Contre coup d’Etat du 30 avril: Pourquoi les militaires détenus n’ont-ils pas recouvré la liberté ?

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Le refus du parquet d’accéder à la demande de mise en liberté des officiers  formulés par leurs avocats est non seulement lié à l’influence des putschistes du 22 mars sur les affaires du pays mais aussi à la situation sociopolitique toujours très confuse.

L’affaire dite du contre coup d’Etat du 30 avril dernier continue de défrayer la chronique. Dernier rebondissement : le refus de la justice d’accéder à la demande des avocats des officiers détenus qui avaient formulé une remise en liberté de leurs clients. Le chef d’Etat major particulier du Président ATT, Général de brigade, Hamidou Sissoko dit Man, l’ancien commandant de la région militaire de Sikasso, Colonel, Abdoulaye Cissé, commandant Malamine Konaré, ex chef de la cellule de lutte contre le terroriste de la Sécurité d’Etat, le commandant du 33ème régiment des commandos parachutistes, Colonel Abdine Guindo et autres croupissent toujours en prison. Pour les avocats de la défense, le dossier est vide. Donc, rien ne s’oppose à la libération de leurs clients qui disposent de toutes les garanties nécessaires.

En réalité, le refus du parquet d’accéder à la demande de mise en liberté des officiers formulée par leurs avocats est non seulement lié à l’influence des putschistes du 22 mars sur les affaires du pays mais aussi à la situation sociopolitique toujours très confuse. Les officiers en détention ont toujours été considérés par la junte militaire comme des redoutables adversaires, donc des frères d’armes à qui, on ne peut pas du tout faire confiance.

Aujourd’hui, plus que jamais, notre pays a besoin d’une armée réconciliée avec elle-même mais aussi avec le peuple. Il est temps de mettre fin à cette histoire de contre coup d’Etat afin de faire face à la menace des islamistes qui constitue un danger pour l’existence même de notre nation. Le capitaine Sanogo et ses camarades doivent faire un geste afin de faciliter la recherche d’une solution politique qui aura l’avantage de cicatriser cette grave fracture à l’intérieur de l’armée. Certaines mesures si elles sont prises pourraient largement contribuer à apaiser les uns et les autres. Il s’agit de la libération de tous les militaires et policiers détenus, la prise des dispositions par les autorités pour accompagner les familles en détresse. Toutes ces mesures seront chapeautées par une véritable grande cérémonie de réconciliation entre les frères d’armes qui va laver les cœurs des uns et des autres.

Chiaka Doumbia 

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21 COMMENTAIRES

  1. Nous devons dire à nos militaires que nous avons besoin d’une armée professionnelle et républicaine et non des massacreurs de civiles comme ce fut le cas hier soir au poste de contrôle de Diabali 👿

  2. Prions pour ceux qui sont en prison seul le bon dieu peut les liberer dans uh pays ou le premier ministre dit que c est une victoire de l armè malienne entre berets rouges et verts car tout le monde sait qu il n ya pas de mercenaires.IL n ya rien a dire sauf ALLAH KABO

  3. A Mr le procureur general, Mr le Ministre de la justice, Mr le president Djoncounda Traore, et le PM Diarra, de grace liberer ces soldats.
    Arretons de faire des victimes parmis nous dans ces temps douloureux.
    Leurs femmes et leurs enfants souffrent. Le moment de la vengence doit etre revolu. Toute la nation doit se rconcilier. Cela va de soi meme pour les rebelles et islamistes qui decideront de deposer les armes.
    Ceux qui sont en detention ont commi leur delit ou crime en reponse d’un precedent, en occurence le coup de force du 22 Mars. Alors les auteurs de ce coup ne dovraient pas etre amnisties avec des avantages a l’appui, quand on maintient encore des accusations contre d’autres fauteurs de troubles. Cela n’est pas une definition de la justice.
    Je ne suis pas contre une amnistie pour qui que ce soit, mais je voudrai seulement dire qu’elle ne doit pas etre partielle.Et tenez bien que l’histoire retiendra tous ces faits. Je ne suis ni parent, ni ami de beret rouge, mais j’ai l’entiere conviction que chaque humain a le devoir moral de rechercher la verite et de se battre pour sa triomphe.

