Modibo Sidibé à la Convention régionale des Fare de Mopti : «Les réformes ne feront pas un paysage institutionnel…»

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«La question de gouvernance est aujourd’hui à la fois politique et financière. Sur le plan financier, nous disons qu’il faut que la confusion des intérêts privés et des missions des services publics cesse. Il faut que nous sachions tous que sans une démocratie assidue, sans une vie politique guidée par l’intérêt général, sans un Etat respecté, sans un développement équitable et équilibré, il faut craindre que les mêmes causes ne produisent les mêmes effets. C’est pour cela que nous tenions véritablement à un dialogue avec la majorité, avec le gouvernement, que nous sachions déterminer les phases prochaines qui viennent dans la construction de notre pays. Et aux Fare, il s’agit de reconstruire et de bâtir».

 

Ces propos ont été tenus par le président des Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence (Fare-An Ka Wuli), Modibo Sidibé, à la faveur de la 1ère Convention régionale des Fare de Mopti, qui a eu lieu le samedi 14 novembre 2015, dans la salle de conférence de l’Alliance franco-malienne. Cette Convention de Mopti est non seulement la première des Fare de Mopti, mais aussi la première Convention régionale de l’ensemble des Fare.

 

La cérémonie, présidée par le président des Fare, Modibo Sidibé, a enregistré la présence du Coordinateur régional des Fare, Dr. Youssouf Diallo ; de l’honorable Bakary Woyo Doumbia ; du Secrétaire aux relations extérieures, Boubou Cissé, et du Secrétaire chargé de la jeunesse, Amadou Salif Cissé. De nombreux militants des Fare, venus des 7 cercles de Mopti, ont pris part à cette Convention régionale.

 

C’est sous un tonnerre d’applaudissements que Modibo Sidibé s’est exprimé devant les militants des Fare, les autorités traditionnelles et coutumières de Mopti et les partis politiques amis. D’entrée de jeu, il a évoqué la question du terrorisme qui a frappé la région de Mopti, et récemment, la France. «Le terrorisme auquel nous sommes confrontés ici, qui a fait des victimes, vient de frapper un pays ami qui s’est porté à nos côtés pour combattre le phénomène. Ce qui est arrivé en France est condamnable à tous les égards», a déclaré le président des Fare. Avant de faire observer une minute de silence en hommage aux victimes du terrorisme en France et partout ailleurs.

 

«Sur le sol de Mopti, j’ai vu tant de choses qui m’ont rappelé des souvenirs et qui ont fait que tous ceux qui étaient avec nous ont dit que les années passées n’étaient pas des années pour rien. Que c’était des années de progrès, des années de construction, notamment du point de vue des infrastructures et des équipements. Notre pays a véritablement embrassé le progrès», a-t-il martelé. Tout en se rappelant la pose de la première du village artisanal de Mopti avec l’ex-président ATT. Selon l’ancien Premier ministre, «qu’on puisse dire qu’il y a eu des insuffisances, des difficultés et parfois aussi des erreurs, c’est vrai, puisque rien n’est parfait. Mais, personne ne peut remettre en cause son patriotisme».

 

«Il faut que nous ayons une juste compréhension que chaque temps a eu son progrès, ses insuffisances, ses erreurs. Je suis sûr et certain que tout le monde voulait faire de son mieux pour le Mali. Pour que nous puissions continuer, il faut savoir où nous en sommes. C’est pourquoi une juste compréhension de tous les temps devrait nous permettre d’aller plus loin. Nous avons été clairs aux Fare. Nous avons dit ce que nous avons subi, ce que nous avons connu. Il faut que nous ouvrions une transition politique, sociale, culturelle, sanitaire, démographique, institutionnelle, dans notre pays. Nous rappelons à chaque fois nos racines. C’est vrai, comme le dit un grand penseur, lorsque que le vent souffle, lorsque que la tempête est là, ce qui sauve l’arbre, ce ne sont pas ses fruits et ses feuilles, ce sont ses racines. Donc, c’est à nous, Maliens, de voir comment ces mêmes racines-là peuvent apporter de nouveaux fruits ; des fruits du Mali du 21ème siècle, d’un Mali de progrès, d’un Mali avant-gardiste. Un Mali qui peut bâtir un capital humain, qui serait capable d’utiliser tous les potentiels pour notre développement. Ce temps de réflexion et d’action est indispensable pour nous. C’est pourquoi, nous en parlons», a déclaré Modibo Sidibé.

