En un mot : Tir de barrage d’anciens ministres
Comme le général Moussa Sinko Coulibaly, l’ex-Premier ministre Moussa Mara et d’autres, l’ancien ministre de l’Economie et des Finances n’est plus tendre avec le chef de l’Etat. Dans une interview accordée à nos confrères du journal français "Le Point", il souligne d’entrée de jeu que "le bilan n'est honnêtement pas brillant". Igor dénonce surtout « l’existence aujourd'hui au Mali d’un réel sentiment de trouble et d'inquiétude quant à l'avenir "alors que mon pays est jeune, volontaire et créatif".
Un état des lieux très négatif qui traduit le divorce du président de la République d’avec l’ancien ministre des Finances, qui risque d’être un de ses principaux détracteurs à la prochaine présidentielle. Et il ne sera pas le seul, car d’autres anciens ministres ne tarissent pas dans le privé des critiques contre l’ancien patron et attendent une occasion pour monter au créneau. IBK est d’ailleurs averti et sait désormais que nombre de ses alliés regardent ailleurs. C’est d’ailleurs pourquoi il se rabat désormais sur le RPM au sein duquel les hostiles sont malheureusement aussi nombreux.
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TouréLes Maliens n'ont plus besoin de ces gens-là, tous autant qu'ils sont, ont montré leurs limites. Que ce soit Moussa Marra, ou tout autre politicard, tous ceux qui ont participé aux gouvernements IBK, et qui ne sont pas partis d'eux-mêmes, sont autant comptables de la dégradation du pays que IBK. Aucun de ceux qui ont démissionné, n'ont agit comme Tatam Ly, qui lui est un garçon pile. Les autres n'ont quitté qu'à l'aide d'un coup de pied au cul. Mais, IBK n'en a cure, il continue de croire à la popularité, que lui vendent ses obligés et ses larbins. Et l'homme lui même a un goût sans borne pour le pouvoir et l'argent, et les aussi les privilèges qui vont avec. IBK ne lâchera jamais le morceau, c'est la queue entre les jambes qu'il quittera le pouvoir sans lequel, il semble ne plus pouvoir vivre. Tous ses collaborateurs qu'il a jeté, se sont transformés en ennemis, qui entendent en découdre avec lui. Dans l'ignorance, il s'en bat les couilles.-
kabako12Soyons objectif, Moussa Mara n'est peut pas être comptable du bilan d'IBK. Il peut l'être pour les actes qu'il a réellement posé dans sa participation au gouvernement, c'est tout. La réalité est qu'on ne veut pas le système de gouvernance qui a mis notre Pays dans cette situation de crise sans fin. Situation commencée depuis le régime de Konaré en passant pas ATT jusqu'à IBK aujourd'hui. Aucun des hommes politiques des 20 dernières années les plus en vu n'a la capacité de réussir ce changement. On les a tous vu à l'épreuve d'une manière ou d'une autre. Ils ne sont pas suffisamment courageux pour s'attaquer au système car, ils ont la folie du pouvoir. Hors, pour changer le système, il faut prendre des décisions impopulaires, ce qui rime mal avec l'esprit de conquête du pouvoir dans notre système actuel. Aussi, les enjeux auxquels notre Pays fait face en ce moment, requiert, de la part du futur dirigeant, une parfaite connaissance des enjeux géostratégiques mondiales, en plus de la maîtrise des problématiques de sécurité et de développement sur le plan national.
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le hogon noirDe toutes façons, ces ministres ont été nommé pas élu. Ils n'ont rienà perdre au contraire. Nous savons tous que Igor est au dessus du besoin. C'est un pur patriotisme qui fait sa contribution dans le gouvernement.
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JetlyD'après le dicton '' qui sème le vent récolte la tempête'' nous qui avons voter pour Ibrahim Boubacar Keita croyant qu'il meneras sur le chemin de la pluie nous voici dans la tempête.
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KiraL'état de lieu fait par l'ex ministre est tres pertinente. On ne veut plus de IBK on est pas obliger de faire les éloges sur lui ni sur sa gouvernance que ne nous a rien apporté d'ailleur
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Mali_denLa situation est chaotique mais nous faisons confiance à l'avenir car les élections futurs nous permettrons d'oublier ce quinquina médiocre.
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Ada.SHumm voila l'état d'esprit des grands perdants; djaa si tu ne fais pas de compliments ca veut dire que tu cherches la guerre ? Faire l’éloge du gouvernement c'est forcé ? anw té bo fara IBK nofé Ada Sankara.
