Chantage au roi du Maroc: Les enregistrements validés

JUSTICE - Les enregistrements sont à l'origine de la mise en examen de deux journalistes...
Les deux journalistes reconnaissent un accord financier mais réfutent tout chantage. Entendue par la juge d'instruction à la mi-octobre, Catherine Graciet a avoué sa « honte », se disant « minable », mais ce sont « eux qui ont proposé », a-t-elle assuré, selon une source proche de l'enquête. En parallèle, ils ont attaqué la procédure devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel, en demandant l'annulation des enregistrements des deuxième et troisième rendez-vous. Leurs avocats reprochent au parquet de Paris puis aux juges d'instruction d'avoir laissé l'émissaire marocain procéder lui-même aux captations, avec son téléphone, alors qu'une procédure judiciaire était ouverte après le premier rendez-vous. Or, selon eux, dans un tel cadre, la sonorisation d'un lieu répond à des règles plus strictes, d'autant plus que les journalistes doivent protéger leurs sources.
Un « débat de (...) Lire la suite sur 20minutes.fr
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