Covid-2019 : Les chefs religieux et coutumiers soutiennent les mesures préventives

Il n’est, pour le moment, pas question de fermer les lieux de culte. Mais, hier à la Primature, les leaders religieux ont été invités au respect des consignes et à proposer le plus tôt possible des mesures concrètes pour protéger les fidèles dans les lieux de culte
À ce jour, aucun cas positif de coronavirus n’a été enregistré sur notre territoire. Nos voisins comptent cependant des personnes atteintes par ce virus qui se propage à une vitesse inquiétante sur le continent.
Notre pays a renforcé, en conséquence, son dispositif sanitaire et des mesures restrictives sont en vigueur depuis hier. Mais une chose est de prendre des mesures et une autre est de les faire accepter par les populations. Surtout quand les restrictions touchent des milieux aussi sensibles que celui de la religion. D’où l’intérêt de cette concertation entre le Premier ministre, les représentants des faîtières des organisations religieuses (musulmanes, catholiques et protestantes), ainsi que ceux des familles fondatrices de Bamako et des associations de la société civile.
Ces derniers ont été largement briefés sur les mesures prises par les autorités, mardi dernier à l’issue de la session extraordinaire du Conseil supérieur de la défense nationale sur la pandémie du coronavirus. Comme il fallait s’y attendre, les religieux se sont félicités de la décision du gouvernement, puisque toutes les confessions tiennent compte du bien-être physique, émotionnel et spirituel des individus et des sociétés.
Pour autant, faudrait-il fermer ou non les lieux de culte pour éviter les regroupements de personnes ?
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JACOBITEREVEILLEZ VOUS! LES CHIENS VEULENT VOUS DOMINER EN S INSTALLANT DANS VOS CRANES! 21 Mar 2020 at 13:18 LA FRANCOPHONIE ABRAHAMIQUE! C EST DU MYTHE POUR LEQUEL ON NOUS DOMINE ET NOUS FONT LA GUERRE TOUT COMME L ISLAM! 21 Mar 2020 at 13:02 LA FRANCOPHONIE C EST LA COLONISATION FRANCAISE! DANS AUCUN PAYS DIT FRANCOPHONE DANS LE MONDE, IL N YA PAS PLUS DE 5% DE LA POPULATION QUI UTILISE QUOTIDIENEMENT CETTE LANGUE INVENTEE DE TOUTES PIECE! MEME LA FRANCE N EST PAS ENTIEREMENT FRANCOPHONE! LA FRANCOPHONIE?..CA N EXISTE PAS! C EST DU VENT DU CUL! LE VIDE PASSE POUR REALITE! C EST ABRAHAMIQUE! DU MYTHE POUR LEQUEL ON NOUS DOMINE ET NOUS FONT LA GUERRE TOUT COMME L ISLAM!5 ansRépondreLike (0)
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partage entre prédateursS'ils veulent exterminer leurs fidèles qu ils laissent les lieux de cultes ouverts5 ansLike (0)
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partage entre prédateursQuant on détruit l identité d une nation c est très simple de l esclavagiser c est le cas du mali et l islam. Les maliens ont été acculturés pour piller ce pays par des vendeurs des esclavagistes arabes vendeurs de sel Bedoins et chameaux qui ont été à l origine de l introduction de cette croyante au Mali qui est l islam , que certains ignorants maliens se prenant pour le fils de dieu interprète à de fin personnel pour dépouiller les pauvres citoyens en se faisant un patrimoine familial. A combien estimez vous la fortune des gourou religieux musulmans du mali ? La guerre dicko- haidara c'est d'abord l'argent des fidèles, et des hommes politiques et le pour le pouvoir, chacun se croit succeur de IBK le gouverneur de la France Afrique. Entre temps les maliens creves de fin et de maladie. Avez vous le château de haidara pour ses enfants et petits enfants ? Il a dépouiller tout les pauvres de l afrique pour se faire un palais de maison blanche. Quand à dicko l agent double ce dernier se dernier se croit déjà investi comme chef d état des qataris et du Boucher humain Salman d arabie. Mais les deux se trompe car les maliens les observent avec beaucoup d attention. Comment certains maliens peuvent suivre ces gens ???5 ansLike (0)
