Projet de Renforcement de la Sécurité Alimentaire dans la Région de Koulikoro : Le Ministre Amadou Koïta lance le programme de formations en machinisme agricole

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Amadou Koïta
Amadou Koita

Le Ministre de la jeunesse, de l’emploi et de la construction citoyenne, M. Amadou Koïta, a présidé ce samedi 27 octobre à Baguineda (38,4 km à l’est de Bamako) la cérémonie marquant le lancement de la session de formation des jeunes en machinisme agricole dans le cadre du PRESAN KL.

Ont notamment pris part à la cérémonie, le Gouverneur de la Région de Koulikoro, le Col major Mamary Camara, le Préfet de Kati M. Sadio Keita, le Sous-préfet et le maire de Baguineda,  les Directeurs de l’APEJ Aly Kébé, de l’Office du Périmètre Irrigué de Baguineda et de l’ONG AJA, la Coordinatrice Nationale par intérim du  PRESA-DCI/PRESAN KL, plusieurs cadres du Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction Citoyenne, le Président du Conseil local des jeunes et plusieurs représentants des bénéficiaires et des populations.

Au nom du conseil municipal, le premier adjoint au maire de la ville a remercié le Président de la République et le Gouvernement pour les nombreux évènements organisés récemment à Baguineda dans le domaine de la santé, de l’éducation et de l’agriculture. Il s’est réjoui du niveau d’avancement du PRESAN KL à travers l’OPIB et l’APEJ au profit des jeunes de sa localité et au service de l’augmentation de la production agricole.

Les jeunes de Baguineda, à travers leur porte-voix, Modibo Coulibaly, ont félicité le ministre Koïta pour les acquis engrangés dans le domaine de la jeunesse et de leur insertion avant d’égrener quelques doléances  comme la réhabilitation de la maison des jeunes, l’aménagement d’un terrain de sport, etc.

 

Le Directeur Général de l’OPIB, M. Ndiougou Diallo, insistera quant à lui sur le bon fonctionnement du partenariat entre sa structure et ses partenaires dont l’Agence pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes et le PRESAN KL. Un partenariat salué par le porte-parole des bénéficiaires, M. Coulibaly, qui a invité les jeunes du Mali à refuser toute autre aventure que celle d’explorer les opportunités locales et nationales.

 

Pour sa part, le Directeur Général de l’ONG Jeunesse Action Mali (AJA),  Amadou Baba Diarra, a décrit le déroulement de la formation qui s’étalera sur plusieurs semaines. Il sera question de  réaliser plusieurs modules répartis entre l’initiation au machinisme agricole, l’utilisation et le  perfectionnement, l’exploitation, etc. Les jeunes pourront ainsi  appréhender les différentes fonctionnalités d’un engin agricole afin d’optimiser leur choix et leur utilisation, acquérir les bases de raisonnement pour élaborer et réaliser des chantiers de travaux agricoles, être en mesure d’optimiser la mise en œuvre des matériels agricoles quel que soit leurs classifications et leurs fonctionnalités, acquérir les bases de calcul pour évaluer les coûts prévisionnels d’utilisation à des fins d’analyses et d’optimisation.

 

Mme Diallo Saran Diané, représentante du PRESAN KL dira que le projet est exécuté sur six sites répartis dans trois cercles de la région de Koulikoro et à travers six communes. Les six communes concernées sont : Kaniogo, Karan, Maramandougou, Mandé, Nyamina et Baguinéda camp. Les sites concernés par les activités du PRESAN-KL sont Balanzan, Faragué, Figuiratomo,   Séguela, Koursalé et Baguinéda. Ces différents sites sont situés aussi dans les zones d’encadrement de l’Office de la Haute Vallée du Niger (OHVN) et de l’Office du Périmètre Irrigué de Baguinéda (OPIB).

