Union sacrée de Baniko pour les tisserands : Les raisons d’un plébiscite politique hors-norme

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Ultra-favoris des joutes politiques du 29 mars prochain, dans la circonscription électorale de Dioïla, les postulants du RPM, par l’engouement et l’enthousiasme qu’ils suscitent au sein de la population, sont attendus pour ratisser large. Un score électoral digne de leur rang. Ici, dans cette localité, personne ne doute d’une telle prouesse politique, en raison justement de la carrure des candidats du RPM. Un prestige politique dont ils jouissent au sein de la population, au profit de laquelle, durant des années, ils ont tout donné, à l’image d’un certain Mamadou Diarrassouba qui a tissé le pont avec les siens. Tel un retour de l’ascenseur, la population est dans la ferveur de leur rendre cela : la victoire sans bavure, dès le 1er tour de ces législatives. Rien que par le gigantisme des rassemblements politiques provoqués autour des candidats RPM, le ton de cette victoire politique majeure est donné par les citoyens qui retiennent leur souffle jusqu’au jour « J ». Les traits d’un plébiscite politique qui va marquer les esprits…

Dans la ferveur de la campagne électorale pour les législatives du 29 mars prochain, qui bat son plein, tout le monde s’accorde à reconnaitre qu’il est dur de vouloir concurrencer l’honorable Mamadou Diarrassouba et ses colistiers, Issa dit Bafing Coulibaly, Yiri Keïta, Moussokoura Samaké et Marie Noël Coulibaly dans la circonscription électorale de Dioïla. Par l’enjeu politique qui se profile sur ces échéances politiques, les citoyens, ici, comme ailleurs, ont compris qu’un bon choix des candidats, sortis des urnes, est gage de développement.

Et à y regarder de près, chacun de ces candidats du RPM inspire la grande confiance quant à sa capacité de résilience vis-à-vis des initiatives de développement de la zone. Sur les cinq candidats de cette liste, Mamadou Diarrassouba et Yiri Keïta n’ont plus rien à démontrer, eu égard à leur implication réelle et constante dans l’animation de la vie du terroir au cours de la législature finissante.  Au-delà du rôle classique du député, et du fait que le mandat parlementaire est national, ils ont compris, ces deux grands messieurs de la politique malienne, que le député est avant tout l’interface entre le citoyen et l’administration publique.

Ils l’ont tellement bien compris dans leur localité qu’ils ont su mobiliser des alliances politiques fortes et dynamiques, bien au-delà de leur propre famille restreinte. A ce point, Mamadou Diarrassouba et Yiri Keïta sont imbattables ; eux qui ont cultivé, depuis longtemps, l’esprit de solidarité politique dans la zone, en vue de créer, à partir des atouts et potentialités existants, au niveau de la circonscription de Dioïla, un puissant pôle de développement, profitable à tous les habitants. Ces deux grands messieurs ne sont pas seuls dans la course. Ils sont épaulés par d’autres bâtisseurs du cercle, en l’occurrence Issa, alias Bafing Coulibaly, Moussokoura Samaké et Marie Noël Coulibaly.

Comme pour soutenir que le travail parlementaire suppose également l’implication locale, ces derniers ne ratent aucune occasion pour rallier les populations de leur contrée, avec lesquelles ils se sont engagés dans une dynamique de développement durable. Par leur apport sur le terrain de tous les jours, ils ont donné un sens citoyen à l’effort du développement local. Ce qui a fait d’eux, au-delà de leur simple appartenance politique, des hommes acquis à l’épanouissement économique et social de leur localité.    

L’honorable Diarrassouba, la cheville ouvrière du développement endogène

Pendant le quinquennat finissant, cet homme n’a jamais tourné le dos à la souffrance des populations de la localité.

