En un mot : La première victoire de Moussa Sinko

En démissionnant de l’armée et surtout en fustigeant la gestion du pouvoir actuel, le général Moussa Sinko Coulibaly ne s’attendait certainement pas à provoquer une si grande onde de choc dans les milieux politiques et militaires. Depuis deux semaines, on ne parle que de son départ de l’armée et de ses sorties médiatiques qui ont, semble-t-il, ébranlé le régime jusqu’à son sommet pour qu’on organise très rapidement une campagne médiatique pour le discréditer.
On est allé jusqu’à ressusciter des journaux rien que pour déstabiliser l’ancien ministre de l’Administration territoriale. Et même des ministres sont impliqués dans la campagne qui donne l’effet contraire en maintenant la cible au cœur de l’actualité et surtout en le faisant passer déjà pour quelqu’un qui va peser dans les mois à venir pour comprendre la panique du camp présidentiel dont certains barons voient derrière Moussa Sinko la main de la France et d’autres puissances occidentales.
Quoi qu’il en soit, le général a déjà enregistré une importante première victoire et pourra finalement devenir un acteur important par le bénéfice des supputations des IBK-istes.
DAK
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TouréCelui qui aime le Mali ne s'exprime pas en ces termes et de cette manière. Il faut être aveugle et sourd pour ne pas voir la décadence du pays. Que ceux qui soutiennent IBK aillent à Kidal pour nous faire la démonstration, que l'insécurité est résiduelle. Pourtant, Kidal fait partie intégrante du Mali.Il est occupé par des forces rebello-djihadistes. Le Centre et le Sud se trouvent entre les mains de Amadou Kouffa et ses hommes, qu'aucune force n'ait tenté de déloger jusqu'à ce jour. La décrépitude des Centre de Santé et les plateaux techniques des Hôpitaux dépasse l'entendement. Les travailleurs grognent sans arrêt, toutes corporations confondues. L'enseignement et l'agriculture ne font pas la partie des préoccupations des tenants du pouvoir. Les routes, les caniveaux à ciel ouvert en pleine Capitale, l'insalubrité, autant de choses que l'incomparable président avait promis d'éradiquer dès l'entame de son mandat. Le pays, bien qu'ayant été sauvé par la France, ne doit pas se laisser assujettir. Le Mali est un pays souverain, qui a son mot à dire dans les décisions que prennent les Français le concernant. Rien ne doit se faire sans au préalable en avoir l'avis du gouvernement légal et régulier du Mali. Mais, lorsque le pays est gouverné par quelqu'un, qui ne se respecte pas, et terni l'image du pays en de circonstances, qui feraient honte à un apprenti griot. IBK s'est mis à genoux pour supplier le petit Macron, voulant contraindre à passer par bamako avant d'aller à Gao. Pour ce faire, IBK a remué ciel et terre, jusqu'à solliciter Angela Merckel pour intercéder. Quelle bassesse pour le Mali. Et malgré toutes les tentatives, Macron a refusé de céder aux supplications. IBK est allé l’accueillir à Gao avec son gouvernement au complet pour aller subir toutes les sortes humiliations possibles. Macron ne l'invitera pas au déjeuner avec les officiers Français. IBK et sa suite attendront débout, que le petit termine ses entretiens avec la troupe, avant de commettre l'irréparable. Macron refuse les six cent kilos de mangues et un cheval blanc, qu'est venu lui offrir IBK. De tels comportements de larbinisme et de laquai devant le garçon, ont fini de le décrédibiliser. Dès lors, le petit sait désormais, qu'il le tient par les couilles, car il a compris qu'il est un béni oui-oui comme les autres. Tout ceci fait partie du jeu politique, que l'ignorant de président ne comprend pas. La gestion du pays laisse à désirer. Jamais corruption n'a atteint un tel niveau de dépassement dans ce pays. Sans les énumérer, ils ont fait mal aux finances du pays. Le Vérificateur est dépassé par le désintérêt du président pour la suite à donner à des dossiers aussi catastrophiques que rocambolesques, qui devaient se trouver déjà sur la table du Procureur afin que leurs auteurs soient entendus. Tous les dossiers impliquant les siens ou compromettant pour lui, sont mis sous le coude. L'impunité est devenue la règle dans ce pays où la fraude légale. Le vol est devenu Hallal, la corruption Hallal, toutes les malversations sont Hallal. La droiture et l'intégrité elles, sont Haram. Et, c'est pour un tel régime, que vous insultez Ras Bath? Le garçon ne mérite pas ça. S'il n'y avait pas Ras Bath, beaucoup de nos compatriotes mis à l’écart des affaires publiques, ne comprendraient rien à la chose politique. Aujourd'hui, beaucoup de Maliens sont imprégnés des magouilles qui tuent le Mali, ils savent mieux le rôle que jouent les dirigeants chacun à son poste. Seuls les activistes ont cette capacité d'inoculer aux masses, les germes de leur propre sensibilité de la chose politique et sociale. Ce garçon est quelqu'un qui mérite le soutien de tous ceux qui aiment la transparence, la vérité