 

Parlant de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale, le président des Fare a indiqué que «nous avons tous ce grand appétit de paix et de réconciliation. Car, dit-il, cette paix va permettre de mettre fin à la souffrance des Maliens». Selon l’ancien locataire de la Primature, ceux qui pensent que la vraie paix nécessite que les Maliens se battent, doivent réfléchir sur les institutions qu’ils veulent mettre en place et les étapes qu’ils peuvent bâtir dans les années à venir. «Nous sommes pour la décentralisation, mais la décentralisation qui amène une vitalité nouvelle. Cette vitalité doit donner à notre pays un regain d’unité et non pas d’égarement dans le particularisme destructeur. Un développement équilibré et équitable du pays, c’est le socle de l’unité. Il faut nécessairement que les Maliens se mettent d’accord sur un véritable schéma national équilibré et équitable d’aménagement de notre territoire», a-t-il ajouté.

 

Pour les élections communales et régionales à venir, Modibo Sidibé s’interroge : «Quelles élections nous voulons faire ? Sur la base de quelle légalité ? Ces élections, c’est sur la base des régions telles qu’elles sont prévues dans l’accord pour la paix, ou c’est sur la base de ce qu’on a aujourd’hui ?» Il préconise qu’il y ait des réformes globales. Car, soutient-il, «les réformes, par-ci, par-là, ne feront pas un paysage institutionnel cohérent dans lequel les Maliens pourront se réconcilier. Au-delà des aspects sécuritaires, il est fondamentalement et politiquement qu’on sache où on va.

 

Par ailleurs, le président des Fare a annoncé que la Convention nationale du parti Fare se tiendra en décembre 2015. Précisons que le président des Fare et sa délégation ont rendu une visite de courtoisie aux familles des autorités traditionnelles et coutumières de Mopti et de Fatoma. Notons également que, de retour de Mopti, Modibo Sidibé et sa délégation ont rencontré et échangé avec les sections Fare de San, de Ségou, de Bla et Konobougou. Les militants ont exprimé leur total soutien à leur président et évoqué quelques difficultés dans leur localité. Le président du parti a dit en prendre bonne note et a promis de faire de son mieux pour résoudre rapidement ces difficultés.

 

Diango COULIBALY

Envoyé spécial à Mopti

 

Commentaires via Facebook :

17 COMMENTAIRES

  1. Que direz-vous de cette attaque quand sait qu’au Mali Le President est le seul gardé. Il s’en fou du peuple qui l’a “élu” ?
    Une autre question comme Modibo est une honte? Qui allait à Kati nuitamment chez les putschistes?
    IBK dans ce cas de figure est-il un démocrate?
    La vérité éclatera à vos gueles un jour INCHALAHOU! ALALA KA TIGNE DEMA!
    Le véraficateur va vous emprisonner tous! INCHALAHOU
    L’attaque de matin? Les maliens disent qu’IBK est plus qu’un rebel….hahahahahahah!

  2. Mme Isabelle Dacko. Le patriotisme de Mr Sidibé n’est plus à démontrer. Modibo est blanc comme neige. Vous parlez d’air cocaïne? Allez trouver ceux qui sont impliqués sinon Modibo n’est nullement concerné.
    Parlons de l’initiative riz a tellement été porteuse que des Pays voisins sont venus s’en inspirer. Le bureau du vérificateur a félicité Modibo pour ceux heureux projet qui fait toujours son bonhomme de chemin même si d’autres lui ont donné un autre nom. Soit convaincu une fois pour toute que Modibo Sidibé est le meilleur de tous ces dirigeants que tu défends aveuglement sans aucun discernement. Il faut plutôt chercher à aller à l’école de Mr Modibo Sidibé rompu aux tâches de grands fonctionnaire de l’Etat au lieu de te confiner dans de petites considérations politiques qui ne présagent pas pour toi un meilleur avenir. Nous te donnons un conseil, c’est de chercher plutôt à mieux connaître Modibo au lieu de fier aux quand dira-t-on ou aux rumeurs stériles.
    Nous te demanderons d’approcher l’homme, d’échanger avec l’homme, pour avoir une idée juste de lui.
    Je vous renvoie d’entrée en possession de Mali Horizon 2030.
    Boua Muso Kan bé soon.

