Le collectif de syndicats signataires du 15 octobre 2016 de l’éducation fondamentale et secondaire observe depuis le lundi une grève de 216 heures et pour cause, la non satisfaction des revendications déposées sur la table du gouvernement.
Les grévistes sont certes dans leur droit en observant cette grève, mais de là à paralyser tout le système éducatif sans donner une chance au dialogue, relève quelques part d’une mauvaise volonté. Pour un pays qui peine à se relever d’une crise sans précédent, certaines revendications sont de nature à porter du discrédit sur un gouvernement qui s’est pourtant efforcé à améliorer les conditions de vies des travailleurs de l’Etat, y compris les enseignants. Déjà en 2014, 20% d’augmentation ont été consentie sur le salaire des travailleurs. Le département de l’éducation s’est toujours battu pour satisfaire ces nombreuses doléances, mais c’est sans compter sur la détermination de certaines personnes animées d’une ferme volonté de ternir l’image du pays à travers des secteurs comme l’éducation et la santé.
Il ne fait aucun doute que ces grèves à répétition freinent l’élan du gouvernement dans sa mission de redresser les secteurs clés comme l’éducation qui s’est d’ailleurs nettement améliorée depuis l’arrivée aux affaires des nouvelles autorités. «Nul n’est prophète en son pays», a-t-on coutume de dire. Cet adage vieux de plusieurs siècles reste d’actualité et le ministre de l’éducation nationale n’échappe pas à la règle. Sinon, depuis son arrivée à la tête du sensible ministère de l’Education, le ministre Togo s’est donné comme objectif de redresser le système éducatif malien conformément à la vision du chef de l’Etat son Excellence M. Ibrahim Boubacar Keita. Mais redresser n’est pas une mission aisée et ne va pas non plus sans grincements de dents : c’est ce que quelques syndicats comprennent difficilement au vu de certains point de revendications. Amadingué Sagara
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