  4. Nous sommes tous malien qu’on soit beret rouge ou vert qu’on soit blanc ou noir qu’on soit du nord ou du sud seul le Mali compte cessons de nous de nous entre dechire ne nous faisons pas encors plus mal.Nous d’un peuple avec un but une foi et un drapeau le vert le jaune et le rouge.Nous sommes resolus de mourrir pour l’Afrique et pour toi MALI. ENSEMBLE DEBOUT MES FRERE HO MALI D’AUJOURD’HUI HO MALI DE DEMAIN…ENFANT DU MALI ENFANT TOUAREG QUE ALLAH BENIS LE GRAND MALI.

  5. Bande de poule mouillés? même cadeau ne vaudrais pas revenir à la tête de c pays! 😆

  6. MR WOKLONI VOUS NOUS DITE DES SUPPOSITIONS QUI NE TIENNENT PAS ATT NA AUCUNE ENVI DE REVENIR AUX POUVOIR RIEN DE TOUS SON MANDAT EST FINI IL A DÉMISSIONNÉ IL N’EST PAS FOUS POUR Y PENSER CEPENDANT IL POURRA ETRE RÉHABILITÉ DANS L’AVENIR S’IL A UNE LONGUE VIE COMME gmt QUI EST LE PLUS GRAND SANGUINAIRE DU MALI POUR L’INSTANT pour ce qui est les bérets rouges détenue ils doivent être libérer et l’armée réconcilier si non il n’y aura jamais de reconquête du nord car les éléments du cnrdre préférerons sacrifié le nord que de quitter kati et temp qu’ils ne parte pas les autres unités en fairons la même chose et ses le mali qui est foutus non plus par att et aok non mais par sanogo qui a ordonner a l’armée de cessé les combats ce qui a permis aux assaillants de s’emparer du pays c’est lui cette responsabilités personne d’autres

  7. Première étape de cette intervention qui ne devrait pas débuter avant la fin du sommet francophone (occasion d’expliquer ce qui se passe et de trouver des soutiens à cette opération ; et non pas d’être une tribune des ultras pour dénoncer « l’interventionnisme français en Afrique ») : le réquisitoire contre les « occupants » du Nord-Mali. Une mission de la CPI est depuis le 28 août 2012 au Mali afin de « recueillir le maximum d’informations sur les crimes perpétrés par les islamistes et les Touareg dans le Nord du Mali » : exécutions sommaires ; viols ; massacres de civils ; enrôlement d’enfants-soldats ; tortures ; pillages ; disparitions forcées ; destructions de symboles de l’Etat, d’églises, de mosquées et de mausolées.

    Le chef de cette mission est Amady Bâ, magistrat sénégalais, ancien directeur de la magistrature, en charge de la coopération internationale (division responsable des enquêtes et des poursuites) au bureau du procureur de la CPI depuis 2008. La mission, dit-il, est « une phase d’analyse, de recoupement d’informations. Nous allons retourner avec ces éléments et le procureur jugera alors s’il faut commencer des enquêtes avant d’engager des poursuites ». « La mission de la CPI [qui comprend trois membres, dont Bâ] restera le temps qu’il faut. Je ne peux pas dire combien de jours. Le dossier transmis par le groupe de travail pour la saisine de la CPI est clair : il s’agit des exactions commises par les occupants des trois régions du Nord », a précisé le ministère malien de la Justice, étant entendu que c’est le gouvernement de Bamako qui a saisi la CPI en juillet 2012.

    A Hammamet, en Tunisie (Tunis, en marge de ce dossier malien, était jusqu’à présent dans la retenue), les 30-31 août 2012, l’ex-ministre des Affaires étrangères mauritanien Ahmedou Ould-Abdallah, ancien représentant spécial du secrétaire général de l’ONU au Burundi, en Afrique de l’Ouest, au Soudan, en Somalie, a organisé une conférence sur le risque sécuritaire et la menace islamiste dans « le corridor sahélo-saharien » intitulée : « Situation au Sahel Sahara et acteurs extérieurs ». Ould-Abdallah et son Centre de réflexion sur la sécurité dans la région Sahel Sahara (Centre/4S) avaient déjà, le 18 juillet 2012, organisé un briefing à Nouakchott à l’occasion de la réunion dans la capitale mauritanienne des chefs d’état-major d’Algérie, du Mali, de Mauritanie et du Niger.

