Arme secrète de la mystique noire : N’est-il pas du domaine de la mathématique et de l’information ?
Nous ne connaissons pas Mohamed Baba Diarra de Ségou dont les adresses sont-là : (66525926/76065038
Nous avons jugé après ce message même venu un peu tard, car après d'autres qui l'ont précédé comme celui de Souleymane Coulibaly, qu'il faille présenter un article ne serait-ce qu'avec un extrait du travail complexe et long que nous avons fait sur Tiébissaba, déjà en date du mercredi 27 juillet 2011 à Ségou. Nous voudrions faire trois articles successifs sur Tièbissaba pour permettre aux gens de bien suivre nos découvertes et nos démarches scientifiques. Mais ceci dépend du journal BamakoHebdo. Le présent article va comporter un appel à la jeunesse, deux types de calculs : calculs classiques (application de la décomposition binaire connue en mathématique), Somme des anagrammes (une de nos découvertes). Nous voudrions saluer au passage le journal BamahoHebdo du Groupe L’indépendant, Maliweb pour tout ce qu'ils nous permettent de réussir. Nous avions déjà prévu leur remerciement sincère dans la publication annoncée sur Platon, celle-la viendra spécialement pour nos jeunes philosophes.
Appel à la jeunesse malienne et mise au point
Avec nos publications nous avons un difficile combat à mener en marge de nos découvertes. Il s'adresse à vous contre qui avez presque tout perdu sans n'avoir jamais rien eu auparavant. On veut vous condamner par le grand mensonge, or vous devez le refuser. Et ce mensonge c'est la malédiction du noir, ce mensonge vient des au-delà des mers, des contrées nues jamais explorées et inexplorables. Le menteur dit en bon adage bambara que son témoin est toujours derrière le fleuve. Celui qui dit que le noir est maudit, le même dit que celui qui l'en a informé est resté derrière la mer rouge, ou qu'il n'a pas survécu au déluge avec Noé, donc qu'il ne traversera jamais la mer pour nous le confirmer. On avait nié les chérifs noirs, on continue aussi de nier la présence de la descendance des compagnons du prophète Mohamed en Afrique, malgré que de récentes recherches menées jusqu'en Ethiopie, révèlent leur présence parmi nous. Si la malédiction est un tour de rôle, si elle est temporaire, elle est alors compréhensible car elle va pour respecter la loi des cycles, ou des mouvements sinusoïdaux (des hauts et des bas). Mais si elle devait être éternellement pour condamner le noir à rester à la traîne des autres, nous devrions vous avertir avant qu'elle ne soit irrémédiablement ancrée…Nous savons que tôt ou tard vous allez découvrir cette fausse nouvelle qui a perduré. Vous devez catégoriquement la refuser d'où qu'elle tienne sa source. C'est comme si on nous disait : hé vous êtes créés pour être brûlés éternellement dans l'enfer, et que nous disions, soit, nous sommes d'accord !
Notre combat va donc contre cet afro-pessimisme grandissant, très inquiétant, contre tous ceux qui se sont convaincus comme ennemis du noir et de l'Afrique, de surcroît vivant à leur crochet, détournant tout leur argent. Quelle déduction là : le noir est maudit, c'est parce que il n'y a jamais eu de prophète noir. Aussi l'Afrique n'a pas connu de grands savants comme Platon, Einstein et autres. On ne s'est jamais préoccupé de savoir ce que furent, des illuminés comme Senghor, Césaire, Seydou Badian Kouyaté, (tout prêt de nous)…Ils ont tous prophétisé…
C'est un visionnaire qui parle, il y a un mois sur RFI, ce canadien ! Il faut se battre à le devenir, nous vous aiderons. C'est pour confirmer ce visionnaire, pour démentir des responsables là-bas au Mali qui disent que des savants de la taille d'Einstein, c'est fini : ils sont de responsables des services de recherche, ceux qui ont osé le dire. Nous les combattrons par tous les moyens qu'il sera nécessaire de le faire. Nous avons désormais tous les moyens, la presse nous accompagnant. Nous le ferons au moyen de découvertes nouvelles et de multiples publications, jusqu'à ce qu'ils se dédient eux-mêmes. Nous le ferons par la publication de textes littéraires et philosophiques, qui rappellent les grands de l'antiquité, du moyen âge, et de ces temps modernes. Nous le ferons, s'il le faut, au moyen de grands mensonges, leur arme redoutable ; aussi nous le ferons au moyen même d'arrogance qui les fâche. C'est par exemple 'Appel aux hommes de savoir' !
Cet appel à pour but de les ébranler, ils le seront car il y a en a qui dorment sur des lauriers jamais éprouvés. Tous nos maîtres sont presque en vie, nos maîtres de différentes écoles, nos maîtres mystiques et spirituels, nous ne saurions jamais les braver de cette vive manière. Si nous pouvons les titiller au passage, c'est pour qu'ils ne restent pas cachés dans l'ombre avec ce qu'ils font, avec tout qu'ils ont aussi découvert en matière de science mystique. Ils ont pour nom Issa Diarra, Zana Sanogo, Mohamed Doucouré…, mais ils sont nombreux vraiment.
(Décomposition binaire)
TIEBISSABA, arme secrète des marabouts, féticheurs, idolâtres, est-il du domaine des mathématiques, de la science ou de la mystique ?
