes en position de faiblesse de cette situation donc nous sommes obliges d’employer la méthode douce car nous n’avons pas le choix.Tous les maliens savent bien combien de temps nous avons pris pour avoir un accord avec ses rebelles.

  68. Quand il est arrivé au pouvoir, il n’y avait plus d’armée et la loi de programmation militaire a été un pas important dans la résolution de la crise, car le Mali a retrouvé sa souveraineté militaire.

  69. Le président a promis au peuple et il ne cédera jamais une seule partition du Mali à personne. Il a compris que les enfants d’un même pays ne peuvent pas passer toute la vie se faire la guerre.
    L’obtention de la paix n’est pas facile donc soutenons le président dans sa quête de paix, socle de développement

  70. Le peuple malien et son gouvernement n’ont d’autres soucies que d’avoir la paix et sécurité sur toute l’étendue du territoire nationale mais les ex-rebelles ne veulent pas la quietudes dans ce pays ils font tous ce qu’ils veulent sans tenir compte de l’accord signé en Alger.

  71. En comparant le Mali d’aujoiurd’hui à celui de 2012 et de 2013, le Mali trouve petit à petit sa place dans le concert des nations, le Mali a été félicité par la Banque mondiale et la FMI.

  72. Il est bien vrai que le gouvernement malien aimerait bien avancer dans ce processus de paix et de réconciliation nationale.Mais il s’avère que c’est pas du tout facile parce que malgré que des groupes armés ont signé un accord de paix mais leurs comportements prouvent qu’ils ne veulent pas la paix dans donc c’est difficile.

  73. Le régime d’Ibrahim Boubacar Keïta est à soutenir et à accompagner. On ne le fait pas pour IBK en tant que tel mais à cause de l’institution qu’il incarne. On le fait pour le Mali qui est notre patrimoine commun.

  74. Nous sommes conscient que le gouvernement est en train de faire son possible pour dans cette affaire de la mise en œuvre de l’accord mais les groupes armes doivent respecter leur part du contrat aussi pour que nous avançons vers la paix.

  75. Que la Cma joue sa partition au lieu d’attendre tout du gouvernement malien. L’accord est une concession dont chacun est appelé à faire un don de soi pour le retour de la paix.

  76. Les groupes armés doivent respecter le nouveau calendrier sur le retour de l’administration au nord pour le bonheur de tous. Les armes ont trop tangué alors que cette fois la bonne fois. C’est ensemble que la paix sera effective avec notre volonté manifeste.

  77. Le président a rappelé les forces étrangères qui nous accompagnent en particulier la Minusma qui doit revoir son mandat afin de nous assister dans la lutte des djihadistes qui nous endeuillent chaque jour.

  78. L’État malien a vraiment besoin de la mis en œuvre rapide de l’accord paix pour des nombreuse raisons.Déjà nous sommes à une année de la signature de l’accord de paix .Donc il est grand temps de passer une étape supérieure pour la paix et la réconciliation nationale.

  79. Avec l’entente du gouvernement et les groupes armés sur les autorités intérimaires, un budget est mis en place à cet effet pour la gestion des régions. Les infrastructures doivent être réhabilitées pour accueillir les autorités.

  80. Pour que la paix reviendra sur toute l ‘étendue du territoire nationale.Nous savons bien que la cour constitutionnelle donnera un accords favorable a propos de ce dossier de l ‘autorité intérimaire pour la réconciliation et la paix.

  81. Le bilan est appréciable avec l’adoption de la loi sur les autorités intérimaires, la réhabilitation de l’administration et autres. Cela montre que le président s’est investit dans l’accord de paix. Dans le même temps il interpelle l’ensemble des acteurs qui nous accompagnent de s’y mettre pour qu’enfin la paix revienne.

  82. Monsieur le journaliste ne soyez pas toujours négatif dans vos propos.Certes après la signature de cet accord de paix.Il y a eu quelques difficultés entre ces groupes armes et la population mais apparemment depuis quelques mois les choses semblent se calmer un peu admettons le aussi.

  83. En dépit de nos différences d’appréciation et de nos sensibilités respectives, je voudrais inviter l’ensemble des Maliennes et des Maliens à rejoindre le camp de la paix, à l’élargir, à le renforcer, chacun avec sa perception pour le Mali uni, pour les générations futures auxquelles nous avons l’obligation de transmettre un pays dont elles seront fières. 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂
    ➡ ➡ ➡ ➡ ➡ tels sont les propos de notre président le 20 Juin 2016. Notre pays a besoin de l’apport de tout le monde pour sa reconstruction.

  84. Mahatmat Saleh Annadif, dire que la situation du Mali se dégrade et affecte la région entière, je trouve ça ridicule, nous sommes victime de la dégradation d’une autre situation, seulement vous ne faites pas votre travail, si la situation n’était pas dégradable, toi tu ne serais pas ici.

  85. L’accord de paix au Mali a une année, en ce qui concerne le bilan, il y a eu un pas vers la mise en applications de l’accord, le gouvernement et les groupes armés se sont mis d’accord sur l’installation des autorités intérimaires, qui facilitera le retour des services déconcentrés de l’Etat.

