Le président Donald J. Trump à la 80e Assemblée générale des Nations unies

Six années se sont écoulées depuis que je me suis tenu pour la dernière fois dans cette grande salle afin de m’adresser à un monde prospère et en paix, lors de mon premier mandat. Depuis ce jour, les armes de la guerre ont brisé la paix que j’avais forgée sur deux continents. Une ère de calme et de stabilité a cédé la place à l’une des plus grandes crises de notre temps.

24 Sep 2025 - 14:50
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Le président Donald J. Trump à la 80e Assemblée générale des Nations unies

À notre frontière sud, nous sommes parvenus à repousser une invasion de grande ampleur. Et au cours des quatre derniers mois, soit depuis quatre mois consécutifs, le nombre d’étrangers illégaux admis et entrés dans notre pays est nul. Cela peut sembler difficile à croire. En effet, si l’on se réfère à la situation il y a seulement un an, des millions de personnes affluaient de partout dans le monde, de prisons, d’établissements psychiatriques ou, encore, du milieu des trafiquants de drogue.

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Sur la scène internationale, les États-Unis sont à nouveau respectés, comme jamais auparavant. Prenez la situation d’il y a deux, trois ou quatre ans, ou même d’il y a un an, nous étions la risée du monde entier.

Lors du sommet de l’OTAN en juin, à ma demande, la quasi-totalité des membres de l’OTAN se sont officiellement engagés à augmenter leurs dépenses de défense de 2 % à 5 % de leur PIB, ce qui rend notre alliance plus forte et plus puissante que jamais.

En mai, je suis allé au Moyen-Orient pour rendre visite à mes amis et reconstruire nos partenariats dans le Golfe, et ces relations d’une grande importance avec l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats arabes unis et d’autres pays sont désormais plus étroites que jamais.

Mon administration a négocié plusieurs accords commerciaux historiques, notamment avec le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Japon, la Corée du Sud, le Vietnam, l’Indonésie, les Philippines, la Malaisie et bien d’autres pays. De la même manière, en seulement sept mois, j’ai mis fin à sept guerres impossibles à arrêter. On disait qu’il était impossible de les arrêter, que je n’arriverais jamais à les régler. Certaines duraient depuis 31 ans. Deux d’entre elles. 31 ans. Imaginez. 31 ans. L’une d’elles durait depuis 36 ans. Une autre, depuis 28 ans. J’ai mis fin à sept guerres, et toutes faisaient rage et causaient la mort de milliers de personnes.

Cela comprend le Cambodge et la Thaïlande, le Kosovo et la Serbie, le Congo et le Rwanda, une guerre violente et cruelle, le Pakistan et l’Inde, Israël et l’Iran, l’Égypte et l’Éthiopie, et l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Cela comprend toutes ces guerres. Aucun président ni premier ministre ni, d’ailleurs, aucun autre pays, n’a jamais accompli quoi que ce soit de semblable. Et je l’ai fait en seulement sept mois. Cela ne s’était jamais produit auparavant. On n’avait jamais rien vu de tel. c’est un grand honneur pour moi de l’avoir fait. Il est regrettable que j’aie dû agir à la place des Nations unies. Malheureusement, dans tous ces cas, les Nations unies n’ont même pas essayé d’apporter leur aide.

J’ai mis fin à sept guerres, j’ai négocié avec les dirigeants de chacun de ces pays, et je n’ai jamais reçu le moindre appel des Nations unies pour me proposer leur aide afin de finaliser l’accord.

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Je n’y ai pas pensé sur le coup, parce que j’étais trop occupé à m’efforcer de sauver des millions de vies. Il fallait mettre fin à ces guerres et sauver des vies. Mais j’ai réalisé par la suite que les Nations unies n’étaient pas là pour nous aider. Elles n’étaient pas présentes. J’y ai seulement réfléchi après coup, et non pendant ces négociations, qui n’étaient pas simples. Dans ce contexte, quel est le rôle des Nations unies ?