 

Le Ministre Amadou Koïta a rappelé que le PRESAN-KL, d’une durée de 5 ans, bénéficie d’un financement d’environs 27,7 milliards FCFA dont une contribution importante du Gouvernement et des Populations.  Il contribue à l’allègement de la pauvreté et au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la Région de Koulikoro à travers l’accroissement sur une base durable de la production des filières rizicoles et horticoles, ainsi que les revenus des populations cibles par la maîtrise de l’eau et la valorisation des produits.

 

La convention entre le Projet et l’APEJ porte sur une enveloppe de 117,5 millions financés par la BAD sur le Fonds Spécial Nigérian et axée sur la mise en œuvre des activités d’appui à l’insertion des jeunes à travers des  GIE de machinisme agricole dans les zones  de l’Office du Périmètre Irrigué de Baguinéda (OPIB)  en 2018 et de  l’Office de développement de la Vallée du Niger (OHVN) en 2019.

 

Selon le Ministre Koïta, l’objectif du de ce volet  est d’identifier et sélectionner les jeunes pour la création des GIE, créer des GIE de machinisme agricole et former les  jeunes dans l’utilisation du matériel acquis pour la bonne marche de leur GIE. Dans ce cadre, 230 jeunes ont été sélectionnés pour la formation au terme de laquelle 68 jeunes ont été retenus pour l’utilisation du matériel de machinisme agricole et la constitution de quatre GIE qui seront dotés en kits adaptés. Il s’agit d’équipements de motoculteurs, de repiqueuses manuelles, de mini moissonneuses, de batteuses simples et manuelles et de décortiqueuses de riz.

 

En 2019, quelques 410 jeunes seront en outre sélectionnés et formés en machinisme agricole pour la constitution de cinq GIE au profit de 82 jeunes a également annoncé le Ministre.

 

C’est dans l’optique du développement du secteur rural et dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs assignés par le Président de la République au Gouvernement que le Département de l’emploi travaille à dynamiser l’insertion des femmes et des jeunes dans les secteurs productifs tout en renforçant le tissu du secteur privé par l’entreprenariat surtout dans le secteur rural.

 

En effet, le Mali est un pays à vocation agro-sylvo pastorale par essence. Ses immenses potentialités agricoles n’attendent que d’être exploitées à hauteur de souhait pour garantir la sécurité alimentaire et générer de la plus-value commerciale.

 

Avec 12 millions d’hectares cultivables, sur lesquels 3,5 millions sont actuellement mis en valeur, un potentiel irrigable de 2,2 millions d’hectares, les barrages et équipements de retenues d’eau, ces potentiels agricole, piscicole et arboricole et cet immense cheptel, il n’y a pas de place pour le chômage pour les plus audacieux. L’Etat pour sa part, dira le Ministre,  apportera tout son concours pour les assister à travers les différents offices de développement agricole, les agences, projets et programmes dédiés à l’aménagement, l’irrigation, l’emploi et la formation professionnelle.

 

Avant de prendre congé de Baguineda, le Ministre a particulièrement salué le mouvement pionnier de Baguineda et a partagé son attachement à la mise en œuvre de la Politique nationale de la citoyenneté et du civisme.

CICOM APEJ    ll   27 10 2018 

SourceLe renard

 

Inclusion socioprofessionnelle des personnes handicapées

L’APEJ forme 50 jeunes diplômés en TREA

Le Directeur Général de l’Agence pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes, M.  Aly KEBE,  a présidé ce jeudi 25 octobre à la Maison de la Solidarité (Bamako, Bakaribougou), l’ouverture d’une session de formation destinée à 50 jeunes diplômés en Technique de recherche d’emploi avancée (TREA).

Ont pris part à la cérémonie qui a démarré par l’hymne national, le maire de la commune III, parrain de la semaine thématique du mois de la solidarité, le maire délégué de Bakaribougou et plusieurs cadres de l’APEJ.