  86. Le président a bien progresser dans la restructuration des institutions de l’état sur le territoire nationale on sait tous bien qu’il est venu trouver le pays dans une situation déplorable mais malgré ça il a su redresser le bateau mali coulissant A cela, il faut ajouter un certain nombre d’efforts que la partie gouvernementale a effectués sur le plan des réformes politiques et institutionnelles

  87. Oui il y a des avancées dans l’accord, je pense que l’entente qui avait du peine à être trouver est enfin trouver entre le gouvernement et les groupes armés pour la mise en place des autorités intérimaires, et ces autorités permettront le retour des services de l’Etat des régions concernées, je demande à la population qui a tant souffrit de faire au moins au moins un peu de retenu, jusque une question de temps. :223love: :223love: :223love:

  88. Les résultats obtenues par le gouvernement sont suffisamment indicatifs et révélateurs du respect de ses engagements pour braver la paix et restaurer l’honneur du mali vive la paix et l’entente entre les groupes armées Ce point constitue d’ailleurs l’avancée la plus significative que le processus ait enregistrée.

  89. Tous les maliens sont conscient ce que l’effort que le gouvernement malien a fourni pour pouvoir trouver un accord entre ces groupes armes.On peut même dire ces groupes armes ont été obligé de signer un accord contre leur volonté mais ils avaient plus le choix.

  90. je pense qu’on doit mettre dans nos cœur une union sacrée et placer l’avenir de notre pays au centre de nos préoccupations ce qui fera le mali de demain la paix est plus dur a instaurer que la guerre seul le pardon la justice et la vérité pourront nous conduire vers une paix durable au mali le processus de paix a engrangé un certain nombre de points positifs qui s’apprécient d’accord sur le plan sécuritaire. En effet, tous les observateurs s’accordent à reconnaître que depuis la signature du document, les différentes parties signataires (Gouvernement, Plateforme et CMA) ont respecté de façon scrupuleuse le cessez-le-feu

  91. Une chose est claire dans l’accord, il y a eu au moins des avancées significatives, mais sur le terrain nous demandons à la minusma de faire bien leur travail enfin que la mise en application de l’accord soit rapide.

  92. Enfin la 9eme du comité de suivie de l’accord a abouti à quel que chose il s’agit de la mise en œuvre des autorités intérimaires, ces autorités qui faciliteront le redéploiement des services déconcentrés de l’Etat ainsi que l’installation des chefs de circonscriptions administratives et du mécanisme opérationnel de coordination dans les régions de Tombouctou, Gao, Kidal, Taoudénit et Ménaka. Les imposteurs qui ne voulaient pas cette mise en place nous parle de violation de la loi de promulgation du président, et d’avalement de chapeau par le gouvernement, même si tout cela a été fait, comme on a souvent l’habitude de le dire que la paix n’a pas de prix, espérons que ces violations et cet avalement de chapeau du gouvernement soit le prix de cette paix.

  93. Nous sommes tous d’accord que après la signature de cet accord de paix et de réconciliation nationale.Il n’y a pas eu grand chose changement dans la situation du nord du pays.Mais nous en sommes sur maintenant qu’avec la mise en place de cette autorité intérimaire les choses vont changer.

  94. C’est là-dessus que je voudrais inviter tous les patriotes à une union sacrée et placer l’avenir de notre pays au centre de nos préoccupations. Nous en sommes capables, je le sais. Autant que nous sommes capables, dans la ferveur, dans la communion et dans la convivialité, de nous retrouver spontanément chaque fois que l’essentiel parait être mis en cause.

  95. Bakary SOGODOGO, Je pense que cet accord de paix va amener une paix durable dans notre pays. Et les populations maliennes ont espoir au président IBK pour finir avec cette crise du nord Mali. Nous avions besoin d’un homme fort comme lui pour bâtir notre pays.

  96. Je voudrais que l’ensemble des maliens, sans distinction, comprennent que tout agissement tendant à mettre en difficulté les Institutions de la République se ferait aux dépens de la stabilité de notre pays. Dans ce cas soutenons nos institutions enfin que cet accord puisse être mis en oeuvre.

  97. L’accord de paix du processus d’Alger est vraiment très salutaire pour notre pays, le Mali ne pourrait en trouver mieux, le plus important reste maintenant la mise en œuvre effectif de cet accord de paix. Les populations maliennes sont avec le président IBK et son gouvernement pour la suite du processus de paix et sont certaines de la bonne foi des autorités maliennes. :223love: :223love: :223love:

  98. Nous ne sommes pas d’accord que ce bilan soit mitige encore après avoir trouver une entente avec ses groupes armes pour la mise en place de cette autorité intérimaire pour la bonne marche de l’accord de paix.

  99. 20 juin 2015, 20 juin 2016, cela fait une année que le gouvernement du Mali et les groupes Armés ont signé l’accord de paix et de réconciliation après des mois de négociation, pour les armes se taisent dans le septentrion malien, même si le calme n’est pas définitif, ce n’est pas comme 2015.

  100. Bakary SOGODOGO, Je pense que cet accord de paix va amener une paix durable dans notre pays. Et les populations maliennes ont espoir au président IBK pour finir avec cette crise du nord Mali. Nous avions besoin d’un homme fort comme lui pour bâtir notre pays.

  101. Peut-on parler de bilan mitigé de la mise en application d’un accord utopique ? Peut-on se réjouir d’une si fausse solution comme la création de la région de Taoudénit ? Une région moins peuplée qu’une école de Bamako ou Sikasso..

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