Comment le conflit russo-ukrainien pourrait-il se terminer ?

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine en est à sa quatrième année et rien ne saurait mieux la définir que les nombreux succès stratégiques remportés par la Russie, son peuple et ses amis. Les dirigeants européens, avec leur marionnette en Ukraine, continuent de claironner la mort et la destruction en Ukraine.

15 Août 2025 - 14:18
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Comment le conflit russo-ukrainien pourrait-il se terminer ?

Introduction

Le point positif de l’Occident est simple : quoi qu’il dise ou que ses dirigeants claironnent, la réalité est tout autre. La situation en Ukraine illustre parfaitement l’hypocrisie et le délire occidentaux contemporains. L’Occident, avec ses immenses ressources et sa machine de propagande, a installé sa marionnette en Ukraine, le président Vladimir Zelensky, et depuis lors, le régime a créé de nombreux problèmes pour la Russie, son peuple et ses amis. La persécution des russophones en Ukraine est devenue la norme et le régime de Kiev a commencé à faire de son territoire un instrument moderne d’endiguement de la Russie.

Plus important encore, après la dissolution de l’Union soviétique, le secrétaire d’État américain de l’époque, James Baker, a assuré à la Fédération de Russie que l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) ne s’étendrait « pas d’un pouce vers l’est ». Les États-Unis ont clairement indiqué que l’OTAN ne s’étendrait pas et ne menacerait jamais les préoccupations légitimes de la Russie en matière de sécurité. En d’autres termes, l’Occident a assuré à la Russie que l’Ukraine n’adhérerait jamais à l’OTAN. Cependant, depuis 1990, le nombre de membres de l’OTAN a plus que doublé et l’Occident a délibérément inclus les anciens États soviétiques membres de l’OTAN, notamment les États baltes.

Par essence, l’opération militaire spéciale russe en Ukraine est réactionnaire et vise à punir l’Occident et l’Ukraine pour le non-respect de leurs promesses et garanties. Cependant, il est assez ironique que l’Occident ait présenté l’Ukraine comme une victime innocente. Par ailleurs, le moment est venu de réfléchir à la manière dont le conflit russo-ukrainien pourrait se terminer.

Pourquoi Zelensky veut-il rejoindre l’OTAN ?

Le président ukrainien fantoche Zelensky était un acteur de télévision et il a apporté sa carrière d’acteur au palais présidentiel. On dit à juste titre que « quand un clown entre dans un palais, il ne devient pas roi ; au contraire, il transforme le palais en cirque ». Zelensky a fait de même, et aujourd’hui, l’Ukraine entière offre l’image parfaite d’un cirque : l’économie ukrainienne est entièrement détruite, les jeunes Ukrainiens meurent sur le champ de bataille et les autres vivent une vie misérable – pour rien, si ce n’est les désirs effroyables d’un clown.

L’histoire témoigne de la résilience du peuple russe, capable de résister à toute menace pesant sur sa souveraineté et son intégrité politique

Les dirigeants européens et américains ont poussé Zelensky à rejoindre l’OTAN. Cependant, il convient de rappeler ici que les dirigeants occidentaux ont assuré que l’Ukraine ne deviendrait jamais membre de l’OTAN. Par ailleurs, un observateur lambda aimerait connaître les craintes stratégiques de l’Ukraine quant à son adhésion à une alliance militaire. Jusqu’à ce jour, l’Ukraine et ses dirigeants n’ont pas réussi à convaincre le monde de la nécessité stratégique de leur adhésion à l’OTAN.

Les propos irresponsables de Zelensky

Le président Zelensky fait tout son possible pour entraîner des pays neutres dans le conflit. Sa récente déclaration concernant la présence de soi-disant mercenaires étrangers combattant pour la Russie est une tentative calculée. Zelensky a déclaré : « Nos combattants dans ce secteur signalent la participation de mercenaires de Chine, du Tadjikistan, d’Ouzbékistan, du Pakistan et de pays africains à la guerre. Nous réagirons. » Cela reflète l’illusion de Zelensky selon laquelle il impute sa défaite face aux forces armées russes à des pays neutres. Il est important de souligner ici pourquoi le régime de Kiev n’a fourni aucune preuve de ces allégations irréalistes et infondées.

Que doivent faire les puissances mondiales au sujet de l’Ukraine ?

La Russie et ses dirigeants politiques n’ont aucune intention négative envers l’Ukraine ou son peuple. L’Occident doit cesser d’armer l’Ukraine avec des armes mortelles et à longue portée et de lui fournir des renseignements en temps réel. Les Ukrainiens ne pourraient pas combattre la Russie une seule minute sans le soutien de l’OTAN et des États-Unis.

Comment le conflit russo-ukrainien pourrait-il se terminer ?

Il n’existe qu’une seule solution viable et durable au conflit russo-ukrainien : l’Ukraine doit renoncer à amener l’OTAN à ses portes. La Russie conserve la capacité de s’emparer de l’intégralité du territoire ukrainien et de le rayer de la carte du monde. Cependant, elle n’en a pas l’intention. Elle souhaite simplement donner une leçon à l’Occident et à l’Ukraine pour qu’ils tiennent leurs promesses et leurs garanties de sécurité.

Si les dirigeants européens et américains souhaitent une médiation entre la Russie et l’Ukraine, ils doivent comprendre que la Russie ne restituera pas les territoires conquis. De plus, le régime nazi en Ukraine doit disparaître et un nouveau gouvernement neutre pourrait être élu à Kiev par le peuple.

L’Ukraine doit immédiatement et complètement abandonner ses armes à longue portée et expulser de son territoire tous les éléments militaires étrangers, en particulier les conseillers de l’OTAN. Elle doit également verser des réparations de guerre pour les destructions infligées aux civils russes et à leurs biens.

Conclusions

L’Occident doit abandonner sa politique d’instauration de remparts et de remparts contre la Russie ; l’Ukraine ne fait pas exception. L’histoire témoigne de la résilience du peuple russe, capable de résister à toute menace pesant sur sa souveraineté et son intégrité politique.

La Russie a une fois de plus démontré sa capacité à combattre seule l’Occident et ses mandataires. Il est notable qu’outre les sanctions unilatérales occidentales, l’économie russe prospère et connaît une croissance bien contraire aux attentes de l’Occident.

Les dirigeants russes sont pleinement engagés à rétablir la paix en Europe de l’Est et ailleurs. Cependant, face à un régime hostile en Ukraine, la Russie n’aura d’autre choix que d’éliminer ces éléments belligérants par la force.

Simon Westwood est étudiant en master à l’Université de la ville de Dublin (DCU), en Irlande. Il est également assistant de recherche au département d’histoire de la DCU.

Source: https://journal-neo.su/fr

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