Dioncounda accepterait – il de se remettre avec CMD ?
La question trotte et inquiète les maliens au regard de l’attitude peu responsable et très confuse du premier ministre, chef du gouvernement de Transition doté de pleins pouvoirs. Ce n’est en tout cas pas sa visite de Paris et ses larmes de saurien sournois qui convaincra les maliens. Le président de la république a pardonné à la COPAM et son escadron de la mort, mais, Cheick Modibo doit se dire, que rien n’est gagné pour lui. Le pardon est une chose, la confiance une autre.
[caption id="attachment_64296" align="aligncenter" width="610" caption="Dioncounda Traoré et Cheick Modibo Diarra"]
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Sur la question de la responsabilité pénale ou morale, Cheick Modibo Diarra puisqu’il s’agit de lui, a bel et bien reçu le groupe de manifestants ce lundi là, avant qu’il ne se dirige sur le palais de Koulouba où se trouvait le président de la république. En chef de gouvernement responsable et ayant à sa disposition les compétences des services de renseignements militaires et civils, il ne pouvait en aucune manière ignorer que, la marche qui s’ébranlait vers les bureaux du président avec toutes les immondices qu’ils débitaient à l’endroit de Dioncounda à la Primature pendant qu’ils s’entretenaient avec lui CMD, n’était pas encadrer.
Attitude grave et sans doute sujet à complicité, pardon à confusion, prenant la parole quelques heures après le drame, Cheick Modibo Diarra a osé s’adresser aux maliens sans leur annoncer le drame qui venait de frapper le pays. De l’attentat sur la personne du président de la république, Cheick Modibo Diarra en faisait – il un non évènement ? Que pouvait – il avoir de si grave à dire aux maliens, snobant cruellement l’attentat. Est – il tombé dans le piège des commanditaires de l’ignominie ou était – il lui-même, dans le jeu ? Pourquoi, a t – il seulement attendu le rappel à l’ordre moral de l’illustre élu URD pour se fendre en condamnation, une condamnation qualifiée de bout de lèvres par des millions de maliens ?
Pire, de ce lundi 21 mai à ce jour, personne n’a entendu que ce PM a souhaité, ne serait ce que pour la morale sociale tout court, souhaité la démission des ministres de la défense, de la sécurité et pire de celui de l’administration du territoire. Une marche non encadrée, un palais moche ment défendu, aucune autorisation de marche dans un pays en proie à une gravissime insécurité. Au Mali, en tout cas, jusqu’aux tristes évènements du 22 mars, toutes les marches et manifestations publiques étaient encadrées et entourées des services de la Protection Civile.
Des larmes de crocodile que le PM de la Transition du Mali et qui font honte. Si, Cheick Modibo Diarra n’avait pas les moyens d’empêcher ce qui est arrivé au président de la République, alors qu’il rende le tablier maintenant et tout de suite, sinon le pire est devant pour la simple et unique raison, que, c’est connu de tous, il roule pour une chapelle bien connue, pas pour la république et la démocratie aux noms desquels, il était candidat en Avril 2012.
Haman Khadra
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Sur la question de la responsabilité pénale ou morale, Cheick Modibo Diarra puisqu’il s’agit de lui, a bel et bien reçu le groupe de manifestants ce lundi là, avant qu’il ne se dirige sur le palais de Koulouba où se trouvait le président de la république. En chef de gouvernement responsable et ayant à sa disposition les compétences des services de renseignements militaires et civils, il ne pouvait en aucune manière ignorer que, la marche qui s’ébranlait vers les bureaux du président avec toutes les immondices qu’ils débitaient à l’endroit de Dioncounda à la Primature pendant qu’ils s’entretenaient avec lui CMD, n’était pas encadrer.
Attitude grave et sans doute sujet à complicité, pardon à confusion, prenant la parole quelques heures après le drame, Cheick Modibo Diarra a osé s’adresser aux maliens sans leur annoncer le drame qui venait de frapper le pays. De l’attentat sur la personne du président de la république, Cheick Modibo Diarra en faisait – il un non évènement ? Que pouvait – il avoir de si grave à dire aux maliens, snobant cruellement l’attentat. Est – il tombé dans le piège des commanditaires de l’ignominie ou était – il lui-même, dans le jeu ? Pourquoi, a t – il seulement attendu le rappel à l’ordre moral de l’illustre élu URD pour se fendre en condamnation, une condamnation qualifiée de bout de lèvres par des millions de maliens ?
