En un mot : Le “syndrome malien” inquiète jusqu’à Ouaga

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Si les autorités et les populations burkinabè ont apprécié à sa juste valeur du voyage d’IBK à Ouagadougou après l’assassinat de douze militaires du Faso par les combattants jihadistes, elles s’interrogent sur l’implication de leur pays dans le combat pour la paix au Mali. Elles disent craindre “un syndrome malien” avec la répétition d’attaques terroristes, la déroute ou le repli récurrent des soldats au front et le déplacement massif des populations des zones frontières avec notre pays.

La tension est telle dans le pays de Roch Marc Christian Kaboré, qui a le contingent le plus important au Mali, qu’on évoque une révision de son implication dans la Minusma au-delà de la mesure de regroupement des soldats burkinabè le long de nos frontières. Une perspective peu rassurante qui vient s’ajouter à d’autres cas dans les pays engagés au Mali comme la Guinée, le Sénégal et le Tchad qui a déjà plus de la moitié de ses braves combattants ainsi qu’en Europe, notamment la France où les problèmes de budget risquent de remettre en cause la force Barkhane et en Allemagne où des députés demandent un retrait du bourbier malien.

Il urge de mettre en œuvre l’accord de paix et de reconstruire notre armée pour ne pas revivre la situation de 2012. Le leadership du président IBK est plus que jamais nécessaire pour enrayer les mauvais augures.

DAK

 

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4 COMMENTAIRES

  1. “Le leadership du président IBK est plus que jamais nécessaire pour enrayer les mauvais augures.”? Le leadership d’IBK? Crois-tu encore au Pere Noel DAK?

  2. …Bon, en Allemagne, c´est “L´aile gauche sociliste der Linkspartei”, le parti de la gauche, qui en mai dernier (2016) a demandé par l´intermédiaire de Mme Christine Buchholz, porte-parole politique pour la Défense et la Religion de la Fraction du parti “Der Linke”, à ce que la Bundeswehr ne reste pas indéfiniment au Mali comme ce fut le cas en Afghanistan, toute fois nuancé, en exigeant à ce que la présence allemande soit toujours liée à la mission des Nation-Unies…

  3. Depuis le debut, certains d’entre nous ont dit que chacun aura son compte dans la sous region & au dela, dans ce probleme Malien…
    ……. Eh bien! Ça ne fait que commencer

    • La prise de conscience est très très timide au Mali ce n’est nullement une critique gratuite mais réelle
      L’insécurité ,ont la combat d’abord phisiquement, politiquement
      Le combat contre l’insécurité n’est un protocole
      Il faut la combattre sans cesse
      Ont n’à naifment laisser trop de place trop d’espace et trop de temp à cet criminel depuis trop longtemps et sa continue encore
      La région de tomboctou ,de Mopti et de segou doivent suffisamment investi par l’armée Malienne ,or je constate avec amertume que l’armée Malienne n’est pas suffisamment mobilisé
      Les forces de sécurité sont en nombres et moyens dérisoire dans les zones d’insécurité
      2 gendarmes par ci 3 ou 4 par la ils sont exposés aux criminels
      Dans un pays en guerre ont continue d’envoyé des jeunes officiers supérieur dans des missions diplomatiques à L’ÉTRANGER
      Il faudra occuper le terrain ont la dit personne ne veut nous écouter

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