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LE PEUPLE DOIT SE LIBERER!Accueil Insécurité Insécurité Human Rights Watch publie un rapport accablant : Tout sur les crimes d’Ogossagou II Par L'Aube - 19 Mar 202062 Facebook Twitter Pinterest Email Village d'Ogossagou, dans le Centre du Mali. @CICR. Dans un nouveau rapport, Human Rights Watch dénonce « les atrocités commises contre les civils à Ogossagou le 14 février 2020 ». L’organisation pointe du doigt une « milice ethnique » qui a massacré plus de 35 villageois après le retrait de l’armée. L’organisation demande aux autorités maliennes d’arrêter et de poursuivre les responsables de ces crimes odieux. Alors que les forces onusiennes, sous la bannière de la Minusma n’ont rien pu faire aussi pour protéger les civiles conformément à leur mandat. En effet, le vendredi 14 février 2020, ce village (situé dans la région de Mopti) a été le théâtre d’une attaque d’une rare violence. Bilan : Plus de 30 victimes et de nombreux blessés. Selon Human Rights Watch : « le massacre dans le village d’Ogossagou a eu lieu quelques heures après que les chefs de village ont alerté les responsables gouvernementaux que l’armée malienne avait quitté un poste créé à la suite du massacre de 150 personnes dans le même village, perpétré le 23 mars 2019, et une heure après qu’un convoi de forces de maintien de la paix des Nations Unies avait traversé le village. » : « Des hommes armés appartenant à l’ethnie dogon ont pourchassé des civils dans la brousse et les ont tués, décapitant et mutilant certains, ont déclaré des témoins à Human Rights Watch. La plupart des victimes étaient des hommes du village appartenant à l’ethnie peule. Une femme peule âgée et quatre enfants ont également été tués, et 19 villageois sont toujours portés disparus. Des témoins ont donné à Human Rights Watch les noms de 20 hommes dogons qu’ils ont reconnus comme faisant partie des assaillants, la plupart issus du quartier dogon d’Ogossagou, dont certains auraient participé aux tueries de mars 2019. « Des milices ethniques qui n’ont apparemment aucune crainte d’être tenues pour responsables de leurs actes ont à nouveau tué et mutilé des dizaines de civils », a déclaré Corinne Dufka, directrice pour le Sahel au sein de Human Rights Watch. « Le deuxième massacre à Ogossagou a été particulièrement horrible car l’armée malienne et les forces de maintien de la paix de l’ONU auraient pu l’empêcher. » Une responsabilité partagée par l’État Human Rights Watch a interrogé 18 personnes au Mali en février et mars, dont 10 témoins de l’attaque, des chefs de la communauté peule, des responsables des institutions maliennes chargées de la justice et de la sécurité, ainsi que des diplomates étrangers. En réponse à des lettres de Human Rights Watch, le gouvernement par le biais de courriers transmis par le ministère de la Défense et des Anciens Combattants et par le ministère de la Justice et des Droits de l’homme a indiqué que des « dysfonctionnements tactiques » avaient conduit au massacre. Le gouvernement a ajouté que des « sanctions disciplinaires » ont été immédiatement prises, dans l’attente de l’issue d’une enquête qui était en cours. La mission de l’ONU a séparément déclaré qu’une enquête sur l’incident d’Ogossagou était en cours. Le 13 février, les militaires de l’armée malienne se sont retirés