Au cours d’une caravane de presse en 2018, les journalistes s’en sont rendus compte. Ils l’ont exprimé eux-mêmes à travers des reportages effectués sur le terrain, en mettant l’accent sur les énormes réalisations accomplies par ce député de terrain au profit des populations. L’une de ces réalisations phares concerne les 100 logements sociaux de Fana, les Cscom de Togo, de Mansara, Séguéla, Bouya, Tiontala, Gouana les mosquées de Dioïla, Bouya, Mansara, Massigui et plusieurs autres localités des arrondissements Béléco, Fana, Mena et Banco. S’y ajoutent, pour la bonne cause, les kits solaires, scolaires et de sonorisation offerts aux populations concernées.

100 logements sociaux gratuits : une première dans histoire du Mali

Pour contribuer à la lutte contre la pauvreté à travers la facilité de l’accès des populations à des logements décents et à l’essor de la ville, des infrastructures modernes ont vu le jour, au grand soulagement des populations. C’est bien le cas pour les 100 logements sociaux entièrement réalisés et qui seront attribués dans les jours à venir. Ce projet a été réalisé grâce à l’ONG Al Farouk qui a toujours répondu aux sollicitations des élus de la localité.

A Fana, ce projet relève du miracle, apprend-t-on, car, estiment les citoyens, aucun élu n’a initié un tel projet dans le cercle de Dioïla depuis l’indépendance à notre pays.

Selon Sidi Mohamed Traoré, agent de la Cmdt, c’est une première dans notre pays que des logements soient construits et proposés à être gratuitement distribués aux populations. Même sentiment de satisfaction chez Modibo Diallo, chauffeur de son état, qui trouve que l’honorable Diarrassouba est un bâtisseur. Selon M. Diallo, il doit sa popularité au fait qu’il dit la vérité sans démagogie.

« Nous avons entendu parler de ce genre de réalisations dans des pays comme la Libye. Mais c’est la première fois que cela se réalise au Mali. Je suis satisfait de tout ce qu’il fait en tant que député pour le cercle. Même récemment, il a fallu son intervention pour que la question du poste de Fana soit définitivement réglée », a-t-il témoigné. La réalisation de ces logements participe de la visibilité de la localité.

Chez le député Diarrassouba lui-même, connu pour son humilité, c’est le sentiment de la solidarité citoyenne qui domine : « Je suis un fils du tiroir et je n’ai pas besoin d’être sollicité pour leur venir en aide ».

Au-delà de ses nombreuses réalisations, le député estime que la principale préoccupation des populations du cercle de Dioïla reste aujourd’hui le bitumage d’un certain nombre de voies, notamment l’axe Dioïla-Massigui-Koualé, long de 140 km. C’est pourquoi il se dit toujours déterminé à accompagner les populations vers le progrès économique, objectif suprême de son engagement politique.

 A la découverte des œuvres d’un député adulé par les siens   

A la différence de certains élus, accusés, à tort ou à raison de tourner le dos à la base une fois les joutes électorales finies, Mamadou Diarrassouba est resté en contact direct avec les populations, avec qui il partage toutes les initiatives de développement local.

La réussite étant au bout de l’effort, dit-on, Mamadou Diarrassouba est porté aujourd’hui par les efforts qu’il a déployés depuis fort longtemps au bénéfice des populations. Il n’est pas exagéré de dire que le progrès économique de la contrée de Baniko repose en grande partie sur les efforts de ce député de conviction.

Revisitons certains de ces acquis. Comme le dirait l’autre, les faits sont sacrés, les commentaires sont libres. Depuis  son élection en 2013 pour un 3ème mandat à l’Assemblée nationale, il n’a eu de cesse  de multiplier les initiatives pour attirer les partenaires au développement dans la localité en vue de changer le quotidien des siens.  La réussite étant au bout de l’effort, aujourd’hui, ses efforts ont porté fruit et de nombreuses infrastructures socioéconomiques de base dont des Cscom, des mosquées, des logements sociaux  sont à mettre à  son actif. Pour la plupart, il s’agit d’infrastructures réalisées grâce à l’appui de certains partenaires, notamment l’ONG Al Farouk, qui a cru à son engagement auprès des populations dans une localité où tout restait à faire.