  3. L’espoir suscité au soir du 28 Septembre 2007, suite à la nomination de Modibo Sidibé au poste de Premier ministre, par le Président de la République, Amadou Toumani Touré, s’estompe de jour en jour. Et pour cause : l’ex-Secrétaire Général de la Présidence de la République, grand commis de l’Etat depuis près d’une trentaine d’années, n’arrive toujours pas à donner une réponse suffisnte aux préoccupations du peuple malien. Qu’est-ce qui ne va pas, et que lui arrive-t-il? Telles sont, entre autres, les interrogations soulevées par nombre d’observateurs, à quelques encablures du premier anniversaire de l’équipe gouvernementale.

    Le chef du gouvernement lui-même semble dépassé par les évènements. Pourquoi le grand engouement suscité par sa nomination à la Primature s’est-il transformé en désillusion?, se demande bien des citoyens. L’on pense que Modibo Sidibé a la réponse à cette question, dans la mesure où il n’a pas pu pleinement profiter de l’état de grâce qui lui a été accordé par le peuple malien.

    Au contraire, le gouvernement l’homme s’est plutôt rendu célèbre par des scandales qui ont même failli avoir des répercutions négatives sur l’image du Mali. De l’affaire dite « OLAF-Ahmed Sow » au limogeage de Mme Ba Fatoumata Néné Sy, en passant par les quiproquos nés de la mise en oeuvre de « l’Initiative riz », entre la Primature, le département de l’Agriculture, et celui des Finances, seul le nom de Modibo Sidibé véhiculait comme étant le maître d’oeuvre de toutes ces chamailleries et autres coups dits « tordus » portés à la gestion des affaires publiques.

    Dans une famille, lorsque celui qui doit maintenir l’ordre et la cohésion se découvre en être le grand perturbateur, il y a réellement de quoi avoir peur, du moment qu’il s’agit de tout un Etat. Mais au delà de ces clivages, aujourd’hui presque à plat, il y a plus important qui est en train de donner du tournis au Premier ministre, Modibo Sidibé : l’homme est aujourd’hui rattrapé par sa propre gestion au niveau du Secrétariat Général de la Présidence de la République.

    L’homme, ennemi de l’homme?

    De sources sûres, on apprend qu’à ce jour encore, le Premier ministre peine ou traîne à donner un contenu au Proggramme de Développement Economique et Social (PDES), à cause des actes qu’il aurait lui-même posés alors qu’il était encore Secrétaire Général de la Présidence de la République.

    Pour rappel, à l’époque, l’homme était parvenu à s’imposer comme l’alpha et l’oméga de la Présidence, pourrait-on dire, où tout partait de lui et où tout revenait à lui. Ce qui, selon les même sources, n’est pas du tout surprenant, venant d’un policier aussi expérimenté que lui.

    En effet, il y a une méthode policière qui permet, à tout bon officier de police, de pouvoir tirer les ficelles des évènements et des circonstances, à partir de son bureau ou de son Q.G. Et Modibo Sidibé ne s’en est pas privé, lorsqu’il étaitSecrétaire Général de la Présidence.

    Tous les dossiers passaient par lui ; et il avait son mot à dire dans tout. Un privilège que l’homme aurait utilisé à son compte, en classant sans suite tous les dossiers qui ne lui plaisaient pas, souvent de façon expresse, si les dossiers venaient de quelqu’un avec qui Modibo n’est pas d’humeur agréable.

    Si seulement il savait, à l’époque, qu’il pourrait y avoir un renversement de rôle ! Par exemple, quelqu’un d’autre au Secrétariat Général de la Présidence, et lui-même à la Primature? Sûr qu’il n’avait pas envisagé une telle possibilité, sans quoi…

    Et voilà Django Sissoko Secrétaire Général de la Présidence

    Le premier ministre Modibo Sidibé savait-il, en ce temps, que sa nomination à la Primature allait être, pour lui, le début du commencement des cauchemars ? Toujours est-il que d’aucuns s’étonnent qu’il ait usé de tous les moyens pour « mettre à l’eau » le projet de nomination de Ahmed Sow à la Primature.