A tour de rôle, le maire délégué, le parrain, la Directrice du centre de formation retenu, le Président de la Fédération malienne  des personnes handicapées, M. Moctar BA ont remercié la Direction Générale de l’APEJ pour ce projet de renforcement des capacités des jeunes diplômés handicapés.

Le Directeur Général a rappelé que l’Agence pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes a pour missions, sous la tutelle du Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction Citoyenne, de concourir à la création d’emplois pour les jeunes en milieux urbain et rural, notamment en facilitant leur accès au marché du travail et au crédit. A ce titre, l’APEJ mène plusieurs activités dans le cadre du renforcement de l’employabilité des jeunes.

Il s’agit notamment du stage de qualification, de l’apprentissage, des formations qualifiantes, de la reconversion/adaptation à un poste de travail, des activités Haute intensité de main d’œuvre. L’objectif global des présentes sessions de formation est de consolider l’employabilité et de développer la créativité des jeunes en situation difficile  afin de faciliter leur insertion socio professionnelle.

A travers ces sessions, 50 jeunes de couches vulnérables seront formés à réussir un entretien d’embauche, rédiger une lettre de motivation et une demande d’emploi ou d’embauche et élaborer un curriculum vitae.

En effet, une recherche d’emploi efficace doit être préparée surtout pour les compétences affectées injustement par les stigmates du handicap. Ne dit-on pas que chercher un emploi est également une compétence. Autant il est important d’être qualifié, autant est-il important   de savoir réagir à des candidatures spontanées, trouver de bons arguments face à une offre de poste, négocier avec un futur employeur, développer son réseau, choisir ses annonces, contacter une entreprise et s’informer sur les métiers et les entreprises.

A ce titre, en plus des bureaux habituels de l’APEJ et des différents canaux de communication, nous avons mis en place en partenariat avec Swisscontact des Espaces Orientation Jeunesse afin de donner le maximum d’information aux usagers tout en intervenant dans l’orientation professionnelle pour améliorer l’insertion des jeunes.

Depuis leur création à Bamako, Ségou, Mopti et Sikasso les  Espaces Orientation Jeunesse (EOJ) ont accompagné de nombreux jeunes diplômés et non diplômés  dans la construction de leur projet professionnel en mettant notamment à leur disposition un plateau complet de services d’information sur les métiers, les débouchés, les opportunités de stage, les missions des structures publiques et privées, bref les renseignements dont ils ont besoin et auxquels ils ont droit.

L’atelier sera basé sur une approche interactive. La méthodologie sera axée sur l’interaction et la participation active avec des jeux de rôles, des exercices, des situations réelles, des discussions et le partage des expériences personnelles.

Le Directeur de l’APEJ a invité  les formateurs et les apprenants à l’assiduité et à la quête réciproque de la qualité tout au long de la session.

CICOM APEJ ll   25 10 2018

SourceLe renard

Lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent :

Les acteurs se concertent au ministère du Culte

Le ministre des Affaires religieuses et du Culte, M. Thierno Amadou Omar Hass DIALLO, a présidé une rencontre de haut niveau sur la mise en œuvre de la Politique nationale de Prévention et de Lutte contre l’Extrémisme violent et le Terrorisme, ce jeudi 11 octobre 2018, dans la salle de conférence se son département, sise à la Cité administrative.

Ont pris part à cette rencontre, outre le ministre des Affaires religieuses et du Culte, 13 ministères impliqués étroitement dans l’opérationnalisation de ladite politique, sans oublier les Partenaires techniques et financiers, entre autres : le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-Unies pour le Mali (MINUSMA/RSS), l’Office des Nations-Unies contre la Drogue et le Crime (UNODC), la Délégation de l’Union européenne au Mali, l’Union africaine au Mali, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) au Mali, le Point focal G5-Sahel au Mali, l’EUCAP Sahel Mali, le Bureau des Nations-Unies contre le Terrorisme (BCT/UN), etc.