    Selon Ould-Abdallah (Journal du Dimanche du 2 septembre 2012) : « Les terroristes d’AQMI ne sont que les intermédiaires des trafiquants installés dans tout le golfe du Bénin. Leurs réseaux, au plus haut niveau de chaque Etat de la région, sont considérables. J’ai des noms et la liste est considérable ». Là encore, on ne peut pas être plus clair : l’éradication des groupes islamistes qui occupent le Nord du Mali ne relève pas de la politique mais de la morale étatique ! Tout cela dans un contexte particulier.

    En Afrique musulmane, le ramadan a pris fin ; en « Occident », la rentrée politique est effective. Et sur le terrain, on annonçait hier (samedi 1er septembre 2012), la prise de Douentza par les islamistes, sur la RN 15, porte d’entrée par le Nord du pays Dogon, à moins de 100 km à vol d’oiseau de Bani, à la frontière Mali/ Burkina Faso (Bani ne se trouve qu’à 70 km de Ouahigouya). Aujourd’hui (dimanche 2 septembre 2012), Nouakchott annonce l’exécution par le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUAJO), dissidence d’AQMI dont on ne sait pas grand-chose, du vice-consul algérien Taher Touati enlevé avec cinq de ses concitoyens le 5 avril 2012. Provocations ?

    Paris, qui préside le Conseil de sécurité, met donc les bouchées doubles dans la perspective d’une intervention. Dans une enquête publiée par RAIDS (septembre 2012), Jean-Marc Tanguy nous dit que, côté français, « tout est prêt » et le commandement des opérations spéciales (COS), déployé sur le terrain depuis 2008 (notamment pour la formation des forces spéciales mauritaniennes, le protocole de formation ayant établi que le COS pouvait s’entraîner dans le pays), « est largement monté en puissance […] formant un groupe de forces spéciales dédié, baptisé Sabre* ». Tanguy précise que « ses contours exacts, ses lieux de stationnement sont inconnus » mais chacun sait que, globalement, les bases conventionnelles françaises sont implantées à Dakar et à Ndjamena et que le COS a pris ses quartiers à Ouagadougou**.

    Dans cette perspective, le COS a dégarni les autres terrains où il était en mission afin de récupérer « une quarantaine d’opérateurs ». « La réalité des moyens du COS au Sahel, écrit Tanguy, est difficile à discerner. Ces derniers mois, rien que le 1er RIPMa y aurait envoyé plus de la moitié de ses GRA [groupes action]. Une bonne partie des équipes de recherche du 13ème RDP y a aussi été mobilisée, avec une importante flotte de VPS [Véhicule de patrouille spéciale, construits par Panhard qui a remplacé les VLTT-P4 – véhicules légers tout terrain – fabriqués par Peugeot] ». Le CPA 10 – Commando parachutiste de l’air n° 10 qui relève directement du COS – « pourrait être également de la partie ». « Le COS n’a tout simplement jamais mené une traque sur cette échelle, aussi longtemps », ajoute Tanguy.

    Au-delà du COS, les forces conventionnelles sont également mises à contribution en matière de transport et de renseignement, l’importance de la zone concernée obligeant à des actions combinées entre forces terrestres et moyens aériens. Drones Harfang (fabrication EADS) – mis en action, au départ de la base de Sigonella, lors de l’opération « Harmattan » contre la Libye de Kadhafi – ATA, avions de transport d’assaut ; Twin Otter du 3/61 « Poitou » ; Mirage F1CR (reconnaissance/bombardement) et Mirage CT (bombardement) basés à Ndjamena ; hélicoptères Gazelle, etc.