Grâce à ces réalisations, le secrétaire à l’organisation du Rassemblement  pour le Mali (RPM) jouit actuellement d’une popularité sans équivoque auprès des populations du Banico qui ne tarissent pas d’éloges pour ce digne fils du terroir.

Des différents témoignages recueillis, il ressort que  Diarrassouba est un député très proche de ses concitoyens qui n’hésitent pas en retour de lui accorder leur soutien indéfectible.

Bouya est un village situé à quelques 33 km de Dioïla, en direction de Massigui. Là-bas, grâce à l’appui de l’ONG Al Farouk, une mosquée a été rénovée et un Cscom construit.

Selon l’imam Abdoulaye Sékou Diarra, cette mosquée, bâtie en banco depuis 50 ans, s’est écroulée plusieurs fois avant d’être reconstruite en ciment grâce à l’apport du député Diarrassouba et ses partenaires.

«Quand nous avons reçu les émissaires de l’honorable Diarrassouba, ça nous a soulagés.  Il était très difficile de prier dans la mosquée, tellement qu’il faisait sombre à l’intérieur. Nous remercions l’honorable pour ce geste. Il nous aide beaucoup», a-t-il confié. Aujourd’hui, cette moquée est entièrement rénovée et équipée de kit solaire pour l’éclairage au grand bonheur des fidèles. En plus de la mosquée, le député et son partenaire (ONG Al Farouk) ont aussi construit un Cscom, recruté des enseignants, payé des kits scolaires pour les enfants. De même, il a construit 3 salles de classe. Ce que retient  Broulaye Sanogo, représentant le chef de village, c’est que tout a été rapide et la contribution des populations locales se limite aux travaux de manœuvre, l’apport en sable et en gravier.

«Nous remercions infiniment l’honorable. Nous avons connu beaucoup de députés, mais aucun d’entre eux ne nous a aidés comme Diarrassouba», a félicité M. Sanogo.

A N’Golobougou, situé à quelques km plus loin, Diarrassouba et ses partenaires ont installé un kit solaire dans le Cscom, où les femmes accouchaient dans le noir depuis sa création en 1991. Ici, les problèmes avaient pour noms: manque de salle d’hospitalisation, problème de prise en charge du salaire du médecin. Ces questions ont trouvé réponses.

Dans son intervention, la porte-parole des femmes, Aminata Sanogo, a exprimé la reconnaissance de ses sœurs à l’honorable Diarrass.

Chez les habitants de Togo, situé à 55 km de Dioïla, c’est l’effervescence. Dans ce village, le gouvernement a répondu à la sollicitation des populations, transmise par  Mamadou Diarrassouba, en réalisant un Cscom entièrement équipé et doté de personnel qualifié, et une adduction d’eau. «IBK et son gouvernement nous ont soulagés. Il y a plus de 20 ans, nous n’avons cessé de solliciter les autorités maliennes pour la réalisation d’un Cscom dans notre aire sanitaire qui compte plus de 5 000 habitants. Grâce à Diarrassouba, ce rêve est devenu une réalité. On ne peut pas saluer Diarrassouba à hauteur de ses actions», s’est réjoui le président de l’Asaco, Daouda Sylla. Il a souligné que la réalisation de ce Cscom a permis de rapprocher les soins des populations. «Aucun député ne nous a jamais aidés comme lui», a-t-il dit.

A Sanankoro-Kouloubadougou, situé à 62 km environs de Dioïla, Mamadou Diarrassouba et ses partenaires ont doté le Cscom d’un kit solaire pour l’éclairage des lieux.

A Séribila, en plus d’une contribution financière, l’honorable a contribué à l’équipement de la mosquée en matériel de sonorisation et de kit solaire. Aussi, grâce à son intervention, le Cscom a été doté d’une ambulance et renforcé avec la construction d’une salle d’hospitalisation supplémentaire.

