Enlèvement et séquestration de Soumaila Cissé par un groupe djihadiste depuis le 25 mars 2020 : Le conseil de sécurité de l’ONU réclame sa « libération rapide »
Selon la radio Mikado Fm, le Conseil de sécurité des Nations Unies a, lors d’une réunion tenue le mardi 7 avril, réclamé la « libération » du chef de file de l’opposition malienne, l’honorable Soumaila Cissé.
Depuis une quinzaine de jours, le chef de l’opposition malienne, l’honorable Soumaila Cissé est dans les mains des inconnus. Son parti politique, ses collaborateurs de l’opposition et l’État du Mali travaillent à bras le corps pour sa libération, mais Soumi tarde à retourner chez lui.
Le mardi dernier, selon la radio Mikado, le conseil de sécurité de l’ONU a exigé la « libération rapide » du député Soumaila Cissé, enlevé avec sa délégation en pleine campagne dans sa circonscription électorale, Niafunké, dans la région de Tombouctou.
Cette demande de l’ONU intervient quelques jours après la libération de tous les membres de la délégation du président du Front pour la république (FSD)
BoureimaGuindo
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SangareYugubane Quand on arrête Macron, qu'on parle ou qu'on ne parle pas la qualité de la personne donne de l'importance aux ravisseurs Il en est de même pour SOUMAILA CISSE. C'EST POURQUOI CERTAINES PERSONNALITES BÉNÉFICIENT D'UNE SÉCURITÉ PARTICULIÈRE, PAS POUR ASSURER LA SÉCURITÉ DE LA PERSONNE, MAIS ASSURER L'HONNEUR DU PAYS. Notre KANKELETIGUI a basé sa campagne présidentielle de 2013 sur la préservation de l'honneur de l'homme malien, mais chaque acte qu'il pose humilie l'homme malien. QUAND ON FAIT LA POLITIQUE POUR SATISFAIRE UNE HAINE, ON NE PEUT QU'ABOUTIR À DÉCEVOIR RÉGULIÈREMENT SON PEUPLE. On ne réfléchit plus pour aider le pays à se relever, mais à empêcher l'ennemi intime de vous succéder. Que l'ONU s'exprime du cas SOUMAILA CISSE montre à ses ennemis intimes qu'il est un homme politique aussi important qu'un président de la république,qu'on refuse de lui attribuer une sécurité particulière est le résultat d'une INTENTION ASSASSINE pour l'écarter définitivement de la course présidentielle de 2023. Le cas SOUMAILA CISSE risque d'avoir une dimension qui va tellement préoccuper le pouvoir d'IBK qu'il va regretter d'avoir négligé la sécurité de l'homme d'État. Cette phrase peut-être passée inaperçue "SOUMAILA CISSE est AZAWADIEN, il ne lui arrivera rien"montre que les séparatistes ont pris possession du cas du CHEF DE FIL DE L'OPPOSITION. Vont ils en faire un exemple que l'État central est incapable d'assurer la sécurité des AZAWADIENS au point d'en être incapable d'assurer la sécurité d'une personnalité politique importante ressortissante de la zone pendant la campagne électorale? N'ont-ils pas là l'occasion idéale d'exiger l'autonomie de leur zone qu'ils appellent AZAWAD? IBK a abandonné la sécurité des maliens entre les mains des français. Il lui reste à accélérer l'abandon de la partie septentrionale de notre pays. OSER LUTTER,C'EST OSER VAINCRE! La lutte continue.-
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yugubanéIl était préférable que le Conseil de Sécurité de l'ONU la ferme pour ne pas donner à ses ravisseurs l'impression de gagner en importance.