L’ONU a un potentiel énorme. Je l’ai toujours dit. Elle a un potentiel énorme, vraiment énorme. Mais elle est loin d’être à la hauteur de ce potentiel. Dans l’ensemble, du moins pour l’instant, tout ce qu’elle semble faire, c’est rédiger des lettres très fermes, et puis ne jamais donner suite à ces lettres. Ce sont des paroles vides, et les paroles vides ne résolvent pas les conflits. La seule chose qui résout les conflits, c’est l’action.

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Je suis venu ici aujourd’hui pour offrir le leadership et l’amitié des États-Unis à tous les pays de cette assemblée qui souhaitent se joindre à nous pour forger un monde plus sûr et plus prospère. C’est un monde dans lequel nous serons beaucoup plus heureux. Un avenir nettement meilleur est à notre portée. Mais pour y parvenir, nous devons rejeter les stratégies infructueuses du passé et travailler ensemble pour faire face à certaines des plus grandes menaces de l’histoire. Il n’existe pas aujourd’hui de plus grave danger pour notre planète que les armes les plus puissantes et les plus destructrices jamais conçues par l’homme, dont les États-Unis, comme vous le savez, sont en possession en grand nombre. Tout comme lors de mon premier mandat, j’ai fait une priorité absolue de la maîtrise de ces menaces, à commencer par celle de l’Iran. Ma position est très simple : le premier commanditaire du terrorisme dans le monde ne peut en aucun cas être autorisé à posséder l’arme la plus dangereuse. C’est pourquoi, peu après mon entrée en fonction, j’ai envoyé à celui qu’on appelle « le guide suprême » une lettre contenant une offre généreuse. J’ai proposé une coopération totale en échange de la suspension du programme nucléaire iranien. La réponse du régime a été de poursuivre ses menaces constantes à l’encontre de ses voisins et des intérêts américains dans toute la région, ainsi que de certains grands pays situés à proximité.

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Comme chacun le sait, je me suis également fortement engagé dans la recherche d’un cessez-le-feu à Gaza. Il est impératif d’y parvenir. Il faut que ce soit fait. Malheureusement, le Hamas a rejeté à plusieurs reprises des propositions de paix raisonnables. Nous ne devons pas oublier le 7-Octobre, n’est-ce pas ? Aujourd’hui, comme s’ils souhaitaient encourager la poursuite du conflit, certains membres de cette assemblée cherchent à reconnaître unilatéralement un État palestinien. Ce serait une récompense bien trop importante accordée aux terroristes du Hamas pour les atrocités qu’ils ont commises. Ce serait une récompense pour ces horribles atrocités, y compris celles du 7-Octobre, alors même qu’ils ont refusé de libérer les otages ou d’accepter le cessez-le-feu. Au lieu de céder au Hamas et de donner autant – parce qu’il a pris beaucoup, il a pris énormément, cela aurait pu être résolu depuis longtemps. Mais au lieu de céder aux demandes de rançon du Hamas, ceux qui souhaitent la paix devraient s’unir autour d’un seul message : libérez les otages immédiatement. Libérez tout simplement les otages immédiatement.

Merci. Nous devons nous unir, et nous nous unirons, et nous devons parvenir à une paix. Nous devons mettre fin immédiatement à la guerre à Gaza. Il faut l’arrêter. Il faut le faire. Il faut négocier. Il faut négocier la paix immédiatement. Il faut récupérer les otages. Nous voulons le retour des 20 otages.