    Voudrait-il simplement y voir la tête d’un de ses hommes de main ? En tous cas, le Président de la République, dissuadé de son choix qui était essentiellement porté sur l’actuel ministe des Mines, de l’Energie, et l’Eau, n’aurait eu d’autre option que de faire appel à un de ses plus fidèles campagnons : Modibo Sidibé lui-même.

    Réfuser une telle marque de confiance pourrait bien susciter des doutes chez le Chef de l’Etat. Modibo était donc obligé d’accepter la proposition présidentielle, bien qu’il ne voulût, pour rien au monde, laisser le Secrétariat Général de la Présidence. Certaines sources avancent même que l’homme voulait occuper les deux postes à la fois. Vrai ou faux ?

    Toujours est-il qu’il a fallu un bon moment, au Président ATT, pour nommer le successeur de Modibo Sidibé, en la personne de Django Sissoko. D’après nos sources, ce dernier, une fois sa prise de fonction effectuée, aurait découvert une montagne de dossiers bloqués par les bons soins de son prédécesseur.

    Certains de ces dossiers étant bien ficélés, pour ne pas dire, étant d’une importance capitale pour la gestion de l’Etat, Django se serait donné du plaisir à les « dépoussiérer » et à les envoyer un à un au Premier ministre qui n’est autre que son prédecesseur et auteur du blocage des dits dossiers. Le bloqueur bloqué donc?…

    Selon nos sources, le premier ministre n’arrive plus à se retrouver dans ces dossiers. D’où l’explication de toute la timidité par laquelle le gouvernement s’illustre depuis bientôt un an. « L’Initiative Riz », qu’on veut à tout prix calquer dans le PDES du Président de la République, ne serait, en fait, qu’une trouvaille par anticipation de Modibo Sidibé pour se tirer d’affaire, le temps de reprendre les choses en main.

    Modibo Sidibé saura-t-il rebondir au milieu de toutes ces casseroles qu’il commence à traîner derrière lui, et donner ainsi raison à ATT quant à son choix au poste Premier ministre, et redonner de l’espoir aux Maliens qui attendent beaucoup de lui ? Et si le compte à rebours avait déjà commencé pour lui ?…

    En attendant , ça ne marche pas du tout, ni pour le Premier ministre, ni pour les Maliens. Peut-être que le regain d’optimisme pourrait bien venir de « l’Initiative Riz », qui sait?

    En tout cas, les citoyens le souhaitent tous !

    Adama S. DIALLO (Soir de Bamako)10 Sept 2008

  4. Monsieur @Sidibé est un patriote! il me semble que vous êtes un peu pressé. Dites a Modibo que nous pouvons croire a son patriotisme mais a la condition de nous éclairer sur l’atterrissage du Boeing Air Cocaine dans le désert, la vente de la Sotelma au Marocain. Ou en est-on avec l’initiative riz avec des milliards des maliens jeter pour faire plaisir a ton mentor ATT. Modibo en sait beaucoup sur l’instabilité qui sévit au Mali. Car lui et son patron ont accueilli chaleureusement les bandits armées dans le nos pays. Après tout nous sommes des maliens et avons choisi IBK démocratiquement à près de 80% lors de la 1ere élection la plus démocratique de l’histoire du Mali. Souffrez que nous continuons a l’aimer et à l’aider dans la mise en œuvre de son projet de société. Tout ce que je peux te conseiller c’est d’aider ton mentor a élaborer un projet de société et économiser le reste de son énergie pour 2018.
    Face à l’adversité, le président IBK répond par des chiffres. En 2014, après une très longue période de récession, la croissance a dépassé les 7 %, grâce surtout à la meilleure santé du secteur agricole, longtemps en crise. En moins de deux ans, le pays a retrouvé sa deuxième place de producteur de coton en Afrique, juste derrière le Burkina. En partie grâce à une bonne pluviosité, les dernières récoltes de riz ou de mil sont excellentes. IBK a compris que le Mali était le jardin vert de l’Afrique de l’Ouest. En modernisant le secteur, notamment grâce à la réalisation de grands projets hydroagricoles, au développement des entreprises agroalimentaires et à la distribution d’un millier de tracteurs aux paysans, le Mali redevient une puissance agricole.

