Valérie Trierweiler : "J'ai la rancune éternelle"

1 Mai 2014 - 00:33
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[caption id="attachment_273762" align="aligncenter" width="610"]Valérie Trierweiler : "J'ai la rancune éternelle Grazia - Valérie Trierweiler : "J'ai la rancune éternelle"[/caption] Ça pourrait être un best-seller de la collection Harlequin. Un opus tragique, romanesque et vénéneux de la Bibliothèque rose. Or, c’est l’essai d’une journaliste politique, grand reporter à L’Express, qui a consacré ces trois derniers mois à démêler les secrets d’alcôve qui ont hystérisé la rupture de François Hollande et Valérie Trierweiler.   Dans Le président qui voulait vivre ses vies, Elise Karlin rappelle que leur relation est depuis longtemps d’une violence inouïe, bien loin de La Vie en rose, l’air choisi par Valérie le soir de la victoire de son homme à l’élection présidentielle…   De l’affaire du tweet de soutien à Olivier Falorni, rival de Ségolène Royal en 2012, aux crises de jalousie à répétition qui ont secoué leur vie au Palais, l’ex-première dame n’aurait laissé aucun répit au président.Dévorée par la colèreAu point que celui-ci, effondré, a laissé échapper, un soir d’abattement : "Elle m’a volé les moments les plus heureux de ma vie". On découvre aussi une femme, qui, dévorée par la colère à l’heure où les rumeurs d’une liaison entre François Hollande et Julie Gayet ont atteint l’Élysée, en février 2013, n’a pas hésité à décrocher son téléphone. " Valérie Trierweiler, que ses amis de l’époque disent très affectée, interroge son compagnon. Il nie formellement, à plusieurs reprises, écrit Elise Karlin.     Au bout de quelques semaines, la première dame, que les dénégations de François Hollande n’apaisent pas, décide, malgré tout, de téléphoner à Julie Gayet, qu’elle a croisée pendant la campagne." C’est elle qui pousse l’actrice à démentir et à déposer plainte contre le site internet qui a révélé la liaison.Enfin libre !Si, depuis le 25 janvier et le communiqué qui officialise leur rupture, François Hollande semble apaisé, Valérie Trierweiler, humiliée, selon son amie Charlotte Valandrey, n’a pas fini de cuver sa colère. Le 13 mars dernier, elle a d’ailleurs déjeuné avec le directeur éditorial d’Albin Michel au restaurant du chef (...)   Par Caroline Lumet | Grazia

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