SBM après la libération de l’otage français : “On n’obtient pas ce genre de dénouement sans contreparties”

7
Mali: Soumeylou Boubeye Maïga sort de son silence
Soumeylou Boubeye Maïga

Officiellement, la France ne paie pas de rançon. Mais pour tous les experts, rien n’a pu se faire sans argent. “On n’obtient pas ce genre de dénouement sans contreparties”, analyse Soumeylou Boubèye Maïga, l’ancien ministre de la Défense malien.

“Les sommes ont peut-être été moins importantes que pour les otages d’Areva, mais il y a eu une rançon”, renchérit un Touareg de Kidal. Ne serait-ce que parce que la capture puis la garde d’un otage coûtent cher aux ravisseurs.

Les négociations exigent elles aussi de l’argent, pour payer les déplacements et les intermédiaires souvent proches, voire très proches des terroristes. Ces frais, qui peuvent être très élevés, sont pris en charge par la France.

Figaro

 

 

Commentaires via Facebook :

7 COMMENTAIRES

  1. La malhonneatete9 ilelnlectuetle de gauche vaut bien la morale de9le9te8re (de droite). Votre raisonnement n en est pas un, je ne lis qu une accumulation d arguments sans relation logique. Le sommet est atteint avec la comparaison du montant d une aide individuelle mensuelle avec un montant global annuel d e9vasion fiscale. Citez le vrai cofbt du RSA (10 petits milliards par an) et vous serez plus cre9dible. Le RSA en soit n est pas scandaleux, mais il faut avoir l honneatete9 de conside9rer tout ce qui est reverse9 par la solidarite9 nationale avant de s en prendre aux plus riches qui financent le syste8me. Apre8s tout, puisque l ISF est le9gitime, je propose que tout le monde le paie. Ce serait un impf4t juste. J attends de voir les re9actions de ceux qui encensent l ISF quand ils devront payer 1% d impf4t pour les euros pe9niblement e9pargne9s sur leur livret A qui en rapporte moins de 2, et aussi pour leurs meubles et leur voiture.

  2. Tu sembles plus sage et raisonnable que l’abrouti Fily SISSOKO, qui essaye toujours de se justifier sur les surfacturations

  3. Je suis d'accord avec l'analyse de Soumeylou, c'est difficile sinon pas possible de liberer un otage français sans du rancon. Que çà soit au Mali ou au Niger, nous avons senti ces derniers des vrais mouvements. Dans des localités de Kidal, des véhicules 4-4 et mêmes des hélicos ont fait plusieurs tours ces derniers temps. Si vous voulez en savoir d'avantage suivez les prochaines parutions du quotodien ''L'Indicateur du Renouveau".

Comments are closed.