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Je m’emploie également sans relâche à faire cesser les tueries en Ukraine. Je pensais que ce serait la guerre la plus facile à arrêter parmi les sept que j’ai réglées, du fait de ma relation avec le président Poutine, qui a toujours été bonne. Je pensais que ce serait la plus simple. Mais avec la guerre, on ne sait jamais ce qui va se passer. Il y a toujours beaucoup de surprises, bonnes ou mauvaises. Tout le monde pensait que la Russie remporterait cette guerre en trois jours. Mais cela ne s’est pas passé ainsi. Cela devait être une petite escarmouche rapide. Cela ne donne pas une bonne image de la Russie. Cela lui donne une mauvaise image, quoi qu’il arrive à partir de maintenant. C’est un évènement qui aurait dû durer quelques jours, certainement moins d’une semaine. Mais ils se battent depuis trois ans et demi, et causent la mort de 5 000 à 7 000 jeunes soldats, principalement des soldats, des deux côtés. Chaque semaine, entre 5 000 et 7000 jeunes meurent, et certains dans des villes – en nombre beaucoup plus restreint – où des roquettes sont tirées, où des drones sont largués. Cette guerre n’aurait jamais commencé si j’avais été président. C’était une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Cela illustre ce qu’est le leadership, ce qu’un mauvais leadership peut faire à un pays. Prenez ce qui est arrivé aux États-Unis et voyez où nous en sommes aujourd’hui, en si peu de temps. La seule question qui se pose maintenant est de savoir combien de vies supplémentaires seront inutilement perdues dans les deux camps.

La Chine et l’Inde constituent les principaux bailleurs de fonds de la guerre en cours parce qu’elles continuent d’acheter du pétrole russe. Mais, et c’est inexcusable, même les pays de l’OTAN n’ont pas réduit leurs achats d’énergie et de produits énergétiques russes. Comme vous le savez, je l’ai découvert il y a environ deux semaines et cela ne m’a pas réjoui. Réfléchissez-y. Ils financent la guerre contre eux-mêmes. Qui diable a déjà entendu une chose pareille ? Dans l’éventualité où la Russie ne serait pas prête à conclure un accord pour mettre fin à la guerre, les États-Unis sont tout à fait disposés à imposer une robuste série de droits de douanes très puissants, ce qui, à mon avis, mettrait très vite fin aux effusions de sang. Mais pour que ces tarifs soient efficaces, il faudrait que les pays européens – vous tous qui êtes réunis ici aujourd’hui – se joignent à nous en adoptant exactement les mêmes mesures. Vous êtes beaucoup plus proches – il y a un océan entre nous. Vous êtes tout près. Et c’est à l’Europe de s’en charger. Les Européens ne peuvent pas continuer à agir comme ils le font actuellement. Ils achètent du pétrole et du gaz à la Russie alors qu’ils luttent contre elle. C’est embarrassant pour eux, et cela a été très embarrassant pour eux quand je l’ai découvert, je peux vous le dire. Ils doivent mettre fin immédiatement à tout achat d’énergie à la Russie. Sinon, c’est une perte de temps pour nous tous. Je suis prêt à en discuter. Nous allons en discuter aujourd’hui avec les pays européens, tous réunis ici. Je suis sûr qu’ils sont ravis de m’entendre en parler, mais c’est ainsi. Je tiens à exprimer mon opinion et à dire la vérité.

Alors que nous cherchons à réduire la menace des armes dangereuses aujourd’hui, j’invite également tous les pays à se joindre à nous pour mettre fin une fois pour toutes au développement des armes biologiques. Les armes biologiques sont terribles, et les armes nucléaires le sont encore plus. Et nous incluons dans cette catégorie les armes nucléaires. Nous souhaitons mettre fin au développement des armes nucléaires.