Pire, de ce lundi 21 mai à ce jour, personne n’a entendu que ce PM a souhaité, ne serait ce que pour la morale sociale tout court, souhaité la démission des ministres de la défense, de la sécurité et pire de celui de l’administration du territoire. Une marche non encadrée, un palais moche ment défendu, aucune autorisation de marche dans un pays en proie à une gravissime insécurité. Au Mali, en tout cas, jusqu’aux tristes évènements du 22 mars, toutes les marches et manifestations publiques étaient encadrées et entourées des services de la Protection Civile.
Des larmes de crocodile que le PM de la Transition du Mali et qui font honte. Si, Cheick Modibo Diarra n’avait pas les moyens d’empêcher ce qui est arrivé au président de la République, alors qu’il rende le tablier maintenant et tout de suite, sinon le pire est devant pour la simple et unique raison, que, c’est connu de tous, il roule pour une chapelle bien connue, pas pour la république et la démocratie aux noms desquels, il était candidat en Avril 2012.
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sanogoEn tout cas les organisateurs,commenditeurs ou instigateurs doivent être entendus. Dès lors que ce n'était organisé ou autorisé par les autorités compétentes on se demanderait comment, à quel titre et au nom de quel peuple ceux ci se sont retrouvé à koulouba et pour quelle fin? quant au service de sécurité je pense qu'il a suffisamment replié jusqu'à la limite de la limite de la complicité. A Kidal, à Gao, à Tombouctou....et même à Koulouba. Difficile à croire. Dr Sanogo -
sanogoEn tout cas les organisateurs,commenditeurs ou instigateurs doivent être entendus. Dès lors que ce n'était organisé ou autorisé par les autorités compétentes on se demanderait comment, à quel titre et au nom de quel peuple ceux ci se sont retrouvé à koulouba et pour quelle fin? quant au service de sécurité je pense qu'il a suffisamment replié jusqu'à la limite de la limite de la complicité. A Kidal, à Gao, à Tombouctou....et même à Koulouba. Difficile à croire.
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Les agresseurs de Djoncounda sont le CNRDE, le gouvernement et leurs alliés de la COPAM et du MP22Les agresseurs de Djoncounda sont le CNRDE, le gouvernement et leurs alliés de la COPAM et du MP22 Si Djoncounda prend le risque de retourner sans mesure véritable de sa sécurité, ils ne le rateront pas la 2ème fois. Sanogo et son complice le 1er sinistre Gonogo Diarra feront tout pour exécuter leur plan de récupération du pouvoir.
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GUINDOLE journaliste a bien raison. CDM à sa première sortie médiatique n'a même pas pu condamner l'agression du président. Il a fallu les critiques et c'est après quelques jours qu'il a condamné alors que cela releavait du bon sens. Autre indice clair, il n'a, jusque là, fait aucune sanction hiérarchique des responsables de la sécurité. Une autre chose importante. Avant de sortir ses larmes à Paris, il les avait déjà sorties à Bamako devant des gens alors qu'il n'a même pas été capable de sanctionner. C'est un hypocrite, un savant ignorant, un revanchard!
