Critiquant les querelles politiciennes face au defi de la crise au nord : Le président du PSR propose de former un bloc derrière notre armée

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Ne plus continuer à regarder dans le rétroviseur, mais plutôt devant …et en mettant fin aux critiques politiciennes. Tel est, en substance, le contenu de la contribution du président du Parti socialiste pour le Renouveau (Psr), Abdouramane Gakou, sur la résolution de la crise au nord du Mali. Voici sa réaction.

L’heure n’est plus à un regard permanent dans le rétroviseur sinon on risque d’aller droit dans le mur étant donné qu’au volant la vue…c’est la vie. A cet égard, nous devons plutôt regarder devant nous, tout en mettant fin aux critiques politiciennes, aux partis pris, aux commérages de  rue, aux médisances gratuites et à l’imagination tendancieuse tronquée, aux propos incendiaires, j’en passe.
Aujourd’hui, nous devons plus que jamais nous unir autour d’un et seul objectif, à savoir la reprise du nord, le rétablissement de la dignité humaine qui se trouve être mise à sac avec son corollaire de souffrance et de supplices de tout genre. Face à cette situation d’humiliation, nous devons former ensemble une cohésion monolithique tout en sachant que lorsque la cause juste s’empare des masses laborieuses, elle s’érige spontanément en une force matérielle invincible. Cette concrétisation peut se manifester à travers des propositions de solution, des souscriptions pour renforcer la capacité logistique de notre armée qui en a tant besoin. Toute action, propos et comportement destructeurs doivent être bannis.
Vive l’unité nationale, gage de toute victoire ! A bas les querelles politiciennes interminables en cette période de crise majeure nationale !
Le président du PSR
Abdouramane Gakou
Ingénieur de constructions civiles

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1 commentaire

  1. Monsieur Gakou, vous êtes un digne fils du pays. Voici une méditation très noble. Après la fuite du narco président, le peuple malien doit faire bloc derrère son armée. C’est à ce prix qu’elle libérera le Nord haut la main. C’est pourquoi je dis q’il n y a qu’un seul énnemi contre le Mali aujourd’hui, c’est ni plus ni moins que le FDR.

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