Pour ces principaux acteurs, nationaux et étrangers, il s’agit « d’échanger et de partager les dernières informations sur la mise en œuvre de la Politique nationale de Prévention et de Lutte contre l’Extrémisme violent et le Terrorisme », a souligné le ministre DIALLO, à l’entame de son propos introductif.

Les principaux textes législatifs et règlementaires pour l’opérationnalisation de ladite politique, notamment le Comité de Coordination et le Secrétariat permanent, « ont été élaborés et achevés sous l’égide du ministre des Affaires religieuses et du Culte, mais avec le concours et la diligence de la Primature », s’est félicité le ministre DIALLO.

A ce propos, il a souligné l’encrage institutionnel de son département pour la mise en œuvre de cette politique, avant de déplorer néanmoins « la rétention ou la faible remontée de l’information provenant des partenaires » à son département, caractéristique d’un « déficit de collaboration pour l’opérationnalisation effective de la politique en question ».

Le ministre DIALLO a enfin invité les Partenaires techniques et financiers à soutenir et à accompagner le Mali dans la mise en œuvre de cette politique à travers surtout les actions de  développement à la base, « le tout sécuritaire n’étant pas structurellement productif sur le long terme ».

« Aidez-nous à faire face aux besoins stratégiques et prioritaires de nos populations en termes de développement local et intégré pour éradiquer à la racine le mal de la radicalité. Ceci peut beaucoup aider à empêcher nos jeunes de céder aux sirènes et aux  discours de la haine et de l’intolérance », a-t-il plaidé auprès des Partenaires techniques et financiers de notre pays, singulièrement le Bureau des Nations-Unies contre le Terrorisme (BCT/UN).

Source : CCOM/MARC

SourceLe renard

Mois de la solidarité à Sikasso :

Le ministre DIALLO Parrain régional  

Le ministre des Affaires religieuses et du Culte, Monsieur Thierno Amadou Omar Hass DIALLO, a procédé au lancement officiel des activités de la 24ème Edition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, Octobre 2018, dans la capitale du Kénédougou, le samedi 13 octobre 2018.   

 

La cérémonie consacrée à l’événement s’est déroulée dans la grande cour de la Direction régionale du Développement social, marquée par trois interventions.

« La solidarité est aujourd’hui sujette à de multiples changements », a diagnostiqué le premier intervenant, en la personne de M. Vincent DEMBELE, 3ème adjoint au Maire de la commune urbaine de Sikasso.

Aussi, l’édile a-t-il salué le Gouvernement malien pour avoir initié cette « nouvelle pratique de la solidarité » parce que, à ses yeux, « elle est mieux adaptée à l’évolution de notre société pour un meilleur devenir commun ».

« L’institution du Mois de la solidarité est un des moyens efficaces de remédier et de faire face aux menaces de ruptures pour notre société », a félicité, pour sa part, M. Boubacar BAGAYOKO, le Gouverneur de la région de Sikasso.

« Ce n’est pas un Mois de pitié ou de compassion, mais c’est un Mois de partage et de son de soi », a enfin martelé le ministre Thierno Amadou Omar Hass DIALLO, en sa qualité de Parrain régional de l’événement, après avoir invité la société malienne à « éduquer ses enfants à avoir l’esprit de solidarité et de partage comme un acte de tous les jours, pas seulement d’un Mois».

La cérémonie, agrémentée par le folklore local, a pris fin par une donation de kits scolaires aux enfants des parents démunis, ainsi qu’à ceux des soldats tombés sur le champ d’honneur.

Le ministre DIALLO a aussi offert du mil aux personnes vulnérables, aux pensionnaires de la Maison d’arrêt de la ville de Sikasso, aux personnes vivant avec le VIH, aux orphelins et aux personnes déplacées.

Du savon à l’orphelinat et d’autres vivres ont été également distribués, notamment du riz et du lait Guigoz 1er et 2ème âges.