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sidibéVotre journal mérite-t-il son nom? Si vous incarnez la Nouvelle Patrie, vraiment que le Bon Dieu nous en garde puisque vous etes un journal de diversion, de mensonge, de delations, porteur d'idées apatrides. Monsieur Dioncounda n'a jamais accusé quelqu'un à fortiori la COPAM. Il n'est pas allé à votre école et jouit d'un esprit patriotique et fait confiance à sa justice quelles que soient les conclusions des enquetes en cours. Il connait mieux le Premier Ministre Diarra que beaucoup parmi ses détracteurs. Les larmes de ce monsieur sont sincères, je les prefère aux comportements et propos moqueurs et hypocrites de plusieurs de nos hommes politiques qui vendent leur propre pays à l'exterieur. Il a été auprès du Président quelques temps seulement après l'agression et cela jusqu'à son évacuation sur la France. Il a vu son état à Koulouba et ensuite à Paris. L'émotion est humaine et cela ne veut pas traduire que la peur ou la faiblesse.Comme vous étiez vous meme parmi les marcheurs dites nous comment vous avez fait à la Primature et après au Palais de Koulouba et dis nous en quoi Mr Diarra est complice? Il faut aller à l'école étudier les formes de foules ou de manifestations avant de tenter de nous donner des cours en la matière. Alors à ta question: Dioncounda accepterait – il de se remettre avec CMD ? Je vous repondrai simplement qu'ils sont toujours ensemble et qu'ils ne sont jamais separés. Mais si vous ne voulez pas de l'un et que vous voulez de l'autre, faites en sorte que ça arrive avant l'arrivée des milicesz de la sous-region pour vous mettre sur la bonne voie. A bon entendeur.
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lamaDioncounda n'a accusé personne, parce qu'il a raté une marche de ses escaliers et il s'est blessé tout seul. Pas la peine de demander des comptes aux ministres en charge de sa sécurité. Ils ont mieux à faire à Kati. Si les milices de la sous région débarquent, ils ne nous trouveront pas. Car nous ferons comme à notre habitude, un repli stratégique. Courage les gars fuyons!
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LamineMerci mon frère. Tout est dit
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sanblagDe la marche contre le code de la famille à celle de mai, Djoncounda sait que la majorité des maliens l'abhorre. Eh oui, Monsieur Traore, vous êtes un problème pour le Mali!..
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cherifLISEZ & ANNALysez :!: http://www.newafrika.org/spip.php?article444 Peut-on faire de la politique sans trahir ses convictions et les idéaux de son propre camp ? C’est la grande question qui assaille tous les Africains qui veulent voir loin en commençant par voir ce qui est devant eux. Dans les sociétés africaines le traître est considéré comme une personne maléfique qui est perçue comme l’incarnation du diable. En définitive, la trahison touche aujourd’hui les relations humaines dans toutes les sphères de la société : la famille, l’amitié, la relation à plus puissant que soi, au souverain et même la relation à Dieu (puisqu’il peut s’agir d’une rupture avec la foi). La trahison modifie l’équilibre du monde. Le traître brise l’ordre moral, social et pervertit les solidarités. La trahison est souvent causée par l’envie, la soif du pouvoir, l’ambition : la volonté de s’élever au dessus de sa condition, de sortir d’un état de dépendance, de s’affranchir d’une domination. En ce sens, elle est aussi un danger pour la société, pour sa cohésion et sa stabilité. Nous observons aujourd’hui, sur la scène politique africaine, des hommes et des femmes qui se livrent, sans vergogne, à des transhumances politiques qui les font passer d’un parti à l’autre rien que pour être dans le cercle de celui qui est au pouvoir. Quels projets de société ont-ils à nous proposer pour renforcer le bonheur commun et le vivre ensemble ? Leurs comportements nous font dire ici que la psychologie humaine est un champ de travail très vaste et que toutes les sensibilités méritent le même intérêt, si nous voulons trouver des explications cohérentes à la relation que chaque peuple entretient avec son univers mental et social. Nous voulons jeter un regard sur la traîtrise dans la vie humaine et en politique surtout, car c’est un domaine de la vie qui engage la vie et le futur des millions de personnes. Cette démarche nous conduit, immédiatement, à des questionnements auxquels nous ne sommes pas certains d’avoir les réponses. Comment un homme normal, qui a été élu pour veiller au bien-être des habitants de son pays, peut-il signer un contrat complètement défavorable à son pays ? Comment peut-on être un chef d’État non pas au service de son pays, mais pour préserver les intérêts d’une tierce puissance dans le pays qu’on dirige ? Le chef de l’État, agent étranger dans son propre pays, est la réalité la plus humiliante et la plus indigne des 50 ans d’indépendance des pays africains. Nous sommes même arrivés à des situations invraisemblables en Afrique où des gouvernements ont accepté de réaliser des projets grandioses non pas dans l’intérêt du pays, mais pour les commissions financières juteuses qui seront empochées par les uns et les autres.