  5. Quoique vous vous disiez Modibo Sibibé reste le patriote du Mali. Une référence et des valeurs. Toutes choses que ni le président actuel, ni vous qui disiez des contres-vérités ne peuvent lui enlever.
    1 – Après ces études Mr Sidibé est rentré au Mali pour trimer avec les maliens pendants que d’autres travaillaient et faisaient la belle vie en France.
    2- Plus de 2o ans il est resté dans l’administration malienne avec les maliens pour donner ce qu’il a appris.
    Cependant il est plus instruit et cannait son pays plus tous ces affamés de pouvoir.
    La Honte, Diopa et les 36 menteurs allez dire à ceux qui vous payent que leur mentor est appelé par les peuple malien ” MANDE ZOUNKEBA” et son 1er ministre tellement qu’il est vilain qu’il ne faut pas le regarder tôt le mati sinon ta journée est foutue… On vous dit une chose ni les menaces, ni les injures, ni les diffamations ne feront peur à l’opposition. Argument contre argument on ira à la bataille.
    Aussi demandez à votre gouvenement si la fuite en avant c’est faire de la politique? Les maliens ne sont pa imprégnés de l’accord bidon qui en est une.
    A présent ou sont les papiers de l’Avion acheté????
    Les sursaturations de matériels militaires?
    Ceux des engrais?? des tracteurs???
    Les maliens parlent à présent de “YABE”

    Répondez à ces questions ensuite on parlera du reste car il y en a tellement?
    Sachez qu’un peuple ne se construit pas par le mensonge…..

    “Zoun Brin” a parlé de tout à Paris sauf de diplôme..;Il y en a combien parmi vous qui ont de faux diplômes.
    J’en connais tellement et on va en parler… Vive la démocratie pour que les médiocres soient atterrer…
    NB : Si vous avez quelques chose contre Modibo amenez-le devant les tribunaux. Pauvres menteurs que vous êtes..

  6. Quoique vous vous disiez Modibo Sibibé reste le patriote du Mali. Une référence et des valeurs. Toutes choses que ni le président actuel, ni vous qui disiez des contres-vérités ne peuvent lui enlever.
    1 – Après ces études Mr Sidibé est rentré au Mali pour trimer avec les maliens pendants que d’autres travaillaient et faisaient la belle vie en France.
    2- Plus de 2o ans il est resté dans l’administration malienne avec les maliens pour donner ce qu’il a appris.
    Cependant il est plus instruit et cannait son pays plus tous ces affamés de pouvoir.
    La Honte, Diopa et les 36 menteurs allez dire à ceux qui vous payent que leur mentor est appellé par les peuple malien ” MANDE ZOUNKEBA” et son 1er ministre tellement qu’il est vilain qu’il ne faut pas le regarder tôt le mati sinon ta journée est foutue… On vous dit une chose ni les menaces, ni les injures, ni les diffamations ne feront peur à l’opposition. Argument contre argument on ira à la bataille.
    Aussi demandez à votre gouvenement si la fuite en avant c’est faire de la politique? Les maliens ne sont pa imprégnés de l’accord bidon qui en est une.
    A présent ou sont les papiers de l’Avion acheté????
    Les sursaturations de matériels militaires?
    Ceux des engrais?? des tracteurs???
    Les maliens parlent à présent de “YABE”

    Répondez à ces questions ensuite on parlera du reste car il y en a tellement?
    Sachez qu’un peuple ne se construit pas par le mensonge…..

    “Zoun Brin” a parlé de tout à Paris sauf de diplôme..;Il y en a combien parmi vous qui ont de faux diplômes.
    J’en connais tellement et on va en parler… Vive la démocratie pour que les médiocres soient atterrer…

  7. Ces politiciens ne s’approchent à nous que sauf s’ils veulent nous raconter leurs bobards. Ils ne créent pas de travail, ils n’aident personne et ils veulent qu’on les suive tout le temps comme des marionnettes.