de leur poste à Ogossagou sans fournir d’explication aux villageois peuls. En quelques heures, ces derniers ont observé une accumulation d’hommes armés dans le quartier dogon. Des villageois d’Ogossagou et des chefs de la communauté peule à Bamako, la capitale du Mali, ont déclaré avoir urgemment appelé à maintes reprises des autorités maliennes de haut niveau, dont plusieurs ministres, ainsi que la mission de maintien de la paix de l’ONU, la MINUSMA, afin de les avertir du risque d’une attaque imminente. Un convoi de forces de maintien de la paix de l’ONU a traversé le village une heure avant l’attaque, cherchant apparemment le village d’Ogossagou, mais il est parti après que des hommes dogons les aient vraisemblablement mal dirigés, selon des témoins. Peu après 5 heures du matin le 14 février, l’attaque a commencé. « Ils ont fouillé la brousse, cherchant des gens à tuer », a expliqué un témoin. « Ils ont trouvé mon ami à quelques mètres de l’endroit où je me cachais… Ils l’ont traîné dehors, lui ont tiré dessus puis ils ont mutilé son corps. » Un autre témoin a affirmé : « Je les ai vus sortir Bocarie, 47 ans, d’une maison. ‘S’il vous plaît, au nom de Dieu, ne me tuez pas ! », a-t-il supplié, mais ils l’ont tailladé avec une machette et l’ont égorgé. » Le massacre n’a cessé que trois heures plus tard, après que les troupes maliennes et les forces de maintien de la paix de l’ONU sont arrivées sur les lieux. Un agresseur a été appréhendé mais les autres se sont enfuis. Les habitants d’Ogossagou ont exprimé leur indignation face au manque de protection et au manque de justice pour le massacre précédent. « Si ceux qui ont tué en 2019 avaie5 ansRépondreLike (0)
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J ESPERE QU UN JOUR ON JUGERA LES RELIGIONS COMME ON JUGE LES HOMMES ET GOUVERNEMENTS, POUR GENOCIDES, CRIMES CONTRE L HUMANITEE!J ESPERE QU UN JOUR ON JUGERA LES RELIGIONS COMME ON JUGE LES HOMMES ET GOUVERNEMENTS, POUR GENOCIDES, CRIMES CONTRE L HUMANITEE!5 ansRépondreLike (0)
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BougiOh mec on s'en fou de DAROURA, j'ai tjrs penser que le problème du Mali n'est ni pauvreté ni politique, elle est islamique ouvrez les yeux pauvres maliens, ses dernières années depuis l'invention idéologique de cette culture, et civilisation arabo musulmane ce pays n'a cessé de dégringolé.5 ansRépondreLike (0)
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Moussa Dce n'est pas la religion c'est l'argent du pétrole.5 ansLike (0)
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A VOUS DE REFLECHIR! RELIGION VEUT DIRE LIEN! LA BONNE OU LA MAUVAISE! ON VOUS TUE VOUS ACCULTURE, C EST LA MAUVAISE!L ISLAM A DETRUIT TOUTES LES FORMATIONS ETATIQUES ET SOCIETEES SUR CETTE TERRE APPELLEE MALI DEPUIS LA NUIT DES TEMPS! L ISLAM ET LE CHRISTIANISME SONT DES SECTES DU JUDAISME, ET ONT COMME ARME L IDEOLOGIE DEBILISANTE GENOCIDAIRE AUX NATIONS DU MONDE! DETEUIRE ET S ACCAPARER LES TERRES!5 ansLike (0)
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MadouToutes les mesures doivent être prises y compris les lieux de cultes , pour être suffisamment alerte , le gvt aurait dû prendre la responsabilité de surseoir les élections législatives pour plus de cohérence , avec le respect des cultes , les leaders religieux doivent être des partenaires du gvt sans aucune forme de calcul d'antagonisme de croyances et de pratiques religieuses5 ansRépondreLike (0)
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BarouAvec quelques billets.... de CFA. Ces soit disant religieux savent ils de quoi il s agit???? Pauvre Mali.5 ansRépondreLike (0)