    Paris prépare donc le terrain. Reste, maintenant, à la Cédéao de l’occuper. Dans une opération à hauts risques dont la réussite militaire et politique est aléatoire et dans laquelle c’est toute la région, de Nouakchott à Ndjamena, qui joue sa crédibilité et sa souveraineté.

    * « Sabre du désert » était le nom de code de l’opération terrestre qui a été déclenchée le 24 février 1991 contre Saddam Hussein en Irak. Faut-il y voir un rappel de cette opération ?

    ** Le patron du COS a été, jusqu’au 7 juillet 2011, le général Frédéric Beth. Il a été remplacé par le général Christophe Gomart, ancien du 13ème Dragons parachutistes, nommé par la suite adjoint au coordonnateur national du renseignement à l’Elysée. Frédéric Beth est le frère d’Emmanuel Beth, général reconverti dans la diplomatie, ancien patron de la force « Licorne », ambassadeur de France à… Ougadougou (cf. LDD Burkina Faso 0230/Mercredi 18 août 2010). Quant à Frédéric Beth il est, depuis qu’il a quitté le COS, directeur du cabinet du préfet Erard Corbon de Mangoux, patron de la DGSE, ce qui en fait le numéro deux de nos « services ». A Dakar, le patron des Eléments français au Sénégal (EFS) est le général de brigade Grégoire de Saint-Quentin, un ancien chef de corps du 1er RPIMa, qui relève directement du CEMA ; Saint-Quentin était lieutenant-colonel au Rwanda lors de l’attentat du 6 avril 1994 contre les présidents burundais et rwandais et traîne, de ce fait, une réputation sulfureuse en Afrique

  8. La description, rapportée par un télégramme de décembre 2009, de la cérémonie marquant la fin d’une session d’entraînement de l’armée malienne par des instructeurs américains reflète la difficulté de l’exercice. Le capitaine responsable de cette formation indique que chaque soldat malien a tiré 1 000 cartouches pendant les cinq semaines d’exercices, soit autant qu’un soldat des forces spéciales américaines tire en un jour, et… « probablement plus que ce qu’un militaire malien aura utilisé tout au long de sa carrière « .

    Les soldats maliens, eux, se disent satisfaits d’avoir appris à conduire un véhicule et à entretenir leurs armes. Ils figurent parmi les rares survivants d’une embuscade avec les islamistes.

    L’échauffourée s’est achevée dans un bain de sang car l’unique soldat capable de conduire et de sauver ses camarades avait été tué. De même que le seul militaire formé à l’usage de la mitrailleuse qui aurait pu couvrir leur retraite.

    Philippe Bernard (Le Monde du 07-12-2010)