Nous sommes sûr avec cette question de toucher à la sensibilité des mathématiciens et des informaticiens qui savent utiliser le système binaire qu'ils écrivent comme (0,1). A notre sens, il est utile que l'on sache qu'on pouvait le noter aussi (a, b). De nombreux gens sans doute, même qui manipulent quotidiennement les mathématiques, l'informatique ou cette technique mystique, ne verraient pas assez les rapports directes les liant.
Ce sont deux de mes propres frères, qui viennent de m'inspirer récemment sans le savoir ce travail : Garaba, le jeune frère est jeune juriste chômeur, il prend des cours en informatique, c'est lui qui me fit rappeler la décomposition binaire que j'avais presque oubliée, car déjà apprise depuis la classe terminale (SET) en 1982. Gaoussou, contrairement à lui, est pêcheur, donc un rural, il vient de découvrir Tiébissba qu'il a testé avec émerveillement, car avec effet concret et immédiat ; lui m'a fait part de sa volonté de poursuivre les recherches sur TIEBISSABA, c'est un désir qui le hante partout et ne le relâche plus. Nous devons révéler qu'aussi nous avons pu vérifier les vertus spécialement dissuasives et protectrices de Tiébissaba dans la mystique, lorsque nous avons été confronté à plusieurs cas d'adversités, extrêmement envieuses et méchantes.
Que devons-nous, d'autres comme moi, étant à l'interface des mystiques et des scientifiques, sinon que de tenter ce genre de travail que je trouve noble et constructif ? N'est-ce pas que les savoirs sont partagés entre nous.
Si l'on sait l'écrire, il s'agit d'une succession qui alterne 15 ronds et 15 traits comme suit :
O I I O O I O O O I I O O I O I I I O I I O O O O O I I I I 0 1 1 0 0 1 0 0 0 1 1 0 0 1 0 1 11 0 1 1 0 0 0 0 0 11 11
Comme cela, si l'on veut c'est une succession de 15 lettres O et de 15 lettres I, mais c'est aussi une succession de 15 zéros (0) et de 15 uns (1). Il s'agit d'un cas de figure semblable à d'autres très usités en informatique ; la figure peut s'interpréter selon que l'on veuille aller de gauche vers la droite ou inversement, et chaque fois que l'on change la position d'un chiffre. Il rappelle visiblement le Code de numération que l'informatique utilise :
1 = 0001 6 = 0110 11 = 1011
2 = 0010 7 = 0111 12 = 1100
3 = 0011 8 = 1000 13 = 1101
4 = 0100 9 = 1001 14 = 1110
6 = 0101 10 = 1010 15 = 1111
Et si l'on utilisait une telle codification pour comprendre davantage les 'Trente Hommes' ?
L'informatique repose sur une technique routinière mathématique, qui consiste à opérer les divisions successives des nombres par 2 : décomposition binaire.
La décomposition binaire du nombre A=1008444966, donne le premier cas de figure de 15 zéros 0 et de 15 uns
A(0, 1, 1, 0, 0, 1, 0, 0, 0, 1, 1, 0, 0, 1, 0, 1, 1, 1, 0, 1, 1, 0, 0, 0, 0, 0, 1, 1, 1, 1)
La décomposition binaire du nombre B=421099023, donne ce deuxième cas de figure qui ne diffère du premier que par le sens, l'ensemble s'appelle ensemble des cordonnées de B en base 2. Le nombre B s'écrit en fonction de ses coordonnées et se calcule comme suit :
B(1, 1, 1, 1, 0, 0, 0, 0, 0, 1, 1, 0, 1, 1, 1, 0, 1, 0, 0, 1, 1, 0, 0, 0, 1, 0, 0, 1, 1, 0)
20 ; 23 ; 24 ; 26 ; 27 ; 28 ; 211 ; 212 ; 214 ; 218 ; 221 ; 222 ; 223 ; 224 ; 225
2) Les puissances de 2 dont les coefficients sont nuls ou 0 dans l'écriture B : 15 (237)
24 ; 25 ; 26 ; 27 ; 28 ; 211 ; 215 ; 217 ; 218 ; 221 ; 222 ; 223 ; 225 ; 226 ; 229
24 ; 26 ; 27 ; 28 ; 211 ; 218 ; 221 ; 222 ; 223 ; 225
4) Les puissances de 2 dont les coefficients sont 1 uniquement dans A : 5 (92)
25 ; 215 ; 217 ; 226 ; 229
5) Les puissance de 2 dont les coefficients sont 1 uniquement dans B : 5 (53)
20 ; 23 ; 212 ; 214 ; 224
6) Les puissances dont les coefficients sont 1 dans A et B : 10 (145)
21 ; 22 ; 29 ; 210 ; 213 ; 216 ; 219 ; 220 ; 227 ; 228
Conclusion
La permutation est définie comme le changement de position des éléments d'un même ensemble. Alors A et B sont deux anagrammes parmi 155117520 au total (voir paragraphe suivant somme des anagrammes). Les mathématiciens et les informaticiens savent faire les calculs que nous venons de faire. En revanche ils ne devraient voir les relations entre cette figure mystique et l'informatique. C'est ce que nous leur inspirons pour la recherche, avec tous les cas de figures des 'Trente Hommes' ou TIEBISSABA.
A suivre avec le prochain article : SOMME DES ANAGRAMMES
Email : sanogomamadou47@yahoo.fr (0022558463644/0022540612077)
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