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Non seulement l’ONU ne résout pas les problèmes qu’elle devrait résoudre, mais trop souvent, elle crée en fait des problèmes supplémentaires que nous devons résoudre. Le meilleur exemple est la question politique numéro un de notre époque : la crise de l’immigration effrénée. Elle est effrénée. Les Nations unies financent une attaque contre les pays occidentaux et leurs frontières. En 2024, l’ONU a budgétisé une aide financière de 372 millions de dollars pour soutenir environ 624 000 migrants en route vers les États-Unis. Réfléchissez-y. L’ONU soutient des personnes qui entrent illégalement aux États-Unis et ensuite, c’est à nous de les expulser. L’ONU a également fourni de la nourriture, des abris, des moyens de transport et des cartes bancaires à des étrangers illégaux. Incroyable, non ? D’ailleurs, pour qu’ils s’infiltrent par notre frontière sud. Il y a tout juste un an, des millions de personnes franchissaient cette frontière sud. Des millions de personnes affluaient. Au total, 25 millions de personnes au cours des quatre années de l’incompétente administration Biden. Et aujourd’hui, nous y avons mis fin. Complètement. En fait, les gens ne viennent même plus parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas traverser. Mais ce qui s’est passé est totalement inacceptable. L’ONU est censée empêcher les invasions, pas les créer, ni les financer.

Aux États-Unis, nous rejetons l’idée que des quantités massives de personnes issues de pays étrangers puissent être autorisées à venir de l’autre bout du monde, bafouer nos frontières, enfreindre notre souveraineté, provoquer une criminalité sans borne et épuiser complètement nos aides sociales. Nous avons réaffirmé que l’Amérique appartient aux Américains, et j’encourage tous les pays à prendre également position afin de défendre leurs citoyens. Vous devez le faire parce que je le vois bien, je ne citerai pas de noms. Mais je le constate, et je peux tous les pointer du doigt. Vous êtes en train de détruire vos pays. Ils sont en pleine destruction. L’Europe est en grande difficulté. Elle est envahie par une force d’immigrants clandestins, c’est du jamais vu. Les immigrants clandestins affluent en Europe. Et personne ne fait rien pour que cela change, pour les faire partir. Ce n’est pas viable. Et parce qu’ils choisissent d’être politiquement corrects, ils ne font absolument rien pour régler la situation.

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Et même si nous ferons toujours preuve de générosité à l’égard des lieux et des personnes en difficulté, ainsi que de véritable compassion, des solutions viendront. Nous devons résoudre le problème, et nous devons le résoudre dans leurs pays, sans créer de nouveaux problèmes dans les nôtres. Nous aidons beaucoup de pays qui ne sont tout simplement plus en mesure d’envoyer leurs ressortissants. Auparavant, ils nous envoyaient des caravanes de 25 000, 30 000 personnes, des caravanes massives de personnes qui affluaient dans notre pays, sans aucun contrôle ni vérification. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui.

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Pour protéger nos citoyens, j’ai également désigné plusieurs cartels de drogue violents – vous pouvez le voir, cela se produit sous vos yeux. Il faut le dire : les gens n’aiment plus transporter de grandes quantités de drogue par bateau. Il n’y a plus beaucoup de bateaux qui naviguent au large du Venezuela. Ils ont tendance à ne plus vouloir voyager très vite. Et nous avons pratiquement mis fin à l’entrée des drogues dans notre pays par voie aérienne. Nous les appelons les drogues de l’eau. Elles tuent des centaines de milliers de personnes. J’ai aussi désigné plusieurs cartels de drogue violents comme organisations terroristes étrangères, ainsi que deux gangs transnationaux sanguinaires, probablement les pires gangs du monde, MS-13 et Tren de Aragua. Tren de Aragua vient du Venezuela, soit dit en passant. Ces organisations torturent, mutilent et tuent des gens en toute impunité. Elles sont les ennemies de toute l’humanité.

C’est pourquoi nous avons commencé récemment à employer la puissance suprême de l’armée américaine pour détruire les terroristes vénézuéliens et les réseaux de trafiquants dirigés par Nicolas Maduro. À tous les terroristes qui font passer des drogues toxiques aux États-Unis d’Amérique, sachez que nous vous anéantirons. C’est ce que nous faisons. Nous n’avons pas le choix. Nous ne pouvons pas laisser cela se produire. Elles détruisent – je crois que nous avons perdu 300 000 personnes l’an dernier à cause de la drogue. 300 000. À cause du fentanyl et d’autres drogues. Chaque bateau que nous coulons transporte des drogues susceptibles de tuer plus de 25 000 Américains. Nous ne laisserons pas cela se produire.