et l'intégrité et l'honnêteté de ceux qui gèrent les biens publics et dirigent la politique du pays. Moussa Sinko quant à lui, risque que IBK lui ferme sa grande gueule, s'il accentue la pression du chantage qu'il exerce sur le président pour la libération de Sanogo et compagnie, ses amis criminels de la maudite junte de Kati. IBK a rompu le pacte qui les liaient. Il n’intercédera pas en faveur d'une libération des prisonniers. Ils resteront en prison, jusqu'à ce que IBK tente sa chance aux prochaines présidentielles. S'il est réélu, il usera de son droit de grâce pour les sortir de prison. Cette hypothèse avait-elle été discutée entre complices? Nul ne le sait, mais, toujours est-il, que le fumier de général tient le gars quelque part par les couilles. Si jamais cet enfoiré de général dévoile qu'il y'a eu des fraudes aux élections qui ont porté IBK au pouvoir, la situation deviendra électrique dans le pays. De même, s'il reconnait avoir usé de fraude pour faire élire son candidat, il sera immédiatement poursuivit devant les tribunaux, si seulement il parvient à échapper au lynchage. Il peut accuser le régime de tous les maux, sans jamais dénoncer le caractère irrégulier du scrutin passé. Personne ne souhaite la continuité de la gouvernance IBK, personne. Les sout7 ansRépondreLike (0)
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COMBATS IDEOLOGIQUES?DEMAIN , C EST PAS UN MOIS, NOUS VERONS QUI EST MOUSSA SINKO SOUS PEU MAIS PAS PRESIDENT, IL DOIT NOUS DIRE SA VISION DU MALI AU FUTUR ,SES PLANS ET COLLABORATEURS POUR ARRIVER AUX BUTS!?7 ansRépondreLike (0)
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BalandougouEn tant que malien soucieux de l'avenir politique de mon pays, je dis tout simplement que le Régime IBK est entouré des cadres qui n'aiment pas IBK. A chaque fois que quelqu'un intervient sur le régime, les cadres ne font que aboyer comme des chiens au lieu d'apporter des arguments concrets. Je me rappelle encore de problème d'attribution du marché relatif aux équipements militaires ou l'opposition a utilisé comme preuve de mauvaise gestion du régime, or les textes stipulaient que l'attribution était plus que normale. Aucun cadre n'a pu faire une intervention concrète et appuyer par les textes.7 ansRépondreLike (0)
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Kankancomrades a victory for Moussa Coulibaly is a victory for he who knows how plus with assistance of people of Mali lead nation to essential victory. Without victory in issues Moussa Coulibaly acknowledged there will be no Mali. If you for Mali sanity plus reasonableness leave you no alternative but to be for Moussa Coulibaly as president. Moussa Coulibaly for President of Mali. Moussa Coulibaly for President of Mali. Very much sincere, Henry Author(people of books) Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan aka Gue. translationbuddy.com7 ansRépondreLike (0)
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TouréArrêtez ces commérages inutiles. Les Français, s'ils doivent soutenir en douce, quelqu'un dans la classe politique Malienne, ne porteront certainement pas leur choix sur un putschiste repenti, qui en plus, doit répondre prochainement devant la justice, de sa participation aux crimes les plus odieux qu'ait connu le Mali. Les Français n'ont rien à foutre de ce minable général d'occasion, un vulgaire inconnu, qui un moment, vantait les qualités d'homme du farfelu de président, qu'ils ont soutenu jusqu'à cette date fatidique de leur rupture. Ce ne sont pas les candidats crédibles qui manquent, pour que les Français aillent soutenir un enfoiré de criminel comme ce minable général à deux balles. Plus personne n'ose parier sur IBK, mais de là, soutenir un salopard de criminel, il y' a un pas à ne pas franchir. Ceux qui soutiennent cette sortie honteuse du général n'ont qu'à se raviser, celui qu'ils croient important n'est rien d'autre, qu'un des assassins ayant échappé au filet de la justice, mais il sera bientôt rattrapé, lorsque IBK trouvera la faille pour le faire inculper à son tour. Attendez un peu, vous verrez, que ce empêcheur de tourner à rond finira par rejoindre ses copains derrière les barreaux. Comme quoi, on ne joue pas avec le pouvoir. IBK a tous les moyens de le faire taire. Il suffit, qu'il découvre un tout petit détail sur une éventuelle complicité de ce Moussa Sinko dans l'affaire des bérets rouges. Pour le pouvoir, que ne feraient les hommes politiques du genre de IBK, qui est allé jusqu'à s'allier avec les plus grands criminels du pays, et cela sans aucune honte.7 ansRépondreLike (0)
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MAils faut prendre tous les adversaires au sérieux et dangereux, si vous voulez qu'IBK serra réélu en 2018 ne lui jette pas des fleurs dites lui la vérité,il ne faut pas l'endormir ,met lui devant la réalité ,pour qu'il puisse savoir sur quel pied danser,sinon comme ça il est entouré de menteur7 ansRépondreLike (0)