Immigration : Mohamed Salia Touré, président du CNJ, s’insurge contre le phénomène

Le Club de soutien des amis Salia Touré (CAST) a tenu sa première assemblée générale le dimanche 14 juin 2015 au Centre international de conférence de Bamako (Cicb), plein à craquer, pour présenter les différentes activités réalisées. Plusieurs personnalités ont pris part à cette assemblée générale dont l’ancien Premier ministre, Moussa Mara, les anciens ministres, Modibo Kadjoké, Abdourhamane Touré, le 2e vice-président de l’Assemblée nationale, Amadou Thiam, le directeur national de la jeunesse, Drissa Guindo, le parrain, Mohamed Salia Touré, président du Conseil national des jeunes (Cnj) et bien d’autres. Au cours de son allocution, le parrain a invité les dirigeants du pays à créer de l’emploi pour les jeunes afin qu’ils puissent rester au Mali.

26 Juin 2015 - 04:21
26 Juin 2015 - 04:21
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Le Premier ministre au siège du CNJ : Des conseils utiles a la jeunesseAprès les mots de bienvenue du président de la commission d’organisation, Moussa Coulibaly et la présentation des différentes activités réalisées par le Cast, l’ancien ministre, Abdourhamane Touré a fait des témoignages à l’endroit du parrain Mohamed Salia Touré. Il a retracé le parcours du jeune Mohamed Salia Touré détenteur d’un master en science politique et en gestion communication. Avant d’inviter les jeunes à poser des actes pour la prospérité du pays. Quant à l’ancien premier ministre Moussa Mara, il a invité la jeunesse d’être de bon exemple pour la nation. «Bon vent au Cast et à tous ceux qui l’accompagne», a-t-il dit. A sa suite, l’ancien ministre Modibo Kadjoké, le coordinateur national du Cast, Boubacar Maïga, le 2e vice-président du Cnj, Oumar Touré ont tous indiqués que le Cnj est beaucoup plus visible grâce au leadership du président Mohamed Salia Touré. «Vous êtes toute ma famille, merci de m’offrir tant de bonheur. Il y a des défis à relever ensemble. Nous ne devrons pas céder à la fatalité. Osons toujours», c’est pas ces mots que le parrain, Mohamed Salia Touré a commencé son allocution. Avant d’ajouter que l’éducation est la boussole de la vie. Selon lui, il faut une prise de conscience des jeunes. «Sans une jeunesse consciente, aucune nation ne peut se développer. La méditerranée ne doit pas être un cimetière pour les jeunes tendant à s’exiler. Nos frères et sœurs ne doivent plus mourir pour exiler. Il faut que nos dirigeants prennent conscience pour créer l’emploi et pour construire les logements sociaux afin d’inciter les jeunes à rester au pays», a-t-il dit. Aguibou Sogodogo

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