  8. Je demande à la jeunesse malienne de ne plus tomber dans les mêmes erreurs qu’au paravent. Ces politiciens savent qu’ils n’ont plus de crédibilité aux yeux de la population, maintenant ils jouent au jeu d’innocent pour nous avoir encore.

    • Merci beaucoup Mali,
      Tous des escrots, requins, crocodiles, coyotes, rapaces, anacondas, loups et vampires. Ils sont tous pareils.
      Il faut Un changement avec un Grand C. Sous AOK on a tous et toutes vue avec un soi disant democratie de facades, de vols et detournements de fonds et biens publics et privés, pareil sous ATT ca s’est empiré et maintenant sous IBK pire – pire-pire.
      Je n’ai pas dit qu’ils ont pas de petites choses mais sans leurs soif de fortune d’enrichissements illicites, de vols et j’en passe le Maliba pouvait être beaucoup plus Meilleur actuellement. Mais avec ces mêmes requins – crocodiles – vampires dans le bain Ave le peuple et qui continuent a roder autours de Nous , le Maliba ne verra pas et jamais le bout du tunnel pour dire enfin ouuufff. Des clans racailles de mafieux, caméleons et opportunistes seulement.

      Vive le Maliba de Demain avec une Nouvelle Generation par le Peuple et pour le Peuple. Aminnnnneeee 😉 .

  9. MODIBO SIDIBE est ce que c’est vous réellement ? Je pensais que vous avez arrêté la politique depuis que vous avez échappé aux putschistes. Vous n’avez rien qui peut vous permettre de dire un mot à IBK dans ce pays, donc agacez-vous monsieur SIDIBE. IBK c’est le choix des maliens pour sauver ce pays suite à vos comportements.

  10. Voilà encore un autre petit monsieur qui veut s’innocenter et se faire chérir par les ignorants. Monsieur SIDIBE un homme averti en vaut deux, donc nous ne sommes plus des marionnettes à manipuler. Tu perds ton temps pour rien, il faut partir en aventure ce qui serait mieux pour vous.

  11. Parce que le faux général AMADOU HAYA SANOGO n’est plus au volant que certaines personnes commencent à exister. Sinon il y’a eu un bon moment que les têtes sales ne pouvaient pas parler dans ce pays. Merci capitaine HAYA ce balayage.

  12. Monsieur SIDIBE a qui appartenait les urnes bourrées de scrutin retrouvées à KOULOUBA en 2012 lors du coup d’état ? Monsieur SIDIBE le silence serait mieux pour vous que de parler dans ce pays, donc gare à toi.

  13. MODIBO où est passé le budget qui était programmé pour la mise en œuvre du programme de PDES et les paysans veulent une investigation sur l’initiative riz. Comme le taximan était soucieux seulement de vous voir comme vous l’avez signalé dans votre scénario, nous nous avons besoin des réponses pour ces petites questions. ❓ ❓ ❓ ❓ ❓ ❓
    Le Mali était le 174ème pays le plus pauvre de la planète. Au moment où le trésor national était accusé d’une dette intérieure de 100 milliards de F CFA, c’est en ce moment précis que surgisse cet événement rocambolesque « INITIATIVE RIZ ». Rappelons que l’Etat s’est endetté auprès des banques pour un montant de 10 milliards F CFA remboursables dans les jours à venir. 42, 65 milliards de F CFA partis sans trace. ❓ ❓ ❓ ❓

  14. Monsieur le PM, les paysans disent qu’ils n’ont rien compris dans l’affaire de l’initiative riz. Plus de 42 milliards de fcfa sans trace et les arguments fournis par vous dans cet article ne leurs a pas convaincu. Donc il faut nous donner une autre preuve.

  15. Modibo Sidibé nous ne sommes plus des jouets à manipuler comme vous voulez. Vous êtes tous connus et ce n’est plus la peine de vous justifier nous avons les parcours complets de chacun de vous tous. Donc désolé FOULAKAI !!!!

  16. MODIBO SIDIBE, les maliens n’ont pas oublié d’abord personne ne va profiter de ces certains sujets de notre pays pour parler ou se faire chérir encore par les ignorants qui ne vous connaissent pas. Nous préférons ce gouvernement incapable que ses prédécesseurs pillards de l’Etat et des malhonnêtes.

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