Dans l’après-midi, le ministre DIALLO a successivement rendu visite aux trois (03) personnes les plus âgées de la ville de Sikasso, à savoir : Madame Worokia OUATTARA, au quartier Bougoula-Ville, âgé de 106 ans ;  M. Kassoum COULIBALY, au quartier Hamdallaye, âgé de 108 ans ; et Madame Kadiatou SANOGO, âgé de 98 ans.

A chacune de ces personnes âgées, le Parrain régional a offert une natte de prière, un chapelet et une somme symbolique.

Vive la solidarité agissante au Mali, sans discontinuer.

CCOM/MARC

SourceLe renard

Pèlerinage catholique 2018 :

Les préparatifs vont bon train

Le ministre des Affaires religieuses et du Culte, M. Thierno Amadou Omar Hass DIALLO, a effectué une visite de terrain, ce jeudi 25 octobre 2018, à Kita, pour s’imprégner de l’état d’avancement  des préparatifs du pèlerinage 2018. Ledit événement sera également couplé avec les festivités marquant les 130 ans de l’Eglise catholique au Mali.

A peine accueillis, à l’entrée de la vielle, par le Préfet du Cercle de Kita et le Maire de la Commune urbaine de la ville, sans oublier, naturellement, le Président du Comité national d’organisation des pèlerinages et évènements catholiques au Mali, en la personne de M. Christophe COULIBALY, le ministre DIALLO et sa délégation se sont immédiatement rendus sur la Colline mariale.

Constat sur place : les ouvriers travaillent pour mettre la dernière touche à la réfection de l’esplanade rassemblant les fidèles pour l’ascension de la Colline mariale où a traditionnellement lieu la procession des pèlerins.

Les lampadaires sont installés, tandis que les latrines publiques sont achevées,  a constaté le ministre DIALLO, avant d’inviter les uns et les autres à « mettre les bouchées doubles » afin que tout soit fin prêt le jour J, en ce qui concerne toute la logistique nécessaire pour la réussite de l’évènement.

La deuxième étape de cette visite de terrain a concerné le cimetière où sont enterrés les chrétiens, notamment les 15 premiers missionnaires au Mali.

En ce lieu de recueillement et de prière, l’Abbé Adrien SANGARE, ancien Curé de la Paroisse, a prié pour le monde, celui des morts comme des vivants, mais aussi, pour « la paix des cœurs, dans les cités et dans les familles ».

Le ministre DIALLO s’est ensuite rendu, non loin du cimetière, dans les locaux servant de logements aux évêques et autres hôtes de marque.

L’avant-dernière étape de cette visite a concerné la Cité des pèlerins, avant de terminer par le Sanctuaire marial lui-même.

Partout om il est  passé, le ministre DIALLO s’est réjoui du « dévouement et de l’enthousiasme des uns et des autres » pour la réussite de l’événement à venir.

Cette visite avait pour but de « s’enquérir de l’état des préparatifs du pèlerinage annuel qui prend un relief particulier cette année 2018, avec la commémoration et la célébration des 130 ans de l’Eglise au Mali », a indiqué le ministre DIALLO.

Le Secrétaire général du Vatican est annoncé pour rehausser davantage l’éclat de cette commémoration qui s’étalera du 14 au 18 novembre 2018, a-t-il révélé.

De l’origine de cette installation à ce jour, a rappelé le ministre DIALLO, un seul leitmotiv dans le message catholique : « Partout où vous posez les pieds, souhaitez la paix aux populations que vous croisez sur votre chemin et dont vous allez à la rencontre pour la bonne nouvelle ».

A ce sujet, le ministre DIALLO s’est félicité de la « Trinité propre à Kita » avec la cohabitation, en toute tolérance, « des traditions, de l’islam et du catholicisme ».

Aussi, a-t-il exhorté les populations de Kita à s’approprier cette fête pour « un Mali uni dans sa diversité ».

CCOM/MARC

SourceLe renard

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