  9. pour repondre au titre de l’article : ce sont les seuls prisonniers que les bidasses de Kati ont fait de toute leur vie ,ils ne vont pas les relacher comme çà quand meme :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  10. JE JURE SUR UN RETOUR DE ATT
    Simple analyste, je suis les informations et analyse. Ma conclusion est que ATT et ses hommes n’ont pas baissé les bras. Voilà les preuves :
    1. Raison psychologique : Pour toute personne qui connait la ruse de ATT, sait que quant il se tait, il surprend. Un adage dit : « il n’y a pas de dernier mot chez les peuls.
    2. Raison immigrations : Les caissiers de ATT (les deux peuls : Soumaila et Modibo) ne sont pas encore rentrés alors qu’ils ont droit à toutes les protections. Ils préparent avec ATT quelque chose.
    3. Raison économique : ATT et ses amis ont plus de ressources que tous les gens qui sont actuelle ment au pouvoir.
    4. Raison sanguine : ATT sait qu’il a à se reposer sur une partie de l’armée, le contingent recruté sous son mandat et Alpha c’est-à-dire ses propres fils et les fils des gens qui ont été humiliés. En cas de renversement il peut conter sur ce contingent.
    5. Raison sous-régionale : la précipitation de Yayi Boni pour l’arrivée des troupes CEDEAO à Bamako. Souvenez-vous que Yayi Boni était le premier (fin mars) à demander une intervention de la CEDEAO pour restaurer ATT. Rappelez-vous aussi que ATT était le grand-frère de tous les présidents démocratiques.
    6. Raison internationale : au cas où la situation sera chaotique, les maliens n’auront confiance en aucun leader. La demande de retour de ATT sera grande. C’et la raison du chaos médiatique de RFI.
    7. Raison religieuse : on fait croire qu’il y a Aqmi à Bamako. Qui a vu ? C’est une stratégie du KGB qu’on appelle « chaos stratégique ».
    8. Raison médiatique : RFI donne toujours les premières informations qui sortent du CNDRE alors qu’ils ont même peur de s’approcher de Kati. RFI a dit que Dioncounda a demandé la présence des forces de la CEDEAo à Bamako, c’était faut. Ecouter l’émission de Juan Gomez le lundi le 10, il vous dira que Dioncounda a demandé seulement la logistique ! La diffamation de RFI et de la presse pro ATT démontre qu’il y a quelque chose qui se prépare.
    9. Raison militaire : Dioncounda et les institutions ont dit qu’ils veulent être sécurisés par les forces maliennes, pourquoi la CEDEAO doit insister de venir à Bamako.
    10. Raison mystique : tous les voyants et gens de 6èeme sens disent qu’il y a une activité de préparation d’une tentative sanglante de retour de ATT.
    11. Raison contre-défensive : Kati et le périmètre de Sanogo se renforcent chaque jour avec des équipements blindés. Cela veut dire qu’ils savent des choses que nous ne savons pas encore.
    12. Raison sociologique : ATT maitrise le malien et son environnement social. Il sait qu’il a mangé et qu’il a fait mangé tout le monde. Dès que les gens n’ont pas à manger, ils penseront à lui. Il a toujours pensé que le malien est domptable par la corruption (il y a même réussi). Donc, ne croyez pas en sa démission, il pense qu’en revenant il sera applaudit. Et cela est possible.
    13. Raison observatrice : les 400 jeunes pris en formation militaire à Bamako, pourquoi on ne parle plus de ces jeunes. On se demande qui les entrainait, d’où viennent les armes qu’ils utilisaient pour l’entrainement. S’entrainer clandestinement à Bamako alors que tous les volontaires sont ailleurs !
    Chers frères et sœurs, je ne suis ni politicien, ni malien, ni journaliste. Je découpe les informations et je veux que les instigateurs du coup de retour de ATT savent qu’il y a des petits hommes au Mali qui comprennent la choses par analyse.

    • WOKLONI…WOKLONI…WOKLONI….ARRETE STP!

      DES FOIS TA GROSSE TÊTE PRODUIT DU BON … DES FOIS ÇA PRODUIT DES CONNERIES…ÇA DOIT ÊTRE UNE QUESTION DE JOUR ET NUIT….PEUT ÊTRE QUE DURANT LE JOUR…LA CHALEUR AIDE À EXPANDRE TON PETIT CERVEAU DE WOKLONI 😆 😆 😆

      BON … MOUSSA AG FARCE COMME D’HABITUDE … MAIS TON PSEUDO INVITE LES FARCES ….DONC TU N’AS DE CHOIX QUE DE PARDONNER MOUSSA…PIRE CRIMES ONT ÉTÉ AMNISTIE ….

      SEURIEUSEMENT PARLÉ… JE DOUTE QUE TU AI RAISON ICI SUR LE RETOUR DE ATT…NE JURE PAS SUR LA BASE DE LA SPÉCULATION ….TON RAISONNEMENT EST RATIONELLE DANS TA TÊTE …MAIS POUR LES NON WOKLONIS … CE N’EST PAS SUFFISANT….

      BON …MOUSSA AG PEUT AVOIR TORD……

      Moussa Ag, QUI APPRÉCIE LES CONTRIBUTION MAIS TROUVE QU’IL A TORD ICI…D’AILLEURS LES WOKLONIS ONT RAREMENT RAISON DANS LES “ZINRINS” DU PAYS…MÊME CHEZ LES AG

    • Tu fera mieux d aller voir ailleur dis a ton patron sanogo que c est au nord qu on a besoin de nos armements pas a kati pour sa securité a lui

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