L’énergie est un autre secteur dans lequel les États-Unis prospèrent comme jamais auparavant. Nous nous débarrassons des énergies appelées à tort « renouvelables ». Soit dit en passant, elles ne valent rien. Elles ne fonctionnent pas. Elles sont trop chères. Elles ne sont pas assez puissantes pour alimenter les usines qu’il faut pour construire un grand pays. Il n’y a pas assez de vent. Ces grandes éoliennes sont absolument pathétiques et inefficaces. Elles sont très chères à exploiter. Et elles doivent tout le temps être reconstruites. Elles se mettent à rouiller et à pourrir. C’est l’énergie la plus chère jamais conçue – normalement, on est censé gagner de l’argent avec l’énergie, pas en perdre. On perd de l’argent. Il faut être subventionné par le gouvernement. On ne peut pas les faire fonctionner sans subventions massives. Et la plupart d’entre elles sont construites en Chine. Je reconnais que la Chine a beaucoup de mérite. Elle les construit, mais elle possède très peu de parcs éoliens. Alors pourquoi est-ce qu’elle les construit et les expédie partout dans le monde, alors qu’elle les utilise à peine ? Vous savez ce qu’ils utilisent en Chine ? Ils utilisent du charbon. Ils utilisent du gaz. Ils utilisent presque tout, mais ils n’aiment pas l’éolien. Par contre, ils aiment sacrément bien vendre des éoliennes.

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Le défi posé par le commerce est semblable à celui posé par le climat. Dans les pays qui ont respecté les règles, toutes les usines ont été pillées. C’est vraiment triste à voir. Elles ont été brisées. Elles ont été brisées par des pays qui ont brisé les règles. C’est pourquoi les États-Unis imposent désormais des droits de douane à d’autres pays, et tout comme ces droits de douane nous ont été imposés pendant de nombreuses années, sans retenue, nous avons utilisé les droits de douane comme mécanisme de défense sous l’administration Trump, y compris pendant mon premier mandat, lors duquel des centaines de milliards de dollars en droits de douane ont été perçus. Et d’ailleurs, notre inflation était la plus basse, et aujourd’hui notre inflation est très faible. La seule différence est que des centaines de milliards de dollars affluent dans notre pays. Mais c’est ainsi que nous ferons en sorte que le système fonctionne pour tout le monde et qu’il soit viable à l’avenir. Nous utilisons également les droits de douane pour défendre notre souveraineté et notre sécurité dans le monde entier, y compris contre les pays qui ont profité des administrations américaines précédentes pendant des dizaines d’années, notamment de l’administration la plus corrompue et la plus incompétente de l’histoire, celle de « Sleepy Joe » Biden.

Le Brésil est désormais soumis à des droits de douane majeurs en réaction à ses mesures sans précédent visant à s’ingérer dans les droits et les libertés de nos citoyens américains et d’autres personnes, par la censure, la répression, l’instrumentalisation de la corruption judiciaire et le ciblage de critiques politiques aux États-Unis.

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Pour conclure, j’aimerais seulement répéter que l’immigration et le coût élevé des énergies soi-disant renouvelables et vertes sont en train de détruire une grande partie du monde libre et de notre planète. Les pays qui chérissent la liberté sont en train de décliner rapidement en raison de leur politique à l’égard de ces deux sujets. Il faut des frontières robustes et des sources d’énergie traditionnelles pour retrouver la grandeur. Que vous veniez du nord ou du sud, de l’est ou de l’ouest, de près ou de loin, chaque dirigeant présent aujourd’hui dans cette magnifique salle représente une culture riche, une histoire noble et un patrimoine fier qui rendent chaque nation majestueuse et unique, incomparable à tout ce que l’histoire humaine ou le reste du monde peut offrir.


Voir le contenu d’origine : https://www.youtube.com/watch?v=lw9foqNRpyE&t=45s

Source: https://www.state.gov/

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