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Le premier projet de développement depuis la signature de l'accord de paix est consacré à la région de Kidal.
REUTERS[/caption]
Au Mali, le processus de paix dans le nord du pays est de nouveau affaibli. Les deux groupes armés du Nord, les rebelles et les groupes armés pro-Bamako, ont décidé de suspendre leur participation aux travaux du comité de suivi de l'accord d'Alger, l'accord de paix signé au début de l'été.
Les adversaires d’hier s’entendent subitement. Et de quelle manière : en suspendant leur participation des travaux des sous-commissions du comité de suivi de l’accord d’Alger. En clair, la machine est à nouveau bloquée ; le processus de paix tourne au ralenti. Ce qui a déclenché l’ire des rebelles et les groupes armés de la plateforme pourtant pro-gouvernement malien, c’est la place qui a été subitement faite à d’autres groupes armés dissidents. Ils sont réunis au sein d’une coordination appelée « Campus 15 ». Ils étaient au départ membres de la rébellion ou proches de Bamako, avant de sceller une alliance entre eux.
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