Indice de développement humain : Le PNUD classe e Mali 182e

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Dans son rapport de 2013 publié du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement sur le Développement Humain. Le Mali classé 182 au devant du Burkina, le Tchad, le Mozambique, le Congo Démocratique et le Niger. Selon le rapport, nombreux des pays du Sud ont connu un développement. L’émergence du Sud est par sa rapidité et son ampleur, note le rapport 2013 sur l’indice sur l’indice de développement humain. Le « Sud » les pays développés. Pour les conditions de vies et les perspectives assez de personnes n’ont pas évolué de manière aussi rapide et spectaculaire. Poursuit le rapport, l’émergence du Sud pour le progrès humain dans un monde de multiples diversités. Ce changement est tant marque par une équilibre global supérieur qui celui qu’on peut observer pendant la révolution industrielle. Les pays du Sud comme la principale force motrice de la croissance sociale en progression. Comparant à d’autres régions du monde, l’Afrique Subsaharienne présente l’indice de développement humain (IDH) national moyen le plus faible. Cette graduation de l’IDH prend en compte différents pays avec ou sans ressources, aussi des économies diversifiées et des économies très performantes basées sur l’agriculture notamment l’Angola, Maurice, le Rwanda, l’Ethiopie, l’Ouganda et la Sierra Léone qui présente également la deuxième meilleure progression de l’IDH depuis 2000 sur le plan mondial. Le rapport du PNUD indique qu’en la partie subsaharienne, s’il faut maintenir ou même accéléré la dynamique de progression au cours des années de décennies à venir, ces pays de la région doivent encore mettre l’accent sur la réduction des inégalités en ciblant spécifiquement les jeunes, les femmes et les populations marginalisées (les couches plus démunies). Ces indicateurs montrent que la région subsaharienne présente les niveaux les plus élevés au monde d’inégalité sur le plan sanitaire. Les pays africains devraient créer jusqu’à 72 millions d’emplois à l’horizon de 2020 selon le rapport les progrès de la région sont aussi menacés par le changement climatique et d’autres problèmes lié à l’environnement. Le rapport 2013 place la Chine, le Brésil et l’Inde au cours des 20 dernières années les plus considérables de la croissance économique. Il estime que d’ici 2020 la production réunit de ces 3 pays dépassera celle du groupe combiné par les Etats-Unis, l’Allemagne, le Royaume Unie, la France, l’Italie et le Canada.

Le rapport estime que l’émergence du Sud va au-delà de ces trois favoris pendant que plus de 40 pays en développement ont fait preuve au cours de la même période plus que prévu après l’Indonésie, le Mexique, le Bangladesh, la Tanzanie et le Yémen ont enregistré une croissance progressive, tandis que des Etats comme le Pakistan et l’Afghanistan on affiché des taux de croissance les plus rapides au monde avec 7% et 3.9 en moyenne au cours des douzes dernières années. Le rapport note par conséquent était de la hausse des échanges commerciaux des projets et des partenariats de coopération Sud-Sud, qui devraient tantôt dépasser ceux qui se trouvent entre les nations développées le rapport retient que la chaine exerce cependant une influence considérable en Afrique grâce à des investissements dans le commerce. La technologie des infrastructures et de nombreux partenariats. Il note qu’entre 1992 et 2011 le commerce chinois subsaharien est passé d’un milliard à 140 milliards de dollars. Les flux migratoires entre le Sud-Sud ont dépassé aussi reconnaient les migrations entre Sud Nord. Il faut rappeler que ce document de rapport 2013 du PNUD sur le Développement Humain est traduit dans plus de 20 langues. C’est le récent rapport global de développement humain publié par le PNUD depuis 1990. Cette publication de rapport 2013 du PNUD devrait réveiller les différents dirigeants africains de la zone subsaharienne encore plus de sortir de l’amnésie pour booster les populations hors de la pauvreté structurelle reste élevée du secteur agricole informel la vit de pus de la moitié des africains permettant de contracter du crédit pour qu’il puisse acheter des engrais afin de promouvoir leur productivité garantir a sécurité de la terre des expériences aléatoires des évaluations des projets en Afrique, renforcer l’éducation par la mise en œuvre des politiques cohérentes face à l’économie à l’échelle rythmé de 5% d’accroitre.

Salimata N’Diaye Correspondante à Dakar

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1 commentaire

  1. LE MALI DOIT EN EFFET AMELIORER SON SYSTEME EDUCATIF CE QUI LUI A ETE FATAL DANS LE CLASSEMENT AINSI QUE LA MAITRISE DE L EAU ET DE L ENERGIE.

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