A Séguéla, situé à l’Ouest de Massigui,  les populations ont exprimé leur reconnaissance après la construction de leur centre de santé. Selon le chef de village, Seydou Haïdara, pour la première fois depuis l’indépendance du Mali, ses habitants ont su que l’Etat central pense à eux en apportant une solution à leurs problèmes de santé. Avant de s’engager à ne jamais abandonner leur député au profit de qui que ce soit.

«Nos femmes étaient souvent victimes de fausses couches avant qu’elles ne rallient Massigui, situé à 10 km de là. Ce centre de santé sera d’un apport inestimable, notamment dans le cadre de la santé maternelle et infantile», a indiqué  Zeyna Haïdara.

La ville natale de Mamadou Diarrassouba (Massigui) n’est pas aussi en marge des réalisations. Là-bas, les témoins oublient volontiers certaines réalisations à son actif.  Mais on peut tout de même souligner la dotation en laboratoire du Cscom, ainsi que le recrutement et la prise en charge du salaire de l’agent du labo. Ce qui permet  de sauver la vie de 500 enfants par an.  A cela s’ajoutent la dotation du même Cscom en kit solaire pour l’éclairage et d’autres besoins énergétiques. S’y ajoute sa contribution pour la réalisation d’un ouvrage d’adduction d’eau potable.

De leur côté, les responsables techniques du Cscom de Massigui ont exprimé leur reconnaissance au député  Diarrass  qui, estiment-ils, est en train de faire de son mieux pour le bon fonctionnement de cette structure. «Pour les transfusions, c’était un problème, parce que nous sommes à 80 km de Dioïla. En 2015, nous avons approché Mamadou Diarrassouba qui nous a répondu favorablement pour qu’on puisse avoir un mini-labo. Il nous a ensuite appuyés pour le recrutement d’un laborantin qu’il a même payé pendant des mois avant que l’Association de santé communautaire (Asaco) ne prenne le relai.  En début 2018 également, il a amené un kit solaire qui a réglé tout le problème d’électricité à notre niveau », a reconnu le médecin, Seydou Koné. Dans le même registre, le lobbying de l’élu RPM à Dioïla auprès des autorités du pays continue à porter des fruits. Car, le département de la Santé a décidé de construire un Centre de référence à Massigui. Le site a été identifié, les travaux ne sauront plus tarder, confie un cadre du département de la Santé.

A Mansara, un village situé à moins de 4 km de Massigui, les populations se réjouissent de la réalisation d’une mosquée et d’un Cscom qui contribuent à l’amélioration de conditions de vie des populations.

La population de Dioïla dit devoir tout à Mamadou Diarrassouba. Car, au-delà de son engagement ayant permis à l’équipement du Centre de santé de référence (CSRéf) en groupe électrogène, une machine de radiographie estimé à plus de 130 millions a été acquis par le CSRéf .

Au plan religieux, Dioïla, particulièrement le quartier Bolibana se dit comblé. Car, expliquent les autorités religieuses dudit quartier, grâce au député surnommé « Grand Bâtisseur »,  une  nouvelle mosquée  a été construite à Dioïla-Bolibana. La reconstruction de cette mosquée, datée de 1930, ne pouvait qu’être bénéfique pour les citoyens.

L’imam Almoustapha Sangaré, rencontré sur place, a salué cette réalisation qui constituait une préoccupation majeure de la communauté musulmane de Dioïla. En plus du bâtiment principal, se félicite-t-il, nous avons eu un point d’eau. Toutefois, il a souhaité voir cette mosquée s’agrandir jusqu’au premier niveau pour permettre d’accueillir plus de monde. Une demande qui a été examinée par le donateur avec un intérêt particulier.

