En un mot: La condition pour le retour de l’armée à Kidal

La  réunion stratégique de haut niveau du vendredi dernier au siège de la Mission des Nations unies, en  parallèle de la Commission technique de sécurité, a été marquée par la rencontre du chef de la Minusma, Mahamat Saleh Annadif, avec les principaux chefs des groupes armés du Nord pour évoquer avec eux les points de blocage à l'application de l'accord et le processus de réconciliation initié à Anefis. Et pour la Coordination des mouvements de l’Azawad, "le gouvernement malien sera à Kidal, mais uniquement lorsque la période intérimaire aura commencé, avec une administration mixte rassemblant les trois parties signataires". "Tout est dans le camp du gouvernement. Le gouvernement n'aurait posé » a renchéri le représentant de la Plateforme désormais fiché mouvement pro-Kidal dont l’entrée est toujours interdite aux forces régulières maliennes sans que cela n’émeut ni les forces onusiennes ni la France encore les autres acteurs impliqués dans la résolution de la crise malienne. DAK