Selon le président du comité de gestion de la mosquée, Abdoulaye Tounkara, cette mosquée existe depuis 1930 et était en état de délabrement avancé. Ainsi, sa réalisation contribue à l’épanouissement de l’islam dans la ville de Dioïla. C’est pourquoi, il a tenu à saluer et remercier le généreux donateur et son partenaire.

Faut-il le souligner, trois autres Cscom sont en cours de réalisation dans le cercle, dont ceux de Tiontala et de Baba.

A l’analyse des actions susmentionnées, on s’aperçoit aisément que Mamadou  Diarrassouba  est un élu national en contact direct avec la population. Il vit le quotidien et partage les préoccupations de cette dernière. D’où son engagement aux côtés des partenaires pour atténuer les souffrances des Maliens.

Grâce à ces réalisations, le secrétaire à l’organisation du Rassemblement pour le Mali (RPM) jouit actuellement d’une grande popularité auprès des populations du Banico qui se reconnaissent en lui.

Quid de ses colistiers ?

L’honorable Yiri Keïta qui n’est plus à présenter dans le cercle de Dioïla a fait ses preuves avant de devenir député. Il a poursuivi des actions similaires à celles de l’honorable Mamadou Diarrassouba dans le cercle de Dioïla.

Quand à Issa, alias Bafing Coulibaly, il fait partie de la jeune génération qui a révolutionné l’entreprenariat dans le cercle. Partageant son avoir avec la population, il a fait de la facilité de mobilité des citoyens son cheval de bataille à travers la réparation des routes de plusieurs villages. Des mosquées et écoles sont aussi à son actif dans le cercle.

A côté de ce dernier, le ministre secrétaire d’Etat Adama Sangaré, directeur de campagne de la liste RPM, fait trembler des adversaires de par ses actions de développement. Notamment, la construction des ponts et des routes depuis des années.

S’agissant de  Mme Maïga Moussokoura Samaké, fille du Capitaine Soungalo Samaké, elle symbolise l’humanisme.  Tout comme son père, elle a répondu présente partout où elle a été sollicitée. Notamment dans l’accompagnement des associations de femmes, la réalisation des forages et la prise en charge de certains enseignants communautaires. S’y ajoutent les consultations ophtalmologiques gratuites dans le milieu scolaire et des dons de médicaments d’une valeur de 4 millions aux CSRéf de Dioïla, on oublie volontiers les donations dans les maternités.

L’autre jeune bâtisseur qui fait un travail remarquable dans l’ombre pour atténuer la souffrance des siens s’appelle Soïbou Marico. Il ne ménage aucun effort pour appuyer l’éducation des enfants du cercle et la promotion de l’auto-emploi des jeunes. Sa commune natale, Niantjila, et la ville de Dioïla peuvent en témoigner.

Marie Noël Coulibaly, plébiscitée par la sous-section RPM de Béléko pour figurer sur cette liste, est réputée être une femme engagée pour l’autonomisation des femmes de la circonscription électorale de Dioïla.

Avec lui, ses colistiers Issa dit Bafing Coulibaly, Yiri Keïta, Moussokoura Samaké et Marie Noël Coulibaly forment une équipe de compétiteurs redoutables sur le terrain. Chacun de ces candidats, compte tenu de son engagement citoyen auprès des populations de la contrée, aura son mot à dire lors de ces joutes électorales.

Dans le Banico, il n’y a pas une seule localité où les populations ne se souviennent pas des réalisations accomplies par ces hommes et femmes qui portent dans leur cœur et dans leurs ambitions politiques le développement durable des communautés.

Au-delà de la ferveur électoraliste suscitée par le scrutin du 29 mars prochain, ces joutes politiques constituent un test grandeur nature pour ces candidats du RPM qui se présentent face à des communautés auxquelles ils ont tout donné.

Un rendez-vous politique décisif qui donne un sens à l’engagement citoyen, indépendamment du clivage idéologique et